(Chapitre inspiré par une suggestion de @sven123@ et de @lecossais@)

Jour 38 (semaine 6 – mercredi) soir .

### Pierre ###

Pour ceux ou celles qui n’aiment pas le rapport anal je suggère de passer plus loin…après les croix ou au chapitre suivant.

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– Et toi Pierre tu connais cette alternative ?

– Oui, bien sûr !

– Oui, mais cela demande une longue préparation si on ne l’a jamais pratiqué !

– Explique-toi,

– C’est par l’autre orifice entre tes jambes !

– Mais Pierre ça n’est pas très propre ! dit Amina.

– Mais si, cela demande de la propreté bien sûr mais on peut le faire avec un préservatif ! Et si on ne prépare pas et qu’on pénètre brutalement, c’est parfois un peu douloureux. Si on veut essayer il faudra le faire en douceur !

– Ninah fais le toi d’abord !

– Je ne l’ai jamais fait non plus ! dit la boyesse.

– Oui, mais tu es plus courageuse que moi !

– Ninah, d’abord tu passes à la douche pour bien nettoyer ton bas-ventre, ton intimité et tes fesses dis-je. N’hésite pas à bien asperger ton anus avec le jet de la douche.

Et puis, Ninah tu prendras le tube de lubrifiant dans mon sac. Maintenant vient te mettre à genoux devant moi et penche-toi en avant.

Je lui mis doucement une bonne dose de lubrifiant sur et autour de sa rosette et commençai le massage en tournant autour de l’endroit. Très rapidement le massage fit son effet et Ninah commença à gémir de plaisir. Personnellement je trouvais cela très excitant et mon pieu se mit spontanément en position d’attaque.

– Oui Pierre, c’est délicieux ! gémit-elle en se caressant entre les jambes.

Je ne voulais pas me précipiter et je continuai encore pendant quelques minutes, puis je mis un doigt au centre pour l’enfoncer délicatement en rajoutant beaucoup de lubrifiant.

Ninah, après un petit sursaut continua d’apprécier, Amina très attentive regarda mon doigt pénétrer pendant qu’elle massa le dos puis les seins de la boyesse. Son regard ne montra aucun dégoût, elle vit au contraire que Ninah apprécia le toucher anal.

– Amina, mets un condom sur ma lance et rajoute encore du lubrifiant sur ma pointe !

Amina très obéissante prit une pochette et sortit le préservatif avec soin pour l’enrouler comme on lui avait appris.

Je présentai ma verge ainsi protégée devant la rosette qui montrait déjà une ouverture et l’enfonça sans hésiter.

– Oh oui patron, continue, gémit-elle, elle essaya d’accrocher mon regard, ce qui n’était pas évident vu sa position en levrette.

Je passai sans trop de résistance la collerette et pénétrai profondément, puis n’entendant pas de cris de douleur j’entrepris un ramonage en douceur.

Quelle sensation, je me souvenais plus avec qui j’avais eu une relation anale, ce n’était pas Brigitte mais sa copine suédoise, Märta hôtesse de l’air aussi qui avait de nombreux fantasmes dans la nature des rapports et les positions !

C’était une encyclopédie du Kamasoutra, mais pour les rapports anaux elle était experte ! C’est elle qui m’avait enseigné pour que ce genre de rapport soit un succès pour les deux partenaires, il fallait le consentement mutuel et du lubrifiant, beaucoup de lubrifiant et de la douceur !

Mes mains rejoignirent celles d’Amina pour caresser les tétons de la servante en les pinçant délicatement. Les gémissements augmentèrent progressivement et je mis un doigt dans son vagin pour titiller son bijou.

L’image de Ninah gémissante, la tête dans les coussins émoustilla Amina qui mit ses doigts dans son intimité à elle pour se masturber.

Les deux femmes gémirent mais pour des causes différentes, pour moi le condom diminuait la sensibilité de ma verge mais pas la sensation d’étroitesse. Déjà que le vagin de Ninah n’était pas large, ici c’était encore plus serré !

Que c’était bon de la sentir ainsi, soumise ce n’est pas que j’aimais cela par rapport à une relation vaginale, mais c’était nouveau et surtout je pensais ce que ce serait avec Amina si elle consentit et surtout si elle aimerait une relation anale, ce serait pour elle la moitié du chemin parcouru, elle aurait déjà la sensation de sentir ma verge dans son corps.

Ninah finit par avoir une avalanche de sensations et cria son orgasme. Je parvins à contenir le déversement de mon sperme, je pouvais donc refaire la même chose pour Amina si elle désirait poursuivre. Amina n’était pas allée au bout de sa masturbation et se disait prête à passer à l’action. Elle se dirigea vers la douche mais son regard était troublé.

