— Mesdames, messieurs bonsoir. Au programme de ce soir l’interview de Julien, l’un des personnages principaux de l’œuvre Lui. Bonsoir Julien.

— Bonsoir Marlène.

— Alors vous êtes ici pour vous dévoiler, acceptez-vous de répondre à toutes les questions qui vont vous être posées ?

— Oui avec plaisir !

— Génial alors commençons : nous connaissons votre prénom, mais pas votre nom de famille.

— Effectivement, je m’appelle Julien Markenger.

— D’accord, pourrions-nous savoir votre âge ?

— Mais bien sûr, j’ai 27 ans.

— Ah bon j’aurais dit trente.

— Oui, on me le dis souvent je fais plus vieux.

— Exact, mais bref : avez-vous un ou des pouvoirs ?

— Oui, un !

— Ah, lequel ?

— Je suis médium.

— ….

— Hum, je ressens du doute !

— Ah ah, c’était donc une blague, très bonne. Question suivante : vous avez une relation actuellement ou même un coup de foudre ?

— Actuellement je suis avec Nicolas, nous somme ensemble depuis le lycée. Petite info au passage, je l’ai demandé en mariage la semaine dernière !

— Ah et sa réponse ?

— Un grand Oui.

— C’est génial, félicitations. Continuons : la couleur de vos cheveux ?

— Alors moi je dis brun, mais apparemment, j’ai les cheveux de couleur « brun caramel ».

— Oui je confirme, mais dans tout les cas c’est brun ! La couleur de vos yeux ?

— Bleu roi.

— très beau, votre couleur préférée ?

— Hum, le rouge basque.

— Je connais pas, mais bref. Avez-vous un ou une meilleur(e) ami(e) ?

— Oui il s’appelle Jean. D’ailleurs ça va être mon témoins de mariage.

— D’accord, où habitez-vous ?

— Je n’ai pas trop envie de répondre à ça pour des raisons privées, mais je peux vous dire que j’habite pas trop loin d’une ville.

— D’accord, nous respectons votre choix. Votre date de naissance ?

— Je suis né le 9 mai 1993.

— D’accord, êtes-vous en couple ?

— Avez-vous Alzheimer ? Vous m'avez posé la même question au début de l'entretien .

— Ah oui autant pour moi, Pouvez-vous nous parler de votre famille ?

— Oui bien sûr, ma mère s’appelle Martine, mon père Frédérick, mon oncle Paul et j’avais un chien que je considérais comme mon fils. Il s’appelait Max, il est décédé l’an dernier. Après je peux vous décrire ma belle-famille s’il faut.

— Non ça ira, et désolée pour votre chien.

— Merci, question suivante ?

— Oui c’est d’ailleurs la dernière : avez-vous un ennemi ?

— Oui et non, Philippe, un mec que je n’ai jamais apprécié. Même si on ne se voit plus, ça reste mon beau-frère. Mon père étant marié à sa mère.

— D’accord, merci de vous être confié.

— C’étais un plaisir, merci à vous.

— C’est la fin de cette interview, rendez-vous la semaine prochaine pour une autre interview. C’était Marlène Lagarde.