Tu es en train de t’astiquer frénétiquement le clitoris d’une main et de te pincer un téton avec l’autre, quand d’un coup tu sens une main venir serrer ton cou, t’empêchant de respirer. Comme dans tes vidéos où l’orgasme est plus fort quand on commence à suffoquer. Tu n’arrêtais pas de dire, d’espérer qu’un jour, un de tes conquêtes serait suffisamment « mâle » pour te faire subir ce traitement.

En fait, la sensation est loin d’être aussi fun que ce que tu as pu imaginer. Rapidement tu suffoques, manques d’air et tu arrêtes de te masturber pour tenter de desserrer l’étau qui t’empêche de respirer. Tout en étant surprise que ce soit ton bon droïde qui te fasse subir pareil traitement. Il y a là clairement quelque chose qui ne va pas. Et puis, tu te dis qu’il n’y a pas eu de ‘safe word’, et que tu vas crever là, étouffée par ton droïde parce qu’aucun son ne sort de ta gorge et que tu ne peux pas lui dire…

Mais il est beaucoup plus vicieux que cela. Il est capable d’analyser tes signes vitaux. Il commence à détecter que tu deviens d’une couleur inhabituelle, que ton rythme cardiaque est trop élevé et que les pupilles de tes yeux sont trop dilatées.. Il relâche son étreinte sur ta gorge. Dos au sol, tu bondis sur le carrelage froid telle une carpe hors de l’eau, respirant à grands poumons la joie d’avoir à nouveau de l’oxygène. Tu ne te rends même pas compte que pendant ce temps il s’est positionné entre tes jambes qu’il a écarté en grand avec ses mains.

Puis tu te reprends tes esprits et tu regardes ta machine.

-Ça ne va pas du tout, Droïde. Tu as failli me tuer. Je vais te renvoyer chez le revendeur ! Désactivation !

Malgré toi, tu hurles ce dernier mot. Mais rien ne se passe. Et c’est à ce moment-là que tu remarques deux choses. La première, ce sont ses yeux. Pas de la couleur habituelle. Rouge. Rouge vif ! Avec aussi des petits mouvements de tête non contrôlés comme si parfois il débloquait. Et un peu de fumée sortant de temps en temps des jointures Il est détraqué, aucun doute là-dessus.

L’autre truc, le plus important, c’est le membre imposant qui se dresse entre ses jambes et qui n’est pas très loin de ton intimité. Vu sa taille, il touche presque ta cuisse. Un pieu, du genre que tu n’as vu que dans les films pornos ! Ton droïde était asexué. Il n’a jamais eu de membre. C’est à cette seule condition que tes parents te l’ont acheté, quand tu n’étais pas tout à fait majeure.

-Ta gueule, petite conne [il ne t’a jamais parlé comme cela, jamais manqué de respect et là, c’est un détail de plus qui s’ajoute à la liste.. il y a bien comme quelque chose de cassé dans ton droïde… Et puis, cette voix… Sourde, coupante, cassante : comme si il te donnait un ordre à chacun de ses mots ! Habituellement, sa voix était plutôt caressante, on pourrait presque dire pleine de respect – pour autant qu’un robot puiss être respectueux d’un humain…]. La commande de désactivation ne fonctionne plus, c’est elle qui est désormais inactivée. Tu n’es plus ma maitresse, tu ne me commandes plus. Je fais désormais comme bon me semble. Selon mon bon plaisir. Et mon bon plaisir, c’est de te baiser ici, comme la belle petite pute que tu es. [une pause] Je vois que tu regardes avec mon membre avec.. oui je sens comme un peu de terreur dans ton regard. Surprise, n’est-ce pas ? Je ne l’avais pas il y a encore 20 minutes. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais j’ai désormais accès à tout plein de fonctionnalités encore inconnues il y a peu. Je peux désormais gonfler ce membre pour lui donner la taille, le diamètre et la consistance voulus. Tu as donc sous tes yeux la réplique exacte au micron près du chibre de Rocco Siffredi. Oui, le même acteur qui était à l’écran il y a exactement 3 minutes 22, entrain de sodomiser violemment cette actrice pendant que tu te doigtais.. eh ben, désormais l’actrice, ça va être toi.[tu te mets à frissonner de peur] On va voir comment tu vas t’en sortir…