La bataille commence
Les drapeaux en sang son levés les armés attendent dans les lourdes tranchées, tirant au canons, fusils, et flèches. Leurs bottes sont remplies de boues et leurs alliés sont en sang. On l'entend même dans leurs cris. La douleurs de la guerre a envahie leurs âmes, leurs doux coeurs, si fragiles. Tout ceux qu'ils naquîs connus sont morts, ou ont perdus l'envie soudaine de vivre. On l'entend aussi dans les gémissements, les prières des malheureux, et dans les coups de fusils, de canons. Comme si ils pleuraient, comme si ils étaient retenus pas l'envie de la guerre. Du pouvoir. De la revanche. Chacuns et chacunes de leurs côtés. l'on entend des hurlements. Du sang éclate sur les nuages et la brume qui semble ne jamais devenir plus dense et plus grises que tout. Rien ne peut se passer du plus cruel aux plus horribles des malheurs...Rien du tout au monde. L'on entends les révélations des ennemis, des pleurs zé des cris...Des malheurs sans fins. Des terrains de morts, des marécages à en perdre la tête, et des cadavres à en perdre l'envie. Les pas des soldats armés de leurs lourdes armes en fer, et en métal résonnaient comme si, pourtant, avec tout le bruit, des ouragans avaient ravagés les vies et coeurs. Les âmes se libèrent de leur infinies tristesses. Mais pourtant, le pitié a disparut de ce monde. La rage fait son travail, et le boulot des soldats devient une tâche facile mais souffrante. La plaie de l'humanitée se referme comme si jamais la vie ne pouvait comtinuer. Les trous dans la terre étant des magestueux cratères, veulent se refermer. La pluie drue sur les soldats tombés comme des pions se fait de plus belle sur le terrain. Rien ne peut l'arrêter. La guerre fait si rage que certains s'arrachent eux même l'âme, s'arrachent la vie, en tuant leurs proches de tristesses, et en les détruisant. Rien n'as été si cruel. Les tranchées de boue rougeâtre deviennent emplies de cadavres...Mais pourtant, pourtant les soldats continuent à battre, à tuer sans relâches. La guerre des sorciers a commencée. La première guerre. Sur des kilomètres et des kilomètres, tout au fin fond des sombres esprits, se trouve la guerre. Les bataillons. Les épées, les armes, les flèches, les tridents médiévaux, les canons, les armures, les marécages, la brume, la pluie drue, le sang, les flaques innondantes de tristesse, de peur, et tout ça depuis déjà des siecles...Le gouvernement se tuent pour s'entretenir avec les poeuples, mais le résultat n'est que bain de sang, deuil, tristesse, et mort. La peur reigne. Rien n'est pour la guerre. Personne ne peut se cacher. Le cahos règne, et pourtant, pourtant, les soldats, guerriers, guerrières, chevaux, et armées, ne peuvent s'empêcher de se tuer, de se venger de leurs proches. Pour la mort. Dans ce récit, nous allons vous montrer ce qu'est réellement la peur. Là où tout le monde sait que la fin est proche, là, où le deuil, la vengance et la mort reigne où la vie commence, là, où l'amour n'est plus que la mort, où les pleurs deviennent des lacs, et ces lacs, innondés de cadavres, de sang, deviennent des océans. Là où la peur vous rend fou. Là où l'explosion de la vie ne fait que détruire les sentiments. Nous allons, dans ce récit, vous montrer ce qu'est la monstruositée de vivre, là bas, au bas monde des sorciers. Là où vous savez que vos proches ont disparus, et vous voulez vous tuer. Quitter ce monde. Mais vous allez revivre. Encore dans cette guerre sans fin.
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