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Seyra
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de toujours
Défi
Dans une ville connue pour ces cristaux et leur mélodie douce et apaisante, vivent nombre de personnes. Dont France, jeune femme en couple depuis deux ans avec Gabriel, jeune homme de deux ans de plus qu'elle. France, annequin, chanteuse et compositrice partait comme tous les matins à 6h au travail. Un café à la main, elle se trouve nez à nez avec une foule de journalistes voulant l'interviewer. Ils la laissent passer et elle bouscule un jeune homme. Elle s'excuse aussitôt. Il part sans un mot. Quel jeune homme étrange, pense-t-pense-t-elle . Elle monte dans sa voiture et file au bureau. Elle aperçoit à nouveau le jeune homme puis plus rien. Elle va dans son bureau pour composer sa chanson et l'envoyer à son producteur. Shooting photos et déjeuner avec son manager.
Production de chansons et nouvelle bousculade du même jeune homme. Cette fois-ci, elle tombe à la renverse. Il la relève sans un mot. Un silence oppressant s'installe jusqu'à ce que l'inconnu s'en aille.
À la fin de la journée, elle retrouve son compagnon. Il l'embrasse sur le front et part au poste de police pour bosser sur une affaire urgente. Toute confuse, elle s'endormit habillée.
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Laissez vous plonger dans une histoire qui va vous transporter dans la vie d'Adrienne dont la vie a basculé en une fraction de secondes...
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J'étais l'impératrice Cora, mariée de l'empereur Martin depuis peu mais il m'aimait malheureusement. Sauf que ce n'était pas réciproque, c'était un stupide mariage arrangé. Heureusement pour moi, j'avais encore quelques libertés, j'avais de nombreux amants et vivais bien ainsi, même si cela faisait souffrir l'empereur. Il a mis fin à ses jours à cause de cela. Seulement, le peuple ne fonctionnait pas sans lieu, j'avais donc décidé de remonter le temps comme me l'offrait mon pouvoir. J'ai donc remonter le temps à aujourd'hui, le jour où l'empereur prenait la décision de son épouse. Il organisait un grand banquet pas un bal, on ne pouvait pas y danser. Et comme tous voyages dans le temps, il y avait des conséquences. J'étais au banquet avec mon masque couleur bordeaux sur les yeux avec une coupe de champagne. Je me mis à tousser, un des séquelles du voyage dans le temps. Un toux violente, je pris de grandes inspirations et une gorgé de champagne. Toutes s'étaient déjà présentées devant l'empereur. Un organisateur vint à ma rencontre en m'entendant tousser, je lui dis que j'allais rentrer car je ne me sentais pas très bien, il me dit qu'il comprenait. Je parti aussitôt. Sauvée, avec l'empereur et le peuple tout entier. Il ne restait plus qu'à prolonger l'action jusqu'à ce que l'empereur trouve une épouse convenable, cela serait facile puisque je risque d'être malade pendant quelques jours.
Le lendemain matin, j'ai une toux et de la fièvre, mais dans l'ensemble, ça va.
Quelques jours après, l'empereur n'avait pas choisi sa future femme, pourtant, par le passé, il m'avait déjà choisi. Je poussa un soupir, ce n'était plus mon affaire... Et pourtant, je m'en souciais encore.
Les jours passent et toujours aucune demande en mariage, ça m'inquiète. Il doit certainement avoir la pression de ses parents, pourquoi ne fait-il rien ? Brouillard, c'est la magie de l'empire voisin. On entend le son d'alarme. Une bataille ? Je me précipite vers le palais, des soldats encerclent l'empereur. Mon cœur bat extrêmement vite. J'arrête le temps. Je m'avance vers les soldats. Et puis je vois visage résigné de l'empereur. Des larmes coulent le long de mes joues. J'encercle mes bras autour son coup. Qu'ai-je fait ? Non, je ne le laisserai pas mourir une deuxième fois par ma faute. L'armée est trop grande. Ses parents sont déjà morts. Toujours en pleurant, je fais léviter l'empereur dans les airs et part vers le royaume blanc.
