Amelia Everbrook
Une apprentie autrice <3. J'aime tout les genres mais coup de coeur sur la romance et l'univers fantastique.
Actuellement, je crée une série (que vous ne verez jamais sur vos érans, mais pourquoi pas ? c'est vraiment un truc sympa à faire.)
Le lien <3 : https://www.canva.com/design/DAGJOj5fqsA/VSywuL4B1FdVnKInQ2NUig/edit?utm_content=DAGJOj5fqsA&utm_campaign=designshare&utm_medium=link2&utm_source=sharebutton
Sinon, j'aime aussi les années 60 à 90, gros kiff dessus... BISOUUUUS
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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus
Œuvres
Je suis seule dans ce monde, là où tout semble suspendu, figé dans un silence lourd. Ma respiration résonne dans l’air. Chaque bruit est amplifié, chaque geste, chaque pensée. Le froid s’intensifie, tout autour de moi est devenu irréel. Je ne sais même plus si je suis encore en train de rêver ou si c’est ce qui est censé être la réalité. Le sol métallique sous mes pieds, la lumière violette dans le ciel, les formes indistinctes autour de moi… tout ça me paraît à la fois étrangement familier et terriblement distant. Comme un endroit que j’aurais déjà vu, mais d’une manière déformée, comme un souvenir lointain qu’on tente de saisir mais qui s’échappe à chaque fois qu’on croit le tenir. Je regarde autour de moi, mais il n’y a aucune sortie. Il n’y a rien d’autre que ce vide, ces ombres mouvantes, et moi, là au milieu, incapable de bouger. Je suis comme prise au piège dans un autre univers, un espace qui semble m’engloutir petit à petit. Et il n’y a pas de Noah. Pas de trace de lui. Pas même un écho de sa voix. Pourtant, je sais qu’il est là, quelque part. Il m’observe. Il attend. Il est le fil conducteur de cette réalité tordue, et je suis la marionnette. Soudain, un bruit. Un souffle
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Il était une fois, dans un royaume dont l’histoire n’a pas retenu le nom, un prince, qui ayant atteint l’âge de la majorité, cherchait une épouse. Au début, le prince ne s’inquiétait pas ; il était riche, puissant, et prince d’un royaume ; qui n’aurait pas voulu de lui ? Il s’attendait à trouver une foule de jeunes femmes devant chez lui ; il n’y eût personne. Il questionna alors sa mère : - Pourquoi personne ne souhaite-t-il m’épouser ? Sa mère était bien gênée, mais devant l’insistance de son fils, qu’elle chérissait, elle lui révéla : - Mais… mon fils… Vous êtes laid ! Le prince, à partir de ce jour, si funeste pour lui, ne cessa de haïr les miroirs. Il se trouvait un défaut de plus chaque jour ; et son regard sur lui-même changea. Lui qui n’avait jamais accordé d’importance à sa bouche, son nez et ses yeux, ne voyait désormais plus qu’eux. Il était effondré, et se terrait dans ses appartements, passant ses journées seul, à ruminer des pensées noires. Un jour, n’y tenant plus et ayant perdu toute confiance en lui, il fit appeler la sorcière Clothilde. C’était une femme mystérieuse, dont personne ne connaissait ni la véritable apparence, ni le véritable âge, mais qui était réputé
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