Ca y est, je suis dans mon cockpit.358 vols au compteur et j'entame le 359 ème. Un de plus, pour moi C'est égale mais si j'avais sû que celui là serait peut être le dernier...
C'est parti, je lance la bête. Je sors le déploiment des ailes. Atteignant une vitesse de 350 km/h et une bonne lancée je décolait. C'est partie, direction Los Angeles. Je métrisai tellement bien les boutons que c'est à peine que je leurs donnais des prénoms. Ce moment arriva : dans un regard on peut tout dire et dans le mien on voyait la panique. Mon copilote lui non plus ne comprenait pas ce qu'il se passait.
L'avion devenait incontrôlable. Comme si je n'avais plus aucun contrôle dessus. C'était le cas. A travers la glace du cockpit je voyais du noir, seulement ça.Je me sentis si impuissant. j'avais la vie de centaines de personnes entre mes mains. Mais cette fois leurs vies, je ne pouvais pas les sauver.
C'est là que je me rendis compte que l'avion avait disparu du contrôle aérien.
A part moi, personne ne savait ce qu'il se passait...
A suivre...

Pour la première en 20 ans de carrière, je ne savais pas quoi faire. Je pense que personne à ma place ne serait quoi faire aussi. J'étais le seul à pouvoir sauver la situation.
Pourquoi cet avion avait-il disparu des contrôles aériens ? J'avais l'impression que ce tunnel noir était infini, et que nous étions condamnés à mourir tous dedans. Le monde, le destin avait décidé que nous devions en finir comme ça, et s'il avait décidé, ça, nous ne pouvons rien y faire. je savais que sûrement une centaine de personnes n'allait plus jamais revoir leur famille, mais moi non plus, je n'allais plus revoir la mienne. C'est là que tout au bout du tunnel je vis une petite lueur. Cette lumière, j'avais l'impression qu'elle serait la lumière de l'espoir. Que grâce à elle, nous allions nous en sortir. Petit à petit, nous commencions à nous rapprocher de cette lumière. Ce que j'ai vu, après, m'a tellement choqué…
À suivre…

Un matin, comme d'habitude j'allais chercher mon courrier.
C'est la que je vis deux personnes, pas le facteur... Une personne ressembler beaucoup a moi, une petite fille.
Cette petitie fille n'avait pas trop confiance en elle, elle était timide, mais surtout on aurait dit qu'elle ne s'aimait pas.
L'autre personne était plus grande que moi, en taille et en age. Elle était grande, belle, et avait l'air d' être sur d'elle.
La plus grande me dit :
- Bonjour, moi et cette petite fille sommes toi, toi du passé et du futur.
Sous le choque et essayant de comprendre comment cela est possible, je me calmis.
Pleins de questions me vinrent- en tête. Alors je dit a mon moi du futur:
- Bonjour, j'ai une question a vous...
- Tu peux me tutoyer, je suis toi.
- Ok, alors j'ai une question a TE poser: Est ce que je vais réussire a réaliser mes rêves ?
La moi du future pris la parole :
- Ce ne sera pas facile, tu vas vouloir abandonner, et puis tu vas échouer, recommencer, rééchouer, rerecommencer, et tu vas réussire. Donc oui.
- Merci, maintenant j'aimerais te parlais moi du passé. Juste, ai confiance en toi, aime toi comme tu es, si tu es comme ça accepte toi comme ça.
Elle dit d'une voix timide :
- Merci.
Elle finie sa phrase en me faisant un clin d'oeil. Avec ça, j'ai tout compris. La moi du future me dit :
- Nous devons y aller maintenant, nous avons notre vie de notre côter a terminer.
D'un signe de la main je leurs faisait aurevoir pendant qu'elle franchissaient le portail.

FIN

Les heures et les jours défilent
Pourquoi mettrait-on une telle motivation,plus un jour qu'un autre.
On finira tous au même au même endroit, enfer ou paradis.
L'argent ne sert a rien,
juste à avoir une vie plus agréable.
C'est pas non plus car tu es mauvais à l'école que tu es bête.
La pression, tu ne seras jamais assez bien quoi que tu fasses !
Si tu as le cancer et qu'on t'y soignes, tu n'es pas guéris,tu mourreras juste plus tard.
Cette question : quand on se lève le matin, c'est un jour de moins ou un jour de plus ?
Un jour de plus vers le jour de moins.
Cela pourrais bien remettre une vie en question...
Ce texte ne sert à rien, juste à décrire la routine.
Je ne signe pas ce texte, il finira oublier, déchiré. Si je signe, moi aussi je serais oublier.
Au moins je serais l'autrice annonime.
Je veux juste être la personne qui voyait le monde comme ça, la vie comme ça