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Défi
Une main posée sur ma joue, le plus grand comte Roan, et surtout le plus redouté de tous, il me regardait de ses yeux bleus acier. M'aimait-il ? Moi, je pensais car il m'avait sauvé du Baron Waltford. Mais la nuit précédant le mariage (arrangé ?), je me suis rendu compte qu'en fait, je ne l'aimais peut être pas tant que ça. On est sans doute allé trop vite... En posant sa main, il devait s'attendre à se que je fasse la même chose ou que je lui sourris. Or, je ne fis rien. D'un ton calme et peut-être un peu inquiet, il me demande :
- Vous allez bien ?
Je hoche la tête.
Il s'assoit à l'autre bout de la table pour être en face de moi. Cette distance qui nous sépare est la même que la distance établit par la table. Cette table est un objet matériel mais la distance que je met moi-même est peut-être bien réelle. Que d'incertitudes. En même temps que nous mangeons, il engage la discussion bien décidé à trouver ce qui ne va pas :
- Qu'avez vous prévu de faire aujourd'hui ?
- Je pensais lire un bon roman et prendre le thé dans le jardin.
- Et si, nous lisons ensemble un roman, ce matin et que cet après-midi, vous prenez le thé dans le jardin de chez ma sœur ? Ça vous va ?
- Bien sûr.
- Je ne veux juste pas que vous restiez seule, le baron est toujours en liberté et malheureusement, on ne peut pas encore l'accusé tant qu'on a pas de preuve matériel.
- ...
Ce baron, n'était autre que mon père, il avait tué ma mère et ma sœur. C'est le comte qui m'a sauvé, sinon... sinon... il m'aurait tué aussi...
Il se rapprocha de moi.
- Il y a des gardes de l'armée royale qui protège notre demeure, ils t'accompagneront. Tout va bien.
Il dépose un baiser sur mon front et me prit par la main.
- On va le chercher ce livre ?
- Oui.
Nous allâmes à la bibliothèque de la demeure puis, nous nous dirigeâmes vers le salon. Cette fois-ci, il ne laissa aucune distance nous séparer. On est côte à côte. J'ouvre le roman, puis, il me fait signe de venir contre son épaule. Je lui réponds non d'un signe de la tête. Il insiste et je pose ma tête sur son épaule et reprend mon roman. Il toussote pour attirer mon attention. Je me mets à rigoler.
- Quoi ? Qu'y a t'il ?
- Vous n'avez pas envie de lire, en fait ?
Un peu honteux, il répond :
- Non, pas tant que ça.
Je me relève. Je le regarde et demande :
- Alors, vous voulez faire quoi ?
- Eh bien...
Il était toujours un peu honteux.
- Eh bien, il faudrait aller acheter des tenues pour le bal d'anniversaire de l'impératrice...
- Nous sommes invités ?
- Oui, bien sûr.
- D'accord, allons-y.
- Je sais que ce n'est pas ce que vous aviez prévu...
- Ce n'est pas grave. Laissez vous aller me changer, je ne peux pas y aller en tenue de maison.
Il me prit le bras pour faire tomber assise sur ses jambes.
- Vous êtes belle en toutes circonstances.
- Vous savez très bien que tout le monde ne me voit pas comme ça. Je ne peux pas me présenter ainsi.
Au moment où j'allais pour me changer, il me dit cette phrase qui me toucha beaucoup :
- Vous n'êtes plus la fille illégitime du baron Waltford. Vous êtes désormais la femme du comte Roan. Vous êtes la comtesse Safran.
On sélectionna trois robes que j'essaya. Le coup de cœur fut quand même pour la robe doré avec de petits diamants et quelques dentelles. Un collier et des boucles d'oreilles assortis et c'était parfait. Le vendeur m'a dit que j'avais l'allure d'une princesse. Ce compliment m'alla droit au cœur. Je le remercie. Puis se fut le tour de Roan. Il sélectionne trois costumes mais notre coup de cœur fut pour le costume bleu marine très foncé avec une petite rose rouge près du cœur et une partie en blanc. Le vendeur lui dit qu'il avait l'allure du comte Roan. Je me mis à rire tandis que Roan le fussillait du regard et que le vendeur fit mine de rien. Je dis à Roan :
- Ce qu'il veut dire par là, c'est que vous êtes beau comme toujours.
