Maman

Une minute de lecture

Ce texte pour écrire mes rêves.

Je veux que tu ne le lises jamais.

Tes objectifs ne sont pas ma paix.

J'ai réclamé avec mon cœur en guimauve.

Dans l'intention que tu ne sois pas la sorcière de Disney.

Mais un nuage de douceur.

Oh, maman, je voulais ta chaleur.

Je voulais dans cette fraternité infinie qu'on marche.

Ensemble dans les erreurs, les pleurs et les sourires.

Cependant, pour l'éternité, tu accours

À ne pas me pardonner d'être vivante.

Ses larmes de bébé énervantes.

Était de la survie face au manque.

Et non, la trahison de ta maladie psychique.

Maman, tu ne m'as rien donné et je t'aime.

J'ai cru à la balade de bohème.

J'espérais que tu sois ma meilleure amie.

Qu’un jour, tu allais devenir Marie.

M'élever comme un ange gardien.

Pour réussir les vœux secrets de mon jardin.

Avoir le droit de souffrir et d'être heureuse ensemble.

Pourtant ta zone d'amour est inactive.

Maman, tu ment, tu tape, tu vole, tu cris, tu rabaisse et tu manipule.

Même la famille tu la disloqué.

Tes choix et tes pensées,

Te font rester un zombie.

Tu as retranscrit,

La souffrance de tes parents sans être rassasiée.

Tu règnes mieux sur la solitude.

Tu es devenue une laide génitrice.

Dans ton monde,

Je suis la méchante.

Et j'y resterai.

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