Rictus
Soupe noir, le pot au feu. A l’ombre du cerisier ça sent le loup. J’ai vu hier à la même heure sa silhouette, j’aimerai ne plus la voir. Sous les coups ça pleut, ça pleure en cascade. C’est ça! Coule je t’en voudrai pas, merci. Chez moi il fait beau, ça pique les yeux. Alors quoi, j’ai rien vu moi, j’ai rien senti, pourquoi ? C’est pas que j’en peux plus mais j’en peux encore. C’est pas encore l’heure mais ça sera jamais l’heure. Alors, à l’heure où vous dormez je serai à l’heure, mais l’heure tourne.
La chance aussi elle tourne, c’est si prévisible. Et quand ça tourne Saturne.
Ils sont pourris ces vers. Alors ta geule et c’est tout! C’est tout ? Non c’est jamais tout.
Les lignes courbes, les lignes droites, les lignes sinueuses, sans quoi, pas de contour . Et sans contour, on est dans le floue. Je le connais bien c’est mon plus vieil ami. Mais demain ça sera mon ennemi. Ça m’amuse putain . Je les emmerde ces connards! Ou quoi? Quoi? Quoi?
Je m’arrête ou pas? Non.
Fin.
Première parti
Fin. Début, je casse des œufs, j’arrache des cœurs et je crache sur des tombes.
Avec grand plaisir, tatoue moi un tourniquet ou une girouette. Et si il fait froid j’enlèverai mon manteau. Il te plaît?
C’est normal je les choisi toujours bien.
Pleure, pleure encore, tu fera de ma vie un estuaire, j’en rirai.
Aller bonjour !
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