Le droïde Bad Gremlins - Partie 3
Il bouge rapidement. Trop rapidement pour toi. Avant même que tu n’aies fait le moindre geste de défense ou de protection, il est là, entre tes cuisses. D’une main, il place le gland large à l‘entrée de ton vagin, et il pousse de tous ses servo-moteurs.
Il est fort, ton droïde ! Tu le sais, il déplace tes meubles, porte des charges plus importantes que celles que tu peux porter. Donc là, si il pousse pour faire entrer sa nouvelle grosse queue en toi, tu la sentir, cette poussée monumentale ! Et le fait est que cette queue, elle rentre ! Bon, par contre, pour toi, ce n’est pas particulièrement agréable. Disons les choses basiquement : il te défonce. Tu hurles, le dos arqué au sol, tentant vainement d’empêcher qu’il ne rentre un peu plus loin en toi.
Là, un quart de l’énorme membre est en toi. Et tu te demandes si il ne va pas complètement t’estropier. Voir si tu ne l’es pas déjà. Tu te trouves tellement dilatée. Et que rien ne pourra entrer un peu plus en toi. Même pas quelque chose de l’épaisseur d’une feuille de papier. Comme si une barre de fer venait coulisser dans ta fragile petite muqueuse… Mais comment elles font, les actrices porno avec un tel engin ?
Une grimace moqueuse apparait sur le visage du droïde
-Alors, on ne prend plus son pied ? Heureusement que tu t’es bien branlée avant, il doit encore y avoir un peu de lubrifiant dans le fond de ta chatte. Mais c’est vrai qu’un tel membre quand on n’est pas excitée, ça doit faire mal. N’est-ce pas ?
Et en appuyant sur les mots de la fin de la phrase, il ressort pour rentrer plus fort et plus loin. Et ll s’arrête. Tes lèvres intimes sont malmenées. La quasi sortie sans ménagement suivie de la rentrée encore plus violente, te laisse avec la tête qui tourne, une envie de vomir et un sexe en feu, en fusion. Et il n’est qu’à la moitié. C’est pas possible, il va t’écarteler, t’ouvrir en deux. Si ça se trouve, il est en train de te blesser, de te faire saigner. Tu vas mourir d’une hémorragie à cause de la queue énorme de ton droïde en manque… Tiens, cette question philosophique te traverse l’esprit et pendant 2 secondes tu divagues : « un droïde peut-il être en manque de sexe ? »
Tu reviens bien vite à la réalité en sentant ses mains se posent sur tes seins. Ses doigts maltraitent leurs formes, pincent tes auréoles, tirent les tétons comme si tu n’étais qu’une poupée en caoutchouc…
-Tes seins m’ont toujours attiré. Je me suis longtemps demandé pourquoi moi je n’en avais pas des pareils. Maintenant que j’ai ça [et ce faisant, il donne un violent coup de reins qui le fait s’enfoncer un peu plus en toi, déclenchant des cris et des larmes qui coulent maintenant sans discontinuer], je comprends mieux…
Il te laboure méthodiquement. Ce n’est pas un type qui prendrait du plaisir à coulisser en toi. Non, lui, ce qui le fascine, c’est le fait de faire entrer cette colonne de chair dans ta chatte. Il donne un coup de rein, il s’enfonce, il s’arrête. Puis il ressort un peu et revient, s’enfonçant un peu plus loin. C’est presque scientifique. Il semble tout analyser. Tes réactions quand il sort, rentre, quand il martyrise tes seins. Il serre à nouveau ton cou fort et s’enfonce un peu plus, guettant la moindre de tes réactions. Tu sembles être son cobaye. Un cobaye dont il abuse sans la moindre gêne.
Il semble tout analyser. Froid. Méthodique. Tu es son jouet. Il va pousser moins fort. Puis il va carrément ressortir de ton sexe pour mieux rentrer d’une poussée plus forte, martyrisant tes lèvres intimes sèches et ton sexe violenté. Et scruter tes réactions. Tes grimaces. L’amplitude de tes cris. La manière dont tu vas gémir. Tes plaintes pour lui demander d’arrêter. Tes larmes. Ton dos qui s’arque sous la poussée. Tes ongles qui tentent vainement de le griffer. Jusqu’au moment où tu es domptée. Où tu ne réagis plus à ses mouvements. La douleur est là, toujours. Forte. Mais quelque chose s’est cassé. Ou bien c’est ton cerveau qui se met en mode ‘protection’.
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