Chapitre 19. Iona ses désirs  secrets.

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### Iona ###

Le deuxième jeu de test se révéla aussi négatif. Frank trouva cela assez inattendu

– Iona, as-tu des menstruations irrégulières ?

– Oui, Frank, et très douloureuses !

– Te souviens-tu de quand datent les dernières ?

– Cela date d’avant ma séquestration.

– Iona, ne t’inquiète pas, demain je te prends avec moi à l’hôpital. Je ferai quelques examens complémentaires.

– Maintenant reste avec moi.

– Oui Frank, que dois-je faire ?

– Me mettre un préservatif !

– J’ai toujours utilisé un condom lors de mes relations sexuelles consenties. J’ai une certaine expérience !

– Tant mieux, ça réduira les risques, les tests sont bons, mais j’attendrai la troisième série de résultats pour être apaisé. Aujourd’hui on va juste apprendre à se connaître ! As-tu des préférences ?

– Non, mes amants ne m’ont jamais demandé si je voulais une position, ma fonction à l’école était discrète. C’est mon corps qui attirait les regards. La plupart étaient des collègues souvent mariés qui me prenaient à la sauvette soit à l’interruption de midi, soit à la fin des cours et ça, c’était pire car ils étaient attendus par leurs femmes. Il y avait aussi des Européens qui sans doute comme toi étaient attirés par l’exotisme.

– Oui, bien sûr, mais au départ, lorsque j’ai croisé Maggy elle était dans un fossé le long de la route près de l’hôpital. Ce n’était pas l’attrait de l’exotisme ! Elle était lardée de coups de couteau, je la croyais mourante. J’ai arrêté dans un premier temps les nombreuses hémorragies. Elle a survécu et comme elle était toujours inconsciente, j’ai utilisé mon expérience de chirurgien esthétique pour restaurer sa beauté. Oui, je fus ébloui par sa beauté retrouvée ! Elle m’a révélé qu’elle était une esclave sexuelle punie par son dernier propriétaire, pour s’être échappée.

– Et ensuite ? Elle est devenue ton esclave parce que tu as abusé d’elle ?

– Non, c’est elle qui voulut me remercier. J’ai refusé de prime abord. Puis je suis tombé sous son charme…

– Et elle te rend des services à l’occasion… Et Rosa ?

– Je l’ai soignée lorsqu’elle était petite pour des problèmes respiratoires, nous étions ensemble lorsque nous fûmes attaqués à la mission. À ses dix-sept ans elle a voulu rester avec moi !

– Elle couche avec toi ?

– Oui mais seulement depuis son anniversaire ! Elle veut un enfant !

– Tu es d’accord ?

– Oui, elle a de quoi subvenir à son futur et celui de son enfant.

– Qui sera aussi le tien !

– Et moi, puis-je rester en ta compagnie ?

– Oui, mais je ne te veux pas à mon service, tu te cherches une activité à la mission ou à l’école et lorsque tu trouveras quelqu’un à ton goût tu devras choisir de partir ou de rester.

– Et si je veux rester avec Maggy ou Rose ?

– Elles ont renoncé à leur indépendance, elles ne veulent pas me quitter. Ni avoir un autre Maître.

– Puis-je me joindre à elles ?

– Si tu veux devenir mon esclave ce sera pour toujours. Ne te décide pas à la légère !

– Je peux en parler avec Maggy et Rosa ?

– Oui, bien sûr.

– D’accord, je reviendrai après.

Je laissai Frank dans la chambre. J’eus toujours le blister du condom en main, je le déposai sur la table de nuit.

Maggy et Rosa étaient ensemble au lit, elles furent surprises de me voir débarquer.

– Bonsoir les filles ! Je suis venue en amie pour que vous m’aidiez à prendre une décision. Voilà, je voudrais rester avec Frank et vous deux, partager vos caresses. Mais vous êtes au service de Frank et même votre corps ne vous appartient plus. Comment vivez-vous cela au quotidien ?

– Nous vivons pour son plaisir, du matin jusqu’au soir. Nous anticipons ses besoins, de sexe et de nourriture. Nous l’aidons pour son travail à l’hôpital et à la mission. Rose lui donnera un enfant, il a promis de ne pas nous vendre ni de nous donner en location à d’autres personnes pour des services de n’importe quelle nature. Il a promis de nous soigner. Oui, nous sommes ses esclaves, mais ce choix fut volontaire et irréversible. Lui seul dispose de notre vie. À sa mort, nous serons ses héritières par testament de ses actifs au Nigeria et nous veillerons sur son enfant éventuel.

– Comment se déroule le sexe ?

– Il a des besoins de sexe normaux, moi je le provoque souvent dans le but de jouir. Rosa adore le prendre sous la douche. Elle a la priorité pour le sperme pour la conception de l’enfant, me donner son sperme serait du gaspillage vu ma stérilité.

