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Julen Eneri

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Julen Eneri
Dans une jolie bâtisse Louisiane d’un petit village du Bassin d’Arcachon, les Terreu mènent une vie paisible. À quelques pas de là, une jeune fille a disparu vingt-six ans plus tôt sans qu’à l’époque l’enquête n’aboutisse. Une fugue, un meurtre ? Une question restée sans réponse. Chose étrange, Ayden, l’enfant de la famille peut la voir et communiquer avec elle.
La famille Terreu fait appel à Maude Duvignac, psychologue à la Fondation Charles Perrens de Bordeaux, pour aider Ayden à se débarrasser de ses multiples personnalités.
Elle est loin d’imaginer ce qui l’attend.
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Julen Eneri
22 mai 2024. Julen Eneri, rend visite à son épouse, plongée dans le coma depuis cinq longs mois au centre hospitalier de Bordeaux.
De retour à son domicile, les pompes funèbres locales le contactent. La concession funéraire baptisée MS-025 vient d’être vandalisée et une partie de la plaque sur laquelle le nom des défunts est inscrit a été retrouvée pour partie brisée. Pourtant ni Julen Eneri ni même sa famille ne possède de chapelle funéraire. Par curiosité, il se rend sur place et découvre dans le médaillon fixé sur le marbre, son visage. Le nom du défunt est le sien ainsi que sa date de naissance, le 25 mai 1974. Le plus étrange, la date de sa mort apparaît sur le morceau cassé, 25 mai 2024.
S’agit-il d’une macabre supercherie, d’une usurpation d’identité, du camouflage d’un crime ou bien de sorcellerie ?
Il ne reste que trois jours à Julen Eneri pour découvrir la vérité.
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Julen Eneri
Texte soumis.
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Défi
Julen Eneri


Un matin comme les autres et si différent.
5 h 00, la nuit, est fraîche et étoilée. Je porte la tasse de café encore tiède à mes lèvres.
La forêt, d’un noir épais, intense, est endormie. Les bruissements des brandes laissent deviner sa présence.
J’avance, pieds nus, dans la pénombre, vers les pas lourds qui résonnent sur la terre sableuse. Je devine l’animal qui m’observe. Il s’approche, frôle ma jambe. La paume de la main ouverte, je lui tends quelques morceaux de pomme. Mais la bête dédaigne l’offrande, s’écarte et s’éloigne d’un pas lent.
Je ferme les yeux, ressens une sensation de vide.
Paco, l’âne de mon fils, n’est plus de ce monde.
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Défi
Julen Eneri


Quarante plus un
Depuis quarante ans, Hollywood s’ingénie à écrire et produire des blockbusters de films catastrophes, Armageddon, Deep impact, Twister, 2012, le jour d’après, le pic de Dante, le jour où la terre s’arrêta…Mais en 2019, la liberté meurt en s’éteignant peu à peu avec l’apparition mystérieuse d’un simple virus.
— Qui allait pouvoir combattre ce nouveau virus ?
La cybercriminalité fut appelée à la rescousse.
— Un Malware ? Adware ? Botnet ? Ver informatique ? Attaque DDoS ? Vol d’identité ? Hameçonnage ? Ransomware ? Rootkit ?
— Non, l’arnaque du siècle.
Sans le moindre avertissement, une chauve-souris, un laboratoire chinois, un pangolin, décidaient de produire un événement extraordinaire dans un monde ordinaire.
Le paquebot le plus grand du monde, sur lequel venait d’embarquer l’humanité, appareillait vers l’iceberg de l’imbécilité.
— Les masques de protection ne servent à rien, d’ailleurs les français seraient incapables de les mettre correctement ! lança mademoiselle niaise.
— Chers compatriotes, comme pour les tests PCR, nos négociateurs ont échoué. La France ne disposera pas suffisamment de vaccins ! Surenchérit le maître du monde.
Aux aurores, les centres de vaccination étaient pris d’assaut.
— Et le papier toilette et les pâtes ?
— De même, on ne sait jamais…
En 2019, l’oscar de la bravitude fut remis au syndrome chinois, collé aux basques par le film « Terreur sur la liberté »
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Défi
Julen Eneri


