Par hasard, un atout, d'avoir deux parents.

Un papa, aveugle et flotte sur sa sérénité.

Pendant que ses enfants sont tourmentés.

Notre abandon grâce à tes mots écoeurants.

Tu as toujours bien travaillé, pour tout éviter.

Mais ta malice t’as fait perdre pied.

Au diable, tu es son meilleur coéquipier.

Tes farces pour effacer mon sourire émerveillé.

Je te rappelle l’une de tes actions :

“ Tu as une araignée au plafond. Tu souris, t’as l'air folle.”

Je rêvais et vous êtes des vautours en idéation.

Je ne comprends pas votre humour fofolle.

C'est vrai, je ne suis pas chez moi.

Mes sœurs et moi, nous sommes venues vers toi.

Tu nous as montré tes points.

Papa, tu es pitoyable.

Tu ne nous as pas protégés.

Tu nous as tout volés.

Je suis une offrande,

Pour votre bien-être.

J'ai la rage.

Je suis l’objet qui a tout percé.