Je savoure tes caresses, ta bouche qui me picore, ta langue qui hésite entre le chocolat et ma peau. Mes mains passent sous ta culotte, je caresse tes fesses, je les soulève, et ça m’excite encore plus. Mes doigts se promènent sur ta peau fraiche tandis que ma queue durcie encore, collée à ton ventre, elle ne demande qu’à y entrer. J’attrape ton visage pour le ramener au mien, je dépose un baiser sur tes lèvres et je te dis « moi aussi je veux te déguster ».

De mes deux mains, j’enlève ton débardeur et te voilà, poitrine à découvert devant mes yeux gourmands. Je prends la cuillère, à mon tour de te chocolater le corps. Le téton droit d’abord. Le dos de la cuillère se colle à ton sein, y déposant un peu de matière fondue. Puis le gauche. Je l’entoure de chocolat, je passe sous le sein, je descends jusqu’à ton nombril et je remonte par ton flanc droit. Tu ressembles à une de ces statues vivantes, couvertes d’un drap irisé. Ta peau luisante sous le chocolat me donne envie de te dévorer toute crue.

Je replace la cuillère dans la casserole, et ma bouche trouve rapidement de quoi satisfaire sa gourmandise. Je lèche ton entre sein, en remontant. Je passe autour de tes tétons, te sentant frémir d’impatience. Je sais que tu aimes ça autant que ça te frustre. Ma langue nettoie le cacao, veut toucher ta chair durcie, mais je ralentis. Mes mains baissent ton pantalon, lentement. Puis ta culotte. J’admire ton corps. Ta nudité me donne envie de te prendre immédiatement mais je me retiens pour pouvoir m’occuper de toi, encore. Mon sexe est tendu, il coule légèrement devant toi, si sexy.

Je place mes mains sur tes hanches, et ma bouche ne résiste plus à ton téton chocolaté. Je l’aspire, je le lèche, je le mordille. Je t’entends soupirer et je bande encore plus. Ma bite va exploser d’envie.

J’enlève tout le chocolat, je prends le temps de tout lécher, tu es tellement bonne à goûter. Ma bouche étale plus qu’elle n’avale, ce qui me donne plus de labeur pour tout enlever, et j’adore sentir ta peau sous ma langue.

Chaque gorgée que j’avale, mélange de cacao coulant et de ta saveur me transporte ailleurs. Je suis dans un univers parallèle, un autre monde, perdu dans un monde où les sens sont plus que sollicités.

Ton odeur et celle du chocolat qui a fondu m’enivrent. Je ne sais plus ce qui me fait tourner la tête. Je passe sur ton autre sein, tu le tends vers moi, et ma bouche poursuit, te dévorant. Je m’occupe de tes mamelons durcis par le chocolat qui se fige peu à peu, et certainement par les caresses buccales que je leur inflige.

« Tu es divinement délicieuse. Je veux te dévorer entièrement ».