– Est-ce vrai que Happy reçoit encore ses faveurs ?

– Oui, elle le prend encore après les opérations délicates. Mais de plus en plus souvent je suis présente pour éviter qu’elle l’agresse.

– En imaginant que je rejoigne le groupe ?

– Tu devras te plier aux désirs de Frank et faire abstraction de tout accès de jalousie.

Je retournai voir Frank dans sa chambre.

– Si je veux faire l’amour avec toi, je dois te le demander ?

– Non, tu ne décideras plus rien, tu m’obéiras selon mon désir ?

– Comment ?

– Déshabille-toi !

– Maintenant ?

– Oui, je veux te voir intégralement nue. Suce ma queue ! En même temps masturbe-toi bien jusqu’à l’orgasme. Si tu veux être esclave, tu seras obéissante !

– J’ai compris !

– Tu choisiras le moment où tu voudras commencer mais pas de retour en arrière !

– Avant de fixer mon avenir, je voudrais avoir un aperçu. Voir comment tu fais l’amour.

– Si tu penses avoir une copulation à l’essai avec moi, tu devras attendre, Maggy et Rose te feront une démonstration de leurs jeux de sexe. Je ne vais rien leur commander. Tu verras bien.

J’attendis donc de me dénuder, Maggy défit son pantalon montrant ses belles jambes et abaissa le short de Rosa. Elle ne portait pas de culotte ! Elle était fraîchement rasée, Maggy se pencha sur le ventre de Rosa, elle écarta un peu ses cuisses. Avec son nez, elle toucha les grandes lèvres de son amie.

– Oh Rose, ton sexe est frais comme une rose, Frank t’as donné une nouvelle fragrance ?

– Oui, il y a quelques jours, il est allé en ville, après l’hôpital. Une de ses anciennes patientes a repris une échoppe et a ouvert une nouvelle boutique de parfumerie. Je crois qu’elle voulut séduire Frank. Elle prétendit que ce parfum était conçu pour fleurir l’intimité des femmes. La femme était prête à lui faire la démonstration sur son corps, ce que Frank refusa.

– Elle avait raison cette femme. Frank, a l’odorat très fin, après avoir mis quelques gouttes sur mon ventre, il bandait comme un animal, dit Rosa. Je n’eus pas mille solutions, je l’ai massé une grande partie de la nuit. Heureusement il n’eut pas d’engagement pour le lendemain, j’ai dansé sur son sexe dressé pendant de longues heures sans qu’il ne se libérât, je voulus qu’il se déverse dans mon corps. Je réussis finalement, pendant de longues salves, je sentis son sperme chaud couler dans mon ventre. Il tint mes fesses serrées pour m’empêcher de partir, il voulut profiter. Lorsqu’il se retira enfin je nettoyai son bâton de nos fluides mêlés, il eut encore une éjaculation ultime dans ma bouche avant de s’endormir.

Pendant le récit de Rose, je vis Maggy lécher le bijou de son amie. Rose cria son plaisir et une partie de son contenu vaginal fut expulsée.

Je voulus participer au festin, mais Maggy m’écarta avec un sourire navré.

– Désolé, Iona, je ne partage pas ! Tu n’auras pas droit au plaisir tant que tu ne seras pas soumise.

– Attends, dit Rose, on pourrait en profiter ! On pourrait tester l’agilité de sa langue. Iona, déshabille-toi et couche ta tête entre les cuisses de Maggy, pour nous montrer si tu es capable de nous faire jouir toutes deux, ensemble et séparément. Frank sera l’arbitre.

Je m’appliquai pour donner du plaisir à l’aînée. Mais contrairement à mes attentes, Maggy réagit à peine sous mes léchouilles. Ce n’est que lorsque j’ajoutai deux doigts dans son vagin qu’elle eut des petits gémissements de satisfaction.

– Rose, enfonce tes doigts dans son cul, ça lui donnera peut-être plus de conviction, cria Maggy.

Je sentis une pénétration sans douceur accompagnée de caresses, j’eus vraiment du mal à garder ma langue en position et me reculai.

– Je ne pourrai pas te caresser si on me sodomise.

– Alors tu n’as aucune chance de séduire le docteur, il adore pénétrer le petit trou pendant qu’il reçoit une bonne fellation. Rose, viens me faire jouir, Iona manque incontestablement de pratique. Par contre, tu peux peut-être exciter la petite !

Effectivement Maggy grimpa très rapidement au septième ciel sous la langue de Rosa, je réussis à satisfaire la benjamine juste après.

Les deux femmes avaient joui, moi seule restai sur le carreau, le vagin brûlant ! Je ne reçus l’aide de personne. Je pris donc l’initiative de me masturber. Mais j’étais trop tendue, rien n’y fit, j’aurais bien pris un manche de balai en guise de gode ! Si ça pouvait me satisfaire. Rosa comprit mon problème, elle prit l’initiative de calmer mon corps en me caressant le vagin et mes seins. Au bout de quelques minutes elle parvint à me détendre et j’atteignis finalement le septième ciel. Je la remerciai en lui faisant un bouche-à-bouche passionné.

Rosa se laissa embrasser tout en caressant mes seins, puis je fus reprise avec plusieurs doigts dans mon vagin. Maggy vint se mêler dans la lutte aux plaisirs et cette fois je réussis à lui donner un orgasme avec ma langue.

Frank nous avait tenus à l’œil, je vis qu’il bandait grave. Malgré ses instructions je saisis son pantalon et enserrai son sexe à travers le tissu. Il ne refusa pas le contact, je m’enhardis et tentai le tout ! Je sortis son engin et le mis en bouche. Frank se réveilla soudain et me démonta la bouche en enfonçant son sexe très profond. Je ne maîtrisai plus rien, je m’attendais à recevoir une giclée de sperme mais il n’en fut rien. Il se retira et me gifla d’une seule claque, sans force.

– C’est moi qui décide ! Quand je veux et comme je veux. Va te rhabiller !

Rose me rejoignit dans ma chambre, je fus près de m’effondrer en pleurs

– Ne t’en fais pas, il ne t’a pas chassé. Il veut juste montrer que c’est lui qui décide.

Elle me laissa sans autre commentaire.

Plus tard dans la soirée, Maggy m’apporta un corset bustier manifestement trop petit, mes seins débordaient et l’entrejambe me rentrait entre les lèvres et coinça mon bijou.

– Il est trop petit !

– Mais non, mets-le ! Et suis-moi.

La marche était pénible, à chaque pas mon clito fut sollicité. Je fus sur le point de jouir, elle introduisit dans une pièce où Frank m’attendit avec Rose. Celle-ci enfila un préservatif sur l’engin de Frank. Puis elle détacha un clip ouvrant ma fente soulageant la pression sur mon clitoris.

Frank me pénétra brutalement, manifestement il ne voulut que sa jouissance. Il me pilonna et pinça mes tétons. Je sentis le préservatif se remplit abondamment. Je vis à son visage qu’il eut du plaisir.

– Iona, ne bouge pas !

Il défit lentement tous les boutons du corset, puis il embrassa mes seins en se retirant.

Rose enleva et retira le condom plein de sperme, puis après avoir jeté le caoutchouc elle essuya soigneusement son sexe des restes de fluide. Son engin repris forme pour le plus grand bonheur de Rose.

Maggy prit le flacon d’huile et massa mon anus en douceur enfonçant régulièrement un ou plusieurs doigts dans ma rosette. Je sentis un peu de réactions à mes seins, mes tétons se tendirent plus qu’habituellement. Je voulus les toucher mais Maggy prit mes poignets pour les attacher à la tête du lit, ce qui me priva de tout mouvement.

Rosa plaça un coussin sous mon ventre, du coup mon postérieur fut surélevé. Il ne me fallut pas de grand dessin pour comprendre les intentions du Docteur et des filles.

Maggy prit un grand gode et l’enfonça entre mes fesses. Elle fit la manœuvre en douceur, sans doute pour élargir le passage. En tournant ma tête je vis que Rosa massa toujours le gland de Frank jusqu’à ce que de petites gouttes perlent à son méat.

– Elle est prête et toi aussi dit l’aînée. Elle guida le pieu de son maître qui coulissa dans trop de douleur dans mon cul. Ce fut un mouvement complexe : Rosa pinçant mes seins, Maggy massant mon clitoris et Frank qui me pilonna énergiquement. Mon corps fut pris de tremblements bienfaisants pendant que Frank éjacula en grognant. Son sperme me pénétra ce qui ajouta du lubrifiant pendant qu’il continua ses va-et-vient.

– Oh oui ! Criai-je, oh c’est bon, encore ! Mais Frank bascula sur le côté et mit sa langue dans la fente de Rose qui ne mît pas longtemps à hurler son orgasme. Maggy et son maître la tinrent fermement car il continua sa caresse jusqu’à l’expulsion de la cyprine. Maggy s’approcha pour recueillir sa part et que Frank prit la bouche de Rose qui garda son maître serré contre elle.

Je n’étais plus qu’un objet négligeable, mon corps encore tremblant qui avait rempli son rôle d’exécutoire.

Ce ne fut que bien plus tard que le trio se tourna vers moi. Rosa glissa ses mains sur mon corps pour me remercier. Maggy embrassa mes seins tout en caressant le pieu de son amant.

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