Il rougit et partit se changer.
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Défi
Elle était encore jeune et pleine d'espoir. Elle rêvait d'amour et de vivre une belle histoire d'amour. Elle était amicale et attentionnée. La recherche fut dense mais sans résultats. Uen collégienne aux cheveux chatins clairs et au grand cœur rêvait. Une coupe de cheveux, un compliment et une illusion. Une si belle et romantique illusion dont elle ne voulait se défaire. C qui avait changé sa coupe de cheveux une unique fois, c'était prise des compliments d'amies et de lui en particulier. Il était nouveau au collège et était arrivé en début d'année scolaire. M un garçon aux cheveux marrons avait déjà discuté avec elle. Mais là, il s'agissait d'un compliment, elle ne compris pas tout de suite. Après tout, il lui avait juste dit "Ça te va bien". Sauf que le soir, sa phrase, ses mots, sa parole, son compliment lui revint à l'esprit. De nombreuses questions se posèrent dans sa tête. La passion la dévorait progressivement. Parler à sa meilleure amie, Lé aurait dû la ramener à la raison :
- Qu'est-ce que tu en penses ?
- Garde cette idée en tête mais ne te plonges pas dedans tant que tu n'es pas sûre.
Cet éclair de lucidité ne paraissait une faible vibration, comme l'électricité statique mais encore plus faible.
Toujours espérant, C avait envie d'y croire.
Avant les vacances de Noël, elle eut une idée pour lui parler, pour ça, il lui fallait son numéro. Le mensonge idéal lui vint à l'esprit, elle avait le numéro de son meilleur ami Luc. Puisqu'il faisait espagnol et eux deux italiens, il lui suffisait de lui dire qu'elle avait besoin de son numéro pour lui demander s'il voulait qu'elle l'ajoute au groupe de la classe et pour un cour d'italien. Ce qui marcha, elle eut son numéro ! La joie fut énorme et elle pu lui parler même si c'était de façon irrégulière.
Des messages un peu maladroit "Ça va, toi ?" Pourquoi marquait elle "toi" quasiment à chaque fois ? Elle se le demandait mais ne trouvait jamais la réponse. Parler de sa joie immense à son autre meilleure amie, Malik fut super et en parler à sa mère la soulagea. Des messages, l'amour progressive mais néanmoins, la distance entre les téléphones fut bien là. Elle était si timide que l'aborder dans la vraie vie lui paraissait beaucoup trop compliqué.
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En Amérique, il y a de tout, des journalistes, des chanteurs, des écrivains, des acteurs... Jane, une jeune journaliste talentueuse travaille pour un journal américain mondialement connu "La Vie Du Monde". Elle a déjà eu la chance de rédiger avec d'autres des articles. Son directeur Pablo Silver et accessoirement son petit ami depuis plus de dix ans voulait lui parler au petit déjeuner. Elle se doutait déjà de son annonce, elle avait un nœud dans le ventre. Lui avait une petite mine.
- Tu as dû t'en douter depuis le temps, pas vrai ?
- Oui. C'est qui ?
- Francisca.
- T'es sérieux ?! Avec ma tante ??!!
- Oui. On s'aime et ...
- Tu me quitte. Je connais la suite...
- Ne te sens pas blessé, je ne suis rien pour toi, à part ton directeur.
Elle resta d'un calme irréprochable. Elle se leva et partie au travail.
Quelques heures plus tard pendant la réunion, Pablo annonça les informations suivantes :
- Louis, tu pars à Bordeaux, en France, le sujet de ton article doit être les vins. Tu as une semaine et demie.
Francesca, tu pars en Norvège pour explorer les côtes, tu y vas pour une semaine grand maximum.
Etc...
Et enfin, Jane, tu pars en Russie pour faire un reportage et article sur les élections présidentielles, les candidats et sur le dirigeant. Tu y resteras pendant un mois maximum.
À sa grande surprise, Jane resta bouche b. Mais quelle opportunité !! Elle savait que c'était pour l'éloigner. Cependant c'était une occasion inespérée !
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