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Maël Guinot

Maël Guinot
Logan a fui sa planète à cause de la guerre et se retrouve chez ses ennemis qu'il déteste de toute son âme. Mais à cause d'une énième insomnie causée par ses remords et le brouhaha des bombes, il va chercher un bar et va rentrer dans le "rédemption" pour faire taire sa culpabilité naissante. Tout du moins c'est ce qu'il espérait avant d'entendre une voix robotique hurler dehors.
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Maël Guinot
Emily va accepter un poste de bibliothécaire de l'autre côté des États-Unis, dans une petite ville portuaire de l'Oregon pour prendre un nouveau départ. Alors qu'elle emménage là-bas afin de vivre une petite vie paisible, loin des tumultes des grandes villes et de ses démons du passé, elle va vite réaliser qu'Oddly Bay n'a rien d'ordinaire.

La raison et la logique disparaîtront petit à petit, remplacées par une curiosité qui envahira Emily au fur et à mesure tandis que sa nouvelle vie et ses nouveaux voisins briseront toutes les lois de mère Nature.

La nuit cache bien des secrets dans l'obscurité. Et peut-être devraient-ils rester enterrés.

//Couverture réalisée par la talentueuse @FanhyAxyn !//
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Maël Guinot
Lors d'une randonnée dans les paysages enneigés du Canada, vous tombez sur ce qu'il reste d'une vieille maison, perdue au milieu d'une plaine, elle même entourée par la forêt. Tout semble avoir été emporté par le temps, si ce n'est un bureau dans lequel vous trouvez un journal datant de 1957.
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Maël Guinot

C’est dur de mourir pour quelqu’un.
Mais vous savez ce qui est encore plus difficile ?
Vivre pour quelqu’un. Pour quelqu’un de mort pour nous.
Se sacrifier pour quelqu’un ne demande qu’un instant de courage. Un bref moment d’héroïsme, boosté par l’adrénaline. Et une fois cela fait, on n’a plus qu’à s’allonger. Et soudainement, plus aucun problème ne peut nous atteindre.
Mais vivre pour quelqu’un. C’est parvenir à se lever tous les matins. C’est guérir de ses blessures. C’est garder la tête haute. C’est continuer d’avancer avec ce poids infiniment lourd sur nos épaules.
C’est être capable de profiter pour lui. De découvrir pour lui. De vivre pour lui.
Pour moi, c’est arrivé dans une bataille sans nom. Dans une guerre qui ne figure pas dans les cahiers d’histoires. Dans un pays que personne ne peut situer sur une carte. Un conflit comme il y en a toujours eu et comme il y aura toujours, ou fierté et haine se mélange comme le sable et l’essence avec la même finalité : tout embraser jusqu’à ce qu’il ne reste rien.
On était tous les deux. Puis il a cessé de vivre. Pour moi. Pour que moi je vive. Pour que je rentre voir ma femme, lui a dû y rester. Rester là-bas, dans ce champ boueux où on l’a enterré, trop pressé pour mettre ne serait-ce qu’un nom où un signe sur sa tombe. Trop préoccupé par l’avancée de l’ennemi pour apercevoir celui qui venait de pénétrer ma tête.
Comment est-on censé vivre comme ça ? Après avoir vu le visage de cette femme aux yeux bouffis et humides, aux cernes plus profonds même que les tranchées. Comment puis-je profiter des bras de ma moitié, quand celle d’une autre lui a été si violemment arrachée devant moi ? Que suis-je censé dire ? Que suis-je censé faire face à une veuve, endeuillée par la bravoure de son homme, qui trop fou ou trop bon, a perdu la vie pour que je garde la mienne.
Alors on refait le monde. Car celui-ci est trop difficile. Car j’aurais préféré mourir à sa place. Non pas par bravoure. Mais par remords. Car je ne veux plus être à ma place. Car le siège du mort a l’air tellement confortable, lui qui, les yeux bandés, ne voit pas la voiture en feu autour de lui, ni la peau de ceux qu’il aime fondre à vue d’œil.
Car c’est beaucoup trop difficile. Vivre en sachant que quelqu’un est mort pour que j’ai ce droit. Cela m’écrase d’une pression quotidienne et infatigable. Chaque pas de travers, chaque petite négligence, chaque moment de ma vie où je ne me donne pas à fond ressemble à une trahison envers celui qui a tout abandonné pour moi.
Vivre pour soi-même est déjà si dur. Alors, vivre pour deux.
Et si je ne peux réécrire l’histoire, c’est forcément de ma faute. Qui d’autre pourrais-je bien blâmer ? Notre ennemi ? Je lui trouverai mille et une excuses. Ma faiblesse ne peut-être que la seule cause de sa mort. Car si j’avais été assez fort… Car si j’avais été à un autre endroit… Car si j’avais agi différemment.
Si. Et si. Et peut-être que.
Je le sais pourtant. Que ce n’est pas sain. Que vivre pour moi-même serait la meilleure façon d’honorer sa mémoire, de rendre hommage à tout ce qu’il a accompli.
Alors j’essaye. Petit à petit. De me lever, chaque jour, sans essayer de lui prouver qu’il a bien fait de me sauver. D’embrasser ma compagne sans voir le visage endeuillé de la sienne. De vivre simplement, en cherchant mon propre bonheur, et pas celui d’un autre.
Mais c’est dur.
C’est vraiment dur.
Car vous savez, c’est dur de mourir pour quelqu’un.
Mais vous savez ce qui est encore plus difficile ?
De vivre pour soi-même.
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Maël Guinot
Je me suis réveillé un matin, un matin comme tous les autres. Mais je ne m'attendais pas à trouver une mer rouge dans ma cuisine.
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Maël Guinot
Chaque mois, un arc-en-ciel qui traverse la planète est tiré depuis une mystérieuse ville. Une ville sans lois si ce n'est celle du plus fort, contrôlée par les gangs, les fous et d'autres rebuts de la société. Dans ce labyrinthe mortel où la folie est reine et où le meurtre est monnaie courante, Alex, un adolescent, va se retrouver seul après que son seul et unique ami se soit fait tuer comme un chien avec la ferme intention de le venger. Le destin va lui faire rencontrer Deagle, l'un des tueurs qui fabrique les arcs-en-ciel...

Bienvenue dans la Ville aux arcs-en-ciel.
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Maël Guinot
Pas grand chose à dire. Juste que je dois écrire plus souvent, donc je posterai mes petits textes sans prétention ici. Je ne les relis même pas forcément. C'est juste un bout de moi. Des fois je republierai les textes en version propres sur mon profil, des fois non.
Bref c'est un peu un brouillon.
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Maël Guinot
Cela fait trois années que Dimitri enquête sur un groupe particulier. Une secte aux membres envoutants et dérangeants qui obsèdent complètement le jeune homme. Il est prêt à tout pour comprendre qui sont réellement ces marginaux et va aller jusqu'à rentrer dans la gueule du loup pour en observer les crocs de plus près.
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Maël Guinot
La vie du narrateur a drastiquement changé en à peine quelques jours. Tout est pourtant parti d'un simple plancher qui craque et de portes qui s'entrouvrent toutes seules. Il ne se doutait pas encore que son destin venait de prendre un tournant à pleine vitesse.
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Maël Guinot
Je suis seul dans cette bâtisse. Il ne reste plus rien d'intact, à part cet orgue.
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