Greg "LeGreg" Siebrand
Salut, moi c'est Greg! J'ai commencé à poser des vers sur des feuilles de papiers durant mon adolescence. Depuis quelques années, je partage mes écrits sur la toile. Amoureux de la culture libre, j'ai décidé de laisser tous mes écrits en libre accès. Ceux qui le souhaitent peuvent me soutenir via un don ou une acquisition de mes histoires dans de jolis objets que l'on appelle communément livres. Je ne prétend pas être un Rimbaud ou un Hugo, mais je ne demande qu'à m'améliorer!
Vous pouvez également me trouver sur mon blog, où je radote aussi sur le monde, la technologie, la culture libre et mon parcours dans l'auto-édition en plus de mes histoires.
Vous pouvez également me trouver sur mon blog, où je radote aussi sur le monde, la technologie, la culture libre et mon parcours dans l'auto-édition en plus de mes histoires.
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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus
Œuvres
"Le monde va mal. La haine, la colère, la suspicion sont légion sur notre terre. J'ai décidé de changer tout cela. J'ai un don. Celui de lire et modifier les pensées. J'ai décidé de le mettre à profit pour égayer le quotidien des gens, pour rendre le monde meilleur et plus beau. Tout se passait bien. Mais un jour, je me suis attaqué à un très gros poisson, et tout a foiré."
Cette histoire est toujours en cours de rédaction, et sera découpée en épisodes réguliers. Elle est dédicacée à Pouhiou, qui m'a grandement inspiré avec les noénautes. Elle a été choisie, parmi 5 synopsis, par les lecteurs de mon blog.
Cette histoire est toujours en cours de rédaction, et sera découpée en épisodes réguliers. Elle est dédicacée à Pouhiou, qui m'a grandement inspiré avec les noénautes. Elle a été choisie, parmi 5 synopsis, par les lecteurs de mon blog.
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Ceci est une histoire toute simple, celle d’un adolescent trop sensible qui se prend le monde en pleine figure. Il ne comprend pas les injustices, n’arrive pas à trouver sa place dans la société, à un tel point qu’il dégringole bien bas. Ce récit est le parcours d’un jeune qui galère et de son passage à l'âge adulte. Pourtant, rares sont ces ados qui parlent de leur ressenti, de leur vécu. Ils se retrouvent bien seuls face à un monde qu’ils ne comprennent pas. Ce témoignage leur est destiné, pour montrer qu’ils ne sont pas seuls à vivre ces moments difficiles. Il s'adresse également à tout un chacun, pour tenter d’expliquer des problématiques graves comme le suicide, les crises d'anxiété et les fuites dans les royaumes artificiels. Ce livre se termine par la vision actuelle de l’auteur sur la société et sur son parcours. Pour montrer qu’un autre monde est possible.
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Il est loin, le temps de l’âge d’or.
Elle n’est plus, la splendeur d’alors.
Par ces maux et malheurs, Gogol nous ruina,
À une longue nuit sans saveur, il nous condamna.
Les peuples d’Alinora sont totalement désunis,
Des Trapus, nous n’entendons plus aucun bruit,
Les Sylvains, dans leur sombre forêt se sont retirés,
Les Tirgalions, dans leur contrée, complètement oubliés.
Les Hommes n’ont plus de roi et de lumière pour les guider,
Brisée, la grande lignée Inothaï aux quatre vents s’est éparpillée,
Les chefs des grandes familles se proclamèrent maîtres et rois,
À l’unité des hommes et à la paix, plus personne ne croit.
Prends garde, car les heures les plus sombres sont encore à venir,
Car les tourments et grands malheurs sont appelés à revenir,
Un jour sans lune, son esprit se réveillera,
Et sa soif de colère et de pouvoir nous consumera.
Prends garde à la lune écarlate,
C’est le signe ultime qui annoncera son éveil,
Il sera fin prêt à retrouver les pierres scélérates,
Et s’il les trouve, disparue sera la lumière du soleil.
Mais tout n’est pas perdu, il nous reste un espoir,
Qu’un esprit vaillant, nous guide dans le noir.
La descendance du dernier pourrait se révéler,
Et avec l’aide de valeureux, dans les ténèbres nous guider.
Si tel est le cas, Alinora pourrait revivre un âge d’or
Où paix, prospérité et sagesse nous prendrait à bras le corps,
Où les Tirgalions nous émerveilleraient à nouveau,
Où Sylvains, hommes et Trapus ne seraient plus rivaux.
Mais l’espoir est mince, car ce guide nous est inconnu,
et nous, hommes du peuple, depuis longtemps, ne l’espérons plus.
Nous prions constamment, pour qu’il se fasse connaître,
Afin que les ténèbres de Gogol, à jamais, puissent disparaître.
Légendes perdues d’Alinora, du Grand Sage Figuiel, de la maison Eliborienne.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
J'adore écrire. J'ai écrit ma première nouvelle à l'âge de 12 ou 13 ans, lorsque j'ai commencé à lire Stephen King, pour qui je vouais, à l'époque, une grande admiration. Adolescent, j'ai principalement écrit des poèmes, comme exutoire, lorsque cela n'allait pas (j'ai d'ailleurs, à ce propos, publié sur mon blog le recueil de tous ces textes, en téléchargement à Prix Libre et sera bientôt disponible au format papier sur lulu). Ecrire me démange, et j'écris tous les jours. Pourtant, les aléas de la vie ont fait que j'ai stoppé l'écriture pendant plusieurs années. Je m'y suis remis il y a un peu plus d'un an. Je rêve à nouveau, comme lorsque j'étais ado, de pouvoir vivre de ma plume (à l'époque, conjuguée avec un titre de prof de lettres à l'université). J'écris donc des petites histoires, des billets de blog où je me livre, et je vais attaquer sous peu la relecture de mon premier roman sous peu. Ecrire, pour moi, c'est un besoin vital.