Les rues pleurent à la face du ciel
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Ils ont joué du violon satin…
Et la pluie frappe le sol
En direction des vidangeurs d’âme.
C’est en lustrant les tonneaux de suif
Que la suprême callipyge chante tes perles…
Lacrymales.
Et toi !
à genoux sur tes mensonges,
tu ne vois pas clair.
Et toi !
Raclant le fond des égouts
à la recherche d’un autre songe,
tu y trouves l’ennui nécessaire à ta souffrance.
Alors tu cris ta non joie à la face du ciel,
sans attendre le signe jouissif de l’esprit saint…
Tu pleures !
Et tu crèves sous les rires de l’assemblée qui semble s’amuser…
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