Les coureurs et les coureuses avec leur passion. Les marcheurs qui cheminent dans le noir.

Les filiales qui suivent les fils de leurs parents. Les immobiles qui enterrent leurs émotions.

Et les explorateurs en marche, d'avant en arrière en quête.

Ce désert, est à perte du vue, aucun chemin et aucune cage. Je m'égare avec le vide.
Mes rêves se sont évanouis. J'erre avec ma faible lumière et j'ai peur qu'elle s'éteigne à chaque coup de vent. Je ne trouve nulle famille et nul métier où je suis Serene et heureuse. Chacun de mes pas me rappelle mon chaos. Tous ses instants sans l'âme et les yeux de l'amour. Mes regards me dévisagent et ma tristesse surgit. Tous ses beaux couples tout autour. Et moi, mes songes d'amour ne se matérialise pas. Mes larmes de solitude et de questionnement me disent que tout le monde me fuit sans en connaître la raison. Pourtant, j'essaye d'être parfaite. Mais mes collègues, mes camarades, et mes prétendants s'éloignent et l'amour me glisse entre les doigts.

À la recherche de ma flamme jumelle, pour que l'espoir revienne. Pour qu'enfin sa présence puisse me toucher, jusqu'à l'autre bout de monde. Vais-je le reconnaître ? Me reconnaîtra-t-il ? Ou bien partira-t-il ?
Est-ce qu'il voudra de moi ? Est-ce que je lui fais peur ?
Alors que je veux rendre une personne heureuse et émerveiller.
Le comble de la vie, est un morceau de cœur qui nous manque et le désarroi est là. Zéro idée me parvient pour me rapprocher de lui.
Ses larmes me caressent. Elles se font aspirées par le sable. Et je deviens desséchée.