Dans le chapitre précédent que vous n’avez probablement pas lu puisqu’il n’a jamais été écrit, les GARC partaient en vacances, laissant le QG sous la protection de Paulette.

Dans ce chapitres, ils reviennent du ski et...

— PAAAAAAAAAAUUULEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEETTE !!!! hurla Maurice.

— È nella stanza con Balou, fit une meuf cheloue avec un fort accent russe.

— Hein ? Mais t’es qui toi ?

— Calzino sottile ! s’exclama-t-elle, toujours avec son accent russe.

— D’accord... et qu’est-ce que tu fous là ?

— Vodka ?

— Georgette, j’ai besoin de tes talents de diplomate…

SHLING !

— Ouais, c’est sûr qu’elle est plus compréhensive comme ça, bon on va chercher la débile.

— Ouaip ! J’espère qu’elle a d’autres potes !

— ¿ Calcetín fino ? intervint un mec avec une blouse.

SHLING !

— On pourrait au moins les laisser se présenter…

— Flemme. On continue ?

Les deux valeureux héros continuèrent donc leur progression dans les bouteilles diverses. Dans la chambre de Paulette, ils trouvèrent un autre groupe. Maurice détourna le regard tandis que Georgette mattait. Après un petit moment, ils cherchèrent leur amie parmi les combinaisons de cuir moulantes. Repérant celle qui était autant attachée à sa bouteille de rhum qu’à la -censuré- de Balou, Georgette décapita trois personnes aux hasard et enflamma ses cheveux afin d’attirer l’attention.

— Paulette, qu’est ce que tu branles ? fit Maurice.

— Ça se voit pas ? demanda-t-elle en regardant la -toujours censuré- de Balou.

— C’est pas ce que je veux dire, c’est qui eux ?

— Mes potes, on fait une soirée pour le nouvel an !

— Mais ça fait trois jours !

— Et alors ? On fait la fête depuis une semaine !

— Eh les débiles, fit Alba, vous auriez pu m’aider à décharger le coffre. Et pourquoi il y a des cadavres dans l’entrée ? Et… C’EST QUOI ÇA ?

— Salut copine ! Tu viens te joindre à nous?

— Je… Euh une autre fois…

— Paulette, tu peux la lâcher s’il te plait ? demanda Maurice.

— Pourquoi ?

— C’est gênant…

— Oh…

— Je peux aider, réagit Georgette, son katana à la main.

— NON ! s'écria Balou qui retira sa **** de la main de Paulette.

— Bon, tu fais dégager tout le monde et le ménage. ZEUGMA !

— Hein ?

— Laisse tomber, Georgette décapitera tout ceux qui sont pas sortis dans trentes secondes…

— 1, compta la rousse, 2, 3, 4, 30 ! Youhou !!!

Bruitages de massacres.

— Bon, Paulette, c’est qui tout ça ?

— La russe qui parle italien c’est... c’était Chaussette-Fine, ma fille spirituelle. Le type en blouse qui parle espagnol et qui boit de la tequila c’est EmPipi, mon grand frère. L’Allemande en combi licorne c’est Theresabricot et elle boit que du champagne alors ça coûte cher, et…

— Et on s’en bat les couilles, résuma Maurice.

— C’est vous qui m’avez demandé… soupira Paulette.

— Oui mais AHHHH ! hurla Georgette avant de décapiter le type qui venait de spawn derrière elle. S’il verre ?

— Tu le connais ? réagis Paulette.

— Depuis le temps que j’en avais envie !

— BREF ! Paulette, tu ranges les cadavres et les bouteilles s’il te plait !

— Et Maurice, tu vas me cuisiner des pâtes à la cannelle ! renchérit la rousse, toute contente.

— Non mais non !

— Tu as perdu la course ! On avait dit que le perdant cuisine à l’autre le plat de son choix !

— Je te rappelle que tu as donné un coup de katana dans mon ski avant de foutre le feu à la piste pendant ta descente !

— Et alors ?

— Bah ça compte pas !

— Mais si !

— Mais non !

— Ta gueule ?

— Ok.

— Hum, intervint Sophie Dée, si Cacagomé veut bien arrêter de tripoter Balou j’aimerais bien qu’on reprenne le chapitre suivant là où on l'avait arrêté…

— Ah, tu voulais qu’on fasse quoi du coup ?

— C’est très simple, on va...