Pendant qu’Amina se douchait, Ninah me suggérait de lui donner une tisane relaxante de sa fabrication,

– Elle sera moins stressée ainsi ! dit-elle.

– Je suppose que tu connais ta tisane ?

– Oui, c’est une recette du village qu’on donne aussi aux enfants qui pleurent trop la nuit ou qui ont mal aux dents.

– Et c’est efficace pour les adultes ?

– Oui bien sûr, les proportions sont différentes !

Amina revint visiblement mal à son aise ! Je la pris dans mes bras, pendant que Ninah lui présenta le breuvage.

– Ça te fera du bien ! dit-elle.

– Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle.

– C’est une tisane relaxante, elle te fera du bien.

La tisane bue, je la pris tendrement dans mes bras en lui faisant des câlins, elle se laissa faire. Puis je lui caressai les seins et mis la main dans l’entrée de son vagin, je la plaçai en cuillère devant moi, en laissant ma verge entre ses fesses. Progressivement j’amorçai le massage de l’anus avec le lubrifiant, petit à petit Amina se détendit. Au bout de quelque temps, je la fis se pencher en avant pour l’amener à genoux pendant que Ninah se plaça devant la tête d’Amina et l’invita à la lécher ce qui détourna son attention pendant que je lui massai son anus.

Je revêtis ma verge d’un condom et poussai progressivement un doigt dans la rosette. Amina trouva cela bien agréable d’autant plus que je m’activai de l’autre main alternativement sur son clitoris et un sein. Lorsque je trouvai que l’anus d’Amina fut prêt, j’enfonçai doucement mon pénis dans l’orifice. Amina ne parvint plus à garder contact avec Ninah ses gémissements de jouissance montèrent dans les aigus pendant que je ramonai à fond car cela coulissait parfaitement bien que ce soit une première. Pourquoi était-ce encore plus étroit ?

Puis Amina demanda encore plus mais je ne sus plus me retenir et éjaculai dans un grincement mais parvins tout de même à donner l’orgasme attendu à ma partenaire. Était-ce la nouveauté mais l’orgasme d’Amina était un tsunami ! Mon soldat était vraiment honoré de ce contact.

Je restai soudé pendant que nous redescendîmes lentement. Amina était heureuse de l’expérience se redressa dans l’espoir de prendre ma bouche tout en restant toujours uni mais n’arriva pas à ma bouche. Je me dégageai finalement et Amina put enfin me remercier par un baiser interminable.

– Pierre c’était merveilleux, te sentir dans mon corps et percevoir les pulsations de ta lance, c’est inoubliable !

Ninah attrapa le condom pour le retirer et l’évacuer dans la salle de bains avec un sourire satisfait en voyant le contenu.

Mais Amina voulut une deuxième session !

Je me dis que tant que la porte était ouverte autant en profiter !

Amina était plus détendue sachant à quoi s’en tenir ! Mais Ninah trouvait qu’il fallait ranimer mon soldat qui était pourtant bien dressé et devant les yeux d’Amina me fit quelques caresses buccales très efficaces. Puis me revêtit d’un nouveau préservatif bien lubrifié. Je versai également une bonne dose dans son canal anal et je pénétrai Amina sans effort et j’entendis à son râle qu’elle appréciait. Ninah ne restait pas inactive, elle s’approcha d’Amina pour la masturber pendant que je ramonais.

Le doigté de Ninah était efficace, je sentis les vibrations dans l’anus d’Amina, que c’était serré ! Amina cria à rameuter toute la plantation. Heureusement le guest-house était un peu isolé par rapport aux autres bâtiments, que je supposai être des bureaux. Amina était pliée en deux, son postérieur bien relevé, ses seins vibraient sous les coups de butoirs que je donnai avec vigueur. Je tins la cadence pendant un bon moment, jusqu’à ce qu’Amina subit un deuxième orgasme, je ne pouvais plus tenir !

Pendant que je déversai mon sperme, Amina cria :

– Oh oui Pierre, c’est bon, je sens ton sperme qui remplit le préservatif ! Oh, Pierre j’espère un jour le sentir dans l’autre trou. Reste encore un peu tant que je jouis. Pierre, merci, je t’aime ! Ninah, ce que tu m‘as fait c’était sublime, toi et Pierre ensemble, j’espère qu’on refera ça encore mais pour aujourd’hui j’ai mon compte !

Elle se redressa et serra ma tête contre ses seins, je sentis encore les vibrations finales de son orgasme qui se prolongeaient par le contact de ses tétons contre ma bouche. Je pus encore rajouter une couche en mordant légèrement ses seins.

– Non, Pierre, arrête maintenant !