Les questions : Comment te décrirais-tu en quelques mots ?
Si la mauvaise foi, le côté ronchon et la gentillesse étaient une discipline aux JO, je devrais pouvoir décrocher la médaille d'or Quel est ton prénom ?
Thierry et Julen. Où es-tu né(e) ?
Bordeaux. Quel est ton passe-temps favori ?
Cela dépend des moments, lecture, écriture, jardinage, randonnées, surf. As-tu des frères et sœurs ? Si oui, combien ?
1F et 1S As-tu des animaux de compagnie ?
Deux chiens et un âne mais finalement, c'est plutôt moi leur animal de compagnie. Quelle est ta couleur préférée ?
Bleu. Qu'est-ce qui te passionne le plus dans la vie ?
Vivre. As-tu un plat préféré ?
Pâtes, pizzas, tacos, hamburgers, tapas ; là je pense avoir mes cinq fruits et légumes par jour. Quel est ton film préféré ?
Le rapace de Giovanni. Quelle est ta série préférée ?
En ce moment, Permis de vivre. Quelle est ton émission télévisée préférée ?
Aucune. Quel est ton livre préféré ?
Loin de Chandigarh Quel est ton auteur / autrice préféré(e) ?
Tarun Tejpal Quelles sont tes qualités principales ?
Gentillesse, générosité, écoute. Quelles sont tes faiblesses ou tes points à améliorer ?
Ma carapace d'ours. Quelle est ta devise ou ta citation préférée ?
Sois toi-même, toutes les autres places sont déjà prises (Ce n'est pas de moi) Préfères-tu le thé ou le café ?
Les deux. Comment passes-tu tes week-ends ?
Dehors, toujours. As-tu des talents cachés ?
Oui. Qu'est-ce qui t'inspire dans la vie ?
Les autres, même les plus humbles. Quelle est ta saison préférée ?
L'été. Aimes-tu voyager ? Si oui, quelle est ta destination préférée ?
Indonésie et Australie, mes deux premières destinations à 19 ans durant 18 mois. Farniente, surf et découverte en Indo. Travail et découverte en Australie. Quelle est ta chanson préférée ?
« Il suffirait de presque rien » de Reggiani. Préfères-tu les chiens ou les chats ?
Les chiens. Quelle est la chose la plus précieuse pour toi ?
L'amour. Préfères-tu la montagne ou la mer ?
Les deux. Es-tu plutôt du matin ou du soir ?
Les deux. Aimes-tu cuisiner ? Si oui, quel est ton plat préféré à préparer ?
Les pad Thai Préfères-tu lire ou regarder des films ?
Lire. As-tu des projets personnels ou professionnels dont tu es fier(ère) ?
oui. As-tu des croyances ou des valeurs qui te sont chères ?
être tourné vers les autres plus que sur soi. Préfères-tu le sport ou la lecture ?
Les deux. Comment te vois-tu dans 10 ans ?
Désolé, je ne suis pas voyant. Quelles sont tes habitudes matinales ?
M'étirer et manger la porte de la chambre dans le noir. Préfères-tu la ville ou la campagne ?
La forêt, j'y vis. Quel est ton parfum de glace préféré ?
Rhum raisins, mais vivement qu'ils dégagent les raisins. Comment définis-tu le succès ?
Hasardeux. As-tu des personnes qui t'inspirent ?
Mon père, mais il n'est plus de ce monde. Préfères-tu sortir avec des amis ou rester à la maison ?
Sortir avec des ami(e)s As-tu des compétences particulières que peu de gens connaissent ?
Oui. Quelle est ta plus grande peur ?
J'ai eu la chance de vivre une expérience particulière très jeune, donc pas de peur véritable ou alors d'être déchiqueté par un crocodile, mais il n'y en a pas par chez moi. Quelle est ta plus grande réussite jusqu'à présent ?
Mon fils. Qu'est-ce qui te rend heureux(se) ? Mon fils, bien qu'il m'agace aussi. Quelles langues parles-tu ?
Français, espagnol, anglais. Quelles sont tes attentes envers l'avenir ?
Que rien ne change, du moins pas trop vite. Préfères-tu l'été ou l'hiver ?
L'été. Aimes-tu rencontrer de nouvelles personnes ?
Oui, chaque nouvelle rencontre m'enrichit. As-tu des habitudes ou des manies particulières ?
Défoncer une porte avant de m'assurer qu'elle n'était pas vérouillée. (Fait récemment) Quelle est la leçon la plus importante que tu aies apprise dans la vie jusqu'à présent ?
La vie est une roue qui tourne, quand tout va bien prendre le temps d'en profiter en se disant que demain sera moins drôle. Et quand ça sent le roussi, se rappeler que demain tout ira bien.
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Julen Eneri
Princesse de sang, chanteuse égyptienne, agent double ?
Ce nouveau roman s'inspire d'un fait historique, de celle qui fut, jusqu'en 1944, la plus belle voix du monde arabe.
Nous sommes en 1940. En Europe, la guerre fait rage. L’Égypte, bien que liée au Royaume-Uni par de nombreux traités, est neutre.
Une auto file à travers le delta du Nil, en direction de Ras al-Barr, “la tête de la terre”, une luxueuse station balnéaire située à proximité de Port-Saïd. Fait bien singulier pour le pays et l’époque, c’est une jeune femme qui conduit. Avec ses deux compagnons, les comédiens Mohamed al-Tabai et Gamal Gabr, elle chante une qasida, un poème médiéval que le grand compositeur Zakaria Ahmad vient de mettre en musique. Elle parvient à un passage émouvant qui commence par ces mots :
« Ah mes amis, si ce sont nos tombes qui emplissent ce cimetière, qu’en est-il donc des tombes des temps anciens… »
Soudain, elle crie et lâche le volant. Ses amis s’en emparent : il s’en est fallu de quelques secondes que le véhicule ne verse sur le côté, dans un profond canal. Quand elle revient à elle, la belle balbutie : « J’ai entendu les chants funèbres de mon pays. »

