Mrs. Smith - partie 1
Il est presque 23 heures quand Mrs Smith rentre chez elle. Elle tourne la clé dans la serrure, ouvre la porte et comme par habitude, tend l’oreille. Aucun bruit. Elle semble surprise, avant de se rappeler que ses filles sont à un anniversaire et qu’elles restent dormir chez leur copine. Pas plus mal finalement, cela leur évitera de se retrouver nez-à-nez avec leur mère, passablement éméchée.
Une soirée entre femmes, comme elles le font une fois par mois. 7 femmes entre 30 et 50 ans. Pour la plupart des copines d’enfance. Malgré les années et les parcours de vie différents, elles ont réussi à garder ce lien. Pas si courant. Et elles en sont assez fières. Et rien, pas même un concert ou un match de foot ne saurait faire annuler cela.
Et ce soir Mrs Smith a pas mal bu. Beaucoup plus que d’habitude. Et elle n’a clairement pas l’habitude. C’est la première sortie « officielle » depuis son divorce. Donc les autres filles se sont chargées d’elle. Et elles se sont chargées par la même occasion. Déjà bien pompettes après le repas et le traditionnel pub, elles avaient prévu une virée dans un club de strip-tease. La CB a chauffé, mais pas que…
Mrs Smith ferme la porte à clé et se pose dans le fauteuil. Ses sens sont toujours en ébullition. L’alcool, certes. Mais aussi le fait d’avoir vu plein de beaux mâles musclés se foutre à poil devant elle. De voir des chibres masculins bien durs, avec les veines saillantes… Contre quelques billets, elle a même pu [comme ses copines d’ailleurs] serré 1 ou 2 queues avec sa main. Et elle se revoit avaler le gland d’un d’entre eux, protégée des regards par la serviette du strip-teaseur…
Immédiatement, une bouffée de honte. Et puis, rien à foutre ! Je suis seule désormais. Je peux faire ce que je veux ! Et ce que je veux là, c’est un verre de gin et jouir ! Elle se relève en titubant un peu, va dans la cuisine et revient après s’être confectionné un grand verre de gin fizz, avec glaçons et rondelle de citron.
Puis elle se pose à nouveau dans ce fauteuil si confortable. Ferme les yeux. Repense à ces jeunes mâles si bien foutus. Et qui se déhanchaient sans aucune pudeur. Elle en gémit malgré elle en se repassant le film dans sa tête. Les vêtements qui tombent lentement, laissant apparaître petit à petit la peau huileuse, les muscles… Le contact de ses doigts sur cette peau chaude, toucher le téton de cet inconnu, les sourires encourageants du jeune homme, l’excitation de pouvoir poser ses mains où elle le voulait sur lui…même sur son sexe dur.
Elle gémit à nouveau en imaginant les sensations ressenties lorsqu’elle a serré ses doigts autour de la verge du strip-teaseur. Elle ouvre les yeux, se débarrasse vite fait de son chemisier et de son soutien-gorge : ses tétons sont déjà bien durs. Elle ferme les yeux, revient en pensée dans ce lieu de débauche et se pince les tétons en même temps que mentalement, elle serre à nouveau cette verge.
Sans trop s’en rendre compte, ses gémissements et halètements remplissent la pièce. Elle s’en fout, elle est seule à la maison et sa voisine d’à côté, Mrs Arlington, à 80 ans passés et n’entend plus grand-chose. Et si jamais elle entend, ça lui rappellera peut-être de lointains souvenirs, qui sait ?
Les pointes de ses seins sont dures : elle se souvient qu’au club de strip-tease, ses tétons tendaient sous le soutien-gorge et que ça lui faisait un peu mal. Une douleur et en même temps beaucoup d’excitation [et cela faisait longtemps qu’elle n’avait plus été aussi excitée !]. Comme maintenant quand elle alterne pincements et frôlement. Et qu’elle enduit ses doigts de salive avant de venir les caresser.
Un peu de gin fizz dans la bouche. Le tintement des glaçons contre le verre. La fraicheur du liquide qui coule dans la gorge… et une idée qui traverse la tête, vite mise en pratique : les doigts plongent dans le verre, attrapent un glaçon qui goutte, laissant tomber çà et là du liquide froid. Le gémissement se transforme en léger cri au moment où le glaçon froid touche et entre en contact avec le téton dur et très sensible. Et ce cri se transforme presque en ronronnement au fur et à mesure que son corps s’habitue à la morsure froide du glaçon et que cela se transforme en rayon d’excitation qui irradient depuis ses seins dans tout son corps.
Bientôt, Mrs Smith se retrouve avec un glaçon qui vole de téton en téton. Quand celui-ci est presque fondu, elle le laisse glisser sur son ventre. De par sa position et aussi à cause des petites rivières d’eau qui dégoulinent de sa poitrine, ce petit glaçon glisse vers son nombril. Au troisième glaçon, le nombril est plein et des petits filets d’eau s’échappent et mouille son pantalon.
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