– Mon Dieu dit Ninah, regarde Amina, tu avais raison ! le condom est bien rempli ! Pierre, ma recette pour te donner plus de sperme fonctionne vraiment bien. Amina a peut-être son compte mais je suis à nouveau tout excitée par ce que je viens de voir et entendre. Pierre s’il te plaît calme me moi avec ta lance et tes mains, désolé Amina mais je ne pourrai pas dormir sans être calmée !

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Sans attendre mon avis elle recoiffa un nouveau caoutchouc sur mon gourdin toujours tendu et présenta mon engin devant l’entrée de son vagin. Je vis effectivement sa cyprine qui coulait abondamment et je n’eus aucune peine à m’enfoncer jusqu’à la garde. C’est Ninah qui se bougeait sur mon engin avec des gémissements.

Elle parvint entre les coups de butoir à me murmurer :

– Pierre, … la prochaine … fois tu pinceras … mes seins … pour que mon orgasme … dure … plus … longtemps … oh ouiii ! Pierre oui, vas y à fond !

Je ne vis plus les filles ni la pièce où je me trouvai ; j’eus un écran tout blanc devant les yeux pendant de longues minutes !

Puis finalement je recouvrai la vue pour constater que Ninah examinait le condom qu’elle m’avait retiré :

– Dommage que le sperme dans le préservatif a un goût de caoutchouc, sinon je l’aurais bien bu ! ça va Pierre ? Quelle prestation ! Je te promets que je ne mettrai plus rien dans ton assiette pour au moins deux jours. Comme disait Lysa je ne dois pas jouer avec la santé de notre taureau !

Je ne fus pas heureux d’apprendre que ma cuisinière avait à nouveau trafiqué ma nourriture, mais je ne dis rien car j’en avais été le premier bénéficiaire. À mon regard Ninah comprit qu’elle ne devait plus faire ce genre de piège.

– Pardon patron tu peux me donner une fessée, mais tu en as profité comme nous !

– Ça n’est pas une excuse puisque tu es encore nue, couche-toi sur mes genoux que je puisse te punir.

En fille très obéissante elle se coucha sur mes jambes en affichant son postérieur assez haut pour que je puisse administrer la fessée. Je ne voulus pas frapper fort mais au bout de moins d’une dizaine de claques bien senties elle se mit à rire :

– Patron ça te fait jouir ?

– Regarde Amina, il bande encore plus fort !

– Oui, je vois Ninah, mais pour ce soir je suis saturée, mais je vais aussi te fesser pour avoir fait l’amour sans préservatif !

Ninah ne se gêna pas pour avaler ma bitte qui s’était décalottée naturellement comme le serpent prêt à l’attaque. La gourmande ne se priva pas une seconde. Je remarquai qu’Amina avait cessé sa fessée pour glisser sa main entre les fesses de la servante avec le pouce dans l’anus et l’index sur le clitoris.

Ninah surprise dut interrompre un instant sa caresse buccale pour respirer un grand coup, de gémir de jouissance et de reprendre encore plus intensément la fellation. C’était trop pour moi, sans l’avertir j’éjaculais puissamment dans sa bouche au grand plaisir de la « punie » ! Elle n’eut pas le temps de profiter de mon sperme que son orgasme se déclencha dans un cri de jouissance, répandant mon sperme sur mes jambes ! Les deux vicieuses se précipitèrent pour récupérer avec leurs langues le restant avec gourmandise.

Je trouvai qu’Amina était de plus en plus attirée par le sexe :

- Ninah tu es une salope ! dit Amina, quelle perverse ! se faire punir et jouir ! à notre retour je te priverai de dormir avec Pierre !

- Ça, ce n’est pas toi qui décides, répliqua-t-elle. C’est Pierre qui choisit et de plus c’est moi qui peux lui donner les forces de t’aimer !

- Du calme les filles ou vous allez toutes les deux dormir ailleurs ! dis-je en prenant une voix sévère.

- Faites la paix, si vous voulez bien, car je ne veux pas vous voir vous disputer alors que vous avez toutes les deux ma tendresse et mes caresses ! Embrassez-vous et venez vous mettre dans mes bras.

La rivalité n’était qu’en surface, les deux garces s’aimaient de trop ou devrais-je dire simplement qu’elles avaient tout à gagner en restant amies. Elles s’embrassèrent longuement tout en se caressant les seins, puis vinrent se placer à mes côtés, me prodiguant des caresses sensuelles.

Mon soldat qui s’était un peu assoupi se réveilla et pointa à nouveau vers le plafond de la chambre à la grande joie des deux filles.

Ce fut une avalanche de baisers et de léchouilles à mon grand amusement et de mon soldat. Puis finalement le calme revint et je sentis que la nuit s’annonça reposante !

NDA : soyez indulgents ! Je n’ai jamais encore écrit un rapport anal ! N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires !