Image

Moins d'une minute de lecture

L'Allier se prélassait dans le soleil timide,

Léchant nonchalamment ses sables les plus blonds ;

Sous le vieux pont de pierres aux arches impassibles

Qui ne s'avise pas de trouver le temps long.

Des canards au col vert se reposaient, tranquilles,

A l'ombre du moulin sur un lit de graviers ;

Le vent doux balançait une barque docile ;

Au centre du ciel blanc planait un épervier.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Ninib ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0