Kakemphaton
Bon, visiblement, il va me falloir admettre que je me suis mis en pause. Parce que j'en ai besoin apparemment, parce que je n'ai plus autant de temps aussi, et que les délires débilitants de certains me fatiguent. Et là, c'est plus que certain. Donc bon, voilà, pause. Et on verra ce qu'y en sort de tout ça. Il y a ici des gens que j'apprécie, d'autres qui me surprennent. Dans l'ensemble, l'expérience ici est plutôt bonne, donc laissons passer et faire le temps. À bientôt ;)
[Club Valentine]
https://www.atelierdesauteurs.com/talks/17283/le--club-valentine-#comment_207412
[tous mes textes sont d'ailleurs marqués en Premier jet, donc toujours annotables, et j'aide les autres à la mesure de mes moyens]
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J'ai choisi un jour ce pseudo, Kakemphaton. Que je trouve rigolo, car un peu désuet, poussiéreux, égyptien lorsqu'on le prononce. Et pourtant, lorsqu'on en sait sa définition, à titre d'amusement personnel, je lui trouve un air un peu dandy, d'une élégance surannée qui amène à s'en moquer sous cape parce qu'un rien bouffonne, amphigourique alors qu'il ne s'agit que de jeux avec les mots, et ça, c'est plutôt noble, non, de vouloir jouer avec les mots ? Jongler avec. Et ainsi ouvrir des champs de narration. Moi, il me plaît ce pseudo.
Sinon, j'écris.
Un peu.
Mais avant tout, je suis un camé à la fiction, addict au dernier degré. Petit, l'orthographe, la grammaire, le Bescherelle, le Bled, les dictées m'ont écœuré de la langue française. C'est bien plus tard et par hasard, que j'ai pris lentement conscience que si effectivement, je ne maîtrisais pas parfaitement les bases "mécaniques" de cette langue, je pouvais malgré tout m'émerveiller de tous les livres lus, de tous les films vus, de toutes les musiques entendues, de toutes les photos vues. Et commencer à cheminer dans mon propre imaginaire. Ça fait déjà quelques années que je tourne mon plume dans ma main, que j'essaye, que je rature, aussi ai-je décidé de sauter le pas.
Hop.
Et me voilà.
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« L'écriture est une aventure. Au début c'est un jeu, puis c'est une amante, ensuite c'est un maître et ça devient un tyran »
Winston Churchill
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« Ce qu'on ne peut pas dire, il ne faut surtout pas le taire, mais l'écrire »
Jacques Derrida
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Accessoirement, quand je fais trop de fautes à l'écrit, je me fouette avec des coquillettes, et c'est très dur
Je crois que je développe une sorte de drôle de relation d'humour, mais néanmoins toxique d'avec mon chat, je crois... je vais en parler avec mon psychiatre à l'occase