Alors que Achlys Erolwyn était pressentie pour devenir la prochaine Reine, un accident survenu durant son enfance l'en empêcha. La Reine Qhetheia, sa mère, fit alors le choix de garder sa fille unique au palais, cachée de tous.

Mais après douze longues années à vivre comme la prisonnière privilégiée de la cour, Achlys doit soudainement quitter le palais avec pour seule compagnie un amie d'enfance. Leur but? Trouver un lieu de sûreté pour la Princesse déchue. Là-bas, Achlys découvre ce qui caractérise son pays ainsi que les problèmes qui y règnent. Elle devra alors faire preuve de confiance et de self-control pour apprendre à maîtriser les étranges pouvoirs qui l'habitent. Pourra-t-elle accorder sa confiance à tout le monde?

Une chose est sûre: le royaume d'Efeilliad, dirigé par des femmes depuis sa création, devra faire face à des changements qui pourraient bien le mettre à feu et à sang.

Et si le temps était une personne? Le détesterions nous? L'aimerions nous? Ou alors ferions nous seulement attention à lui? Ceux qui disent que le temps n'a pas de prix feraient sûrement en sorte d'être son ami. Ceux qui n'ont que faire du temps l'ignorerai. Mais les personnes comme moi, à qui le temps à manquer à un certain moment, le haïrai.

Parfois le temps nous paraît long, et dans ce cas, nous aimerions qu'il accélère. Mais quand ce sont des moments purs, de bonheur ou d'amour nous serions prêts à tout pour le retenir quelques instants de plus.
Au final, le temps est il notre ami ou notre ennemi? Une fois encore certains diront que le temps ne peut être que notre ami. Pendant que d'autres s'acharneront à dire qu'il est notre ennemi et qu'il ne pense pas à nous. Dans ces deux cas nous avons tord. Le problème n'est pas le temps, mais la perception que nous avons du temps. Le temps ne peux pas être notre ami sans être notre ennemi. L'un ne va pas sans l'autre.
Il n'est pas possible de personnifier le temps parce qu'il n'est qu'une perception. On ne peut pas définir le temps comme une personne car au-delà de n'être qu'une perception il faudrait un individu représentant le temps pour chaque être vivant.

La prophétie qui annonçait la destruction de l'espèce humaine était oubliée du peuple d'Astrea, jusqu'au jour où la famille royale organisa une saison mondaine pour trouver une épouse au dauphin, faisant d'elle la prochaine reine.
Lors du premier bal, le prince Ares la rencontre. Elle n'était pas la plus jolie des femmes présentes mais elle avait cette attitude et ce charme qui la faisait ressortir du lot. Mais en réalité, cette jeune femme ne semblait pas être présente au palais pour la saison visant à séduire le prince.
Malgré leur but différent, une sorte de jeu s'installe entre les deux jeunes adultes après le premier bal, se cherchant, se provoquant. Elle finit par en oublier la raison de sa présence au palais, il finit par oublier qu'il doit chercher une épouse. Ce jeu du chat et de la souris dure quelque temps, mais malheureusement cette mystérieuse inconnue n'est réellement pas là pour les jolies yeux du prince...