Allongée sur le lit, jambes écartées, je sens son cœur battre plus vite à l’idée du plaisir à venir. Mes doigts glissent sur mon corps, jusqu’à défaire mon soutien-gorge dont je me débarrasse. Mes tétons se dressent à l’instant où mes seins sont caressés par la fraîcheur de la pièce.

Yeux fermés, je laisse mes paumes se poser dessus. Avec des mouvements circulaires, je fais monter l’envie. Pendant quelques instants, ce petit jeu me satisfait.

Entre mes cuisses, je sens l’humidité tapisser mon intimité. Mon bas-ventre se fait de plus en plus brûlant. Le désir de toucher ma fente se fait plus intense. Mes doigts glissent le long de mon ventre. Le tissu de ma culotte est déjà mouillé. Une odeur se diffuse dans la chambre, celle de la luxure.

Bientôt nue, je me laisse aller à effleurer cette zone si intime. Une onde de plaisir remonte dans mon corps. Lorsque j’écarte mes lèvres, pour y passer un index, celui-ci devient moite de mon envie. Il glisse plus profondément en moi. Mon bassin s’agite. Mon pouce vient trouver mon petit bourgeon que je m’amuse à frôler.

Mon bas-ventre se fait plus chaud. Des gouttes de mon jus féminin tombent sur le lit. Mon souffle s’accélère. Avec des gestes précipités, je laisse entrer un second doigt. Cependant, cela ne me satisfait pas encore. Il m’en faut plus.

Entre les va-et-vient à l’intérieur de ma fente et les tapotements sur mon petit bouton de rose, je sens le plaisir monter. Encore et encore…

Je halète. Mon corps est brûlant.

Une vague monte. Monte… Jusqu’au moment où je ne peux la contenir. Le plaisir déferle en moi. Un cri nait et meurt dans ma gorge.

Le souffle court, le cœur battant, les mains trempées, je me redresse.

– Le spectacle t’a plu, mon chéri ?