Quatre ans plus tard, le 14 juillet 1944, la même Asmahan, “la sublime”, repasse à bord d'une Rolls par la même route, avec son amie et assistante Mary Qilada ; mais ce n’est pas elle qui conduit. La voiture dérape, tombe à l’eau. Le chauffeur, un inconnu qui a été substitué à la dernière minute au professionnel dont elle a l’habitude, disparaît. Les deux passagères se noient…
Syrienne née dans une famille princière druze, Asmahan était sur le point de devenir, à 31 ans, la plus grande chanteuse du monde arabe et d’éclipser Oum Kalsoum elle-même. Le destin en a décidé autrement.
Un deuxième roman historique après la peur des ombres dans lequel vont s'imbriquer, la romance, l'amour, l’espionnage et le crime.
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Défi
Julen Eneri


— Commissaire Royanez, par ici !
Une brise légère soulève légèrement le bas du voilage de la fenêtre de la pièce, assombrie par les volets clos. Rafael, l’inspecteur-adjoint, est accroupi auprès du corps allongé d’un homme, vêtu d’un uniforme de marine blanc. Le macchabée a été disposé, les bras et mains croisées sur la poitrine, les jambes jointes, l’image cerclée d’un christ posée dans la bouche.
— Alvaro, c’est le même tueur, ou bien l’un de ses complices, assène l’inspecteur-adjoint.
— Un double homicide, Rafael, tu reprends l’enquête d’Alfred Marinetti. Maintenant, c’est du lourd. Il me faut le dossier, les photographies du marais et le rapport pour hier !
— Le tueur des cercles a recommencé ?
— À toi de me le dire, petit génie.
— Commissaire, il y a une nouvelle inscription en latin dans le cercle,
L’inspecteur-adjoint tend au commissaire l’image.
— Originale peccatum, Adam et Eva, adtrivit fructum vetitum. [1]
— C’est-à-dire, commissaire ?
— La gourmandise. C’est pour cela, Rafael, que le tueur a placé l’image dans la bouche.
— Ton verdict ?
— On doit se concentrer sur la signification des sphères. Le tueur connaissait sa victime. Rafael, regarde les marques sur les poignets. Il l’a bâillonné, puis il a attendu que l’homme reprenne conscience avant de le faire parler et le tuer.
— Une mort douloureuse.
— Ce meurtre imite celui du marais. La position du corps est identique à celle de Marinetti, sans compter le symbole religieux.
Le commissaire s’éloigne de quelques pas de la dépouille, et inspecte la chambre d’à côté. Il est soudainement intrigué par des traces sur le sol poussiéreux. Il s’accroupit et se penche sous le lit. Des morceaux de chaîne cassés, sont dispersés.
— Rafael, vient voir.
— Qu’y a -t-il commissaire ?
— Regarde, des bouts de pendentif. Il y a peut-être un médaillon, cherchons tout autour.
— Apparemment, il y a eu une lutte dans cette pièce. Peut-être une piste…
— Non, Rafael, le tueur, est méticuleux, on ne trouvera pas de marques ici.
— La machine se remet en marche, Alvaro. Et si notre homme, avait un ou plusieurs complices ? Que dis-tu d’une secte ?
— Et pourquoi pas un fan-club ?
— Ta tuerie en série se termine, là où commence ma traque, marmonne le commissaire Alvaro Royanez.
— Que dîtes-vous ?
— Rafael, je dois y aller. Je veux ton rapport et tout le dossier, sur mon bureau, pour la fin de la journée.
— Et la presse ? Toujours le même charabia à déblatérer, du travail d’équipe, six mois d’enquête, blablabla …
— Je me fous de tes sarcasmes, j’ai besoin du dossier complet rapidement. Occupe-toi du corps de ce malheureux, et pas de bavures avec les communiqués de presse. Si les journaux s’emparent de l’affaire, ces cons vont voir des morts partout !

[1] Le péché originel, Adam et Eve, croquant le fruit défendu.
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