Tentative de Restitution d’un Salon baroque
Ah, vous préférez des textes foldingues à ce pavé monstrueux, ahem… cette splendide fresque historique qu’est « La Comète de Fugger » ?
Ben en voilà, du foldingue ! Empiffrez-vous, philistins ignares…
- Le cri traditionnel des empaleurs de pingouins frais sur la banquise s’entendait à des lieues : « Huuuuuiiiillll’ solèèèèèèèèèèèèèèèèère » pontifiait-il.
- Soit, ronchonna la femme de ménage au répétiteur, mais ce n’est point une raison pour me ramoner le fondement à coups de canne à pêche.
- Désolée, d’autant plus que je suis répétitrice, et que votre cul réveille en moi de torrides tendances lesbiques…
- Bique vous-même !
- …biennes, voulais-je dire. Mais vous n’avez pas vu mon étudiant si féru dans l’art de me mouiller la culotte ?
- L’a pris son coca double-zéro et le chapeau de votre grand-père le talocheur fou afin d’égaliser la banquise qui menace de verser cul par-dessus poulet, si j’ose dire…
- Voilà donc l’origine de cette fière devise révolutionnaire « Heureux comme Dieu dans une tasse de thé français » telle que nous l’a rapportée Fichtre dans sa correspondance avec Neckermann, justement intitulée « Conversation avec un pingouin dans les Cévennes bipolaires »…
- Huil’ solèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèè…. BANG !
Miséricordieusement, une éclipse de lune mit fin à ce dialogue frivole.
Annotations
Versions