La rose d'Orient.
Princesse de sang, chanteuse égyptienne, agent double ?
Ce nouveau roman s'inspire d'un fait historique, de celle qui fut, jusqu'en 1944, la plus belle voix du monde arabe.
Nous sommes en 1940. En Europe, la guerre fait rage. L’Égypte, bien que liée au Royaume-Uni par de nombreux traités, est neutre.
Une auto file à travers le delta du Nil, en direction de Ras al-Barr, “la tête de la terre”, une luxueuse station balnéaire située à proximité de Port-Saïd. Fait bien singulier pour le pays et l’époque, c’est une jeune femme qui conduit. Avec ses deux compagnons, les comédiens Mohamed al-Tabai et Gamal Gabr, elle chante une qasida, un poème médiéval que le grand compositeur Zakaria Ahmad vient de mettre en musique. Elle parvient à un passage émouvant qui commence par ces mots :
« Ah mes amis, si ce sont nos tombes qui emplissent ce cimetière, qu’en est-il donc des tombes des temps anciens… »
Soudain, elle crie et lâche le volant. Ses amis s’en emparent : il s’en est fallu de quelques secondes que le véhicule ne verse sur le côté, dans un profond canal. Quand elle revient à elle, la belle balbutie : « J’ai entendu les chants funèbres de mon pays. »
Quatre ans plus tard, le 14 juillet 1944, la même Asmahan, “la sublime”, repasse à bord d'une Rolls par la même route, avec son amie et assistante Mary Qilada ; mais ce n’est pas elle qui conduit. La voiture dérape, tombe à l’eau. Le chauffeur, un inconnu qui a été substitué à la dernière minute au professionnel dont elle a l’habitude, disparaît. Les deux passagères se noient…
Syrienne née dans une famille princière druze, Asmahan était sur le point de devenir, à 31 ans, la plus grande chanteuse du monde arabe et d’éclipser Oum Kalsoum elle-même. Le destin en a décidé autrement.
Un deuxième roman historique après la peur des ombres dans lequel vont s'imbriquer, la romance, l'amour, l’espionnage et le crime.
Ce nouveau roman s'inspire d'un fait historique, de celle qui fut, jusqu'en 1944, la plus belle voix du monde arabe.
Nous sommes en 1940. En Europe, la guerre fait rage. L’Égypte, bien que liée au Royaume-Uni par de nombreux traités, est neutre.
Une auto file à travers le delta du Nil, en direction de Ras al-Barr, “la tête de la terre”, une luxueuse station balnéaire située à proximité de Port-Saïd. Fait bien singulier pour le pays et l’époque, c’est une jeune femme qui conduit. Avec ses deux compagnons, les comédiens Mohamed al-Tabai et Gamal Gabr, elle chante une qasida, un poème médiéval que le grand compositeur Zakaria Ahmad vient de mettre en musique. Elle parvient à un passage émouvant qui commence par ces mots :
« Ah mes amis, si ce sont nos tombes qui emplissent ce cimetière, qu’en est-il donc des tombes des temps anciens… »
Soudain, elle crie et lâche le volant. Ses amis s’en emparent : il s’en est fallu de quelques secondes que le véhicule ne verse sur le côté, dans un profond canal. Quand elle revient à elle, la belle balbutie : « J’ai entendu les chants funèbres de mon pays. »
Quatre ans plus tard, le 14 juillet 1944, la même Asmahan, “la sublime”, repasse à bord d'une Rolls par la même route, avec son amie et assistante Mary Qilada ; mais ce n’est pas elle qui conduit. La voiture dérape, tombe à l’eau. Le chauffeur, un inconnu qui a été substitué à la dernière minute au professionnel dont elle a l’habitude, disparaît. Les deux passagères se noient…
Syrienne née dans une famille princière druze, Asmahan était sur le point de devenir, à 31 ans, la plus grande chanteuse du monde arabe et d’éclipser Oum Kalsoum elle-même. Le destin en a décidé autrement.
Un deuxième roman historique après la peur des ombres dans lequel vont s'imbriquer, la romance, l'amour, l’espionnage et le crime.
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