Gus delacho
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de toujours
Défi
Vincent n'est pas un garçon très mondain ni très aimable. À vrai dire, il est même bon pour ces interlocuteurs de ne pas trop le titiller.
Ce qu'il aime ? Les oiseaux, les Montagnes, les océans. Mais pour ces vacances, ses parents ont décidé à sa place la destination de villégiature...
Ce qu'il aime ? Les oiseaux, les Montagnes, les océans. Mais pour ces vacances, ses parents ont décidé à sa place la destination de villégiature...
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Cette expression enfantine et maladroite toucha le cœur de Vincent. Si seulement tout était si simple : Un monde binaire, avec des méchants pour unir les gentils. Qu’ Émile n'eut encore l'âge d'avoir conscience du conflit prouvait sans doute que l'enfance possédait cette force de ne percevoir les souffrances du monde, et donc ces propres souffrances. En période de guerre, la naïveté était un trésor.
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J'ai voulu, sur un coup de texte, raconter la traversée du désert que chaque écrivain en herbe traverse. Le doute démange le cœur. Il est parfois mortel de s'éloigner de l'écriture car on prend toujours le risque de ne jamais y revenir.
Que ce texte soit aussi l'occasion d'avoir vos témoignages !
Que ce texte soit aussi l'occasion d'avoir vos témoignages !
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Les premières ébauches d'un texte que je désirais vous proposer. Hâte d'avoir vos retours.
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Ces histoires qui ne vont jamais loin. Celle que l'on commence a écrire, sans trop en maitriser le destin. Ces personnages prennent vie dans notre esprit, aussi vite que sur notre ordinateur. Nous les aimons. Petit à petit nous nous convainquons de la pertinence de leur existence. Alors on les écrits. Puis on relit. La première fois, on se dit que des améliorations feront de cette œuvre un roman de génie. Alors, on considère utile de s'y investir. La passion est à son apothéose, l'histoire nous obsède. On se fait violence pour quitter nos personnages. La deuxième, on ne sais plus trop. Les idées vont dans tout les sens, notre improvisation nous mène dans un cul-de-sac, mais les encouragements autour parviennent à nous pousser à avancer. On est pas assez organisé dans notre travail pour savoir où on va mais qu'importe, on cherche juste à y aller. La troisième, on constate la démesure de notre emballement. On s'est raconté des histoires. Avec le recule, on constate la médiocrité de notre récit. Et puis on ne sait plus où on va. Quel œuvre vais-je produire ? Quel personnage sera le héros ? Alors voilà, Hélène, je ne sais pas encore si tu va survivre, ni si t'es amis et toi allez vous
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Trop penser. Souffrir de ce que l'on appel des "pensées intrusives". Ce texte sans prétention tente, avec dérision, de parler de ces voix dans la têtes qui sont parfois douloureuses.
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