Chapitre 65 - La convalescence de Ninah. Tsela - étreintes lesbiennes.
Jour 51 (semaine 8 – mardi) tard le soir.
### Pierre ###
– Viens Pierre, dit elle en ouvrant mon pantalon, tu mangeras plus tard !
– Attends une minute Amina, je ne suis pas passé par l’hôpital, je vais d’abord téléphoner à la gazelle!
Elle répondit à la première sonnerie !
– Bonsoir Pierre, tu ne m’as pas oublié ?
– Non ma puce, mais le DG m’a appelé au bureau et je suis sorti trop tard pour encore passer par l’hôpital, pardon !
– Ce n’est pas grave, mais je m’étais fait belle ce soir pour toi, Amina m’a acheté une petite robe bleue, j’attendais que tu sois passé pour remettre mon vêtement de nuit.
– Je suis désolé Ninah, mais demain si on autorise ta sortie, je viendrai te chercher et on restera ensemble tout le restant de la journée !
– Merci, Pierre, je t’aime ! Amina est près de toi ?
– Oui, tu veux lui parler ?
– Oui, merci, bonne nuit Pierre !
– Bonsoir petite sœur, tu voulais encore me dire quelque chose ?
– Oui, câline bien mon patron, j’ai besoin de ses caresses ! Mais lorsque je pense fort à lui je sens mes cicatrices qui tiraillent !
– Bonne nuit Ninah, Pierre se rattrapera lorsque tu seras de retour.
J’avais à peine raccroché avec Ninah, qu’Amina reprit sa câlinerie vers mon sexe. Elle ouvrit en grand mon pantalon pour découvrir ma bite, ses caresses étaient douces et calmes. J’appréciai d’autant plus que je lui avais promis un massage de reine et je comptais la faire jouir plusieurs fois durant la soirée.
– J’ai promis à Ninah de te câliner en son absence, as-tu envie de quelque chose de particulier ? demanda-t-elle.
– Oui ! je voudrais refaire un rapport par l’orifice alternatif !
– Ce serait formidable, dit-elle, tu seras aussi patient que la première fois ?
– Oui, bien sûr, mais je vais commencer par bien te masser, pour que tu sois bien détendue, je vais te déshabiller et tu te coucheras sur le ventre sur le lit.
Elle paraissait si belle dans la lumière tamisée de la veilleuse, je me défis de mes vêtements sans traîner. La vue de ses petites fesses et les caresses que j’imaginai lui donner firent ériger ma lance en vue d’un rapport qu’elle espérait. Je pris un grand plaisir à étaler l’huile de massage sur son dos et entrepris de masser les muscles de son cou qui me semblèrent un peu tendus. Avec le haut de ses épaules, cet ensemble musculaire mit un certain temps à se détendre sous le passage de mes mains. Je sentis tout de suite la différence lorsqu’elle commença enfin à se relaxer. Je fis des petits cercles massants sur les arêtes de ses vertèbres et puis, descendis sur ses fesses en ne négligeant pas la fente entre les globes. Comprenant ma manœuvre elle écarta un peu les jambes pour me permettre un passage sur ses muscles pelviens, insistant sur son intimité et sa rosette. Rapidement elle émit des petits gémissements de bien-être qui m’encouragèrent à insister sur cet endroit.
– Oh oui, Pierre continue, tu me chauffes !
– Tant mieux, car je vais changer de côté, tourne-toi sur ton dos maintenant.
La vue de ses seins dressés, son ventre plat et son pubis rasé, donna un coup de fouet à mon gourdin, dont le gland se découvrit en partie.
– Pierre ça ne te dérange pas si je te caresse doucement pendant que tu me masses ?
– Non, mais pas de précipitation, je tiens à garder toute ma vigueur pour te pénétrer tout à l’heure.
Mes mains descendirent de ses épaules sur le haut de son buste, puis encerclèrent ses seins pour provoquer l’érection de ses tétons. Une fois érigés au maximum, j’approchai ma bouche de ce qui pour moi était le sommet de mon désir et titillai ces pointes pour les énerver un peu plus.
– Suce-moi Pierre, dit-elle, j’adore ta bouche !
Je la suçai longuement et je vis l’effet sur son corps car ses lèvres intimes s’entrouvrirent, pour laisser échapper un peu de cyprine crémeuse. Je repris mon massage vers son ventre et introduisis mes doigts à l’entrée de son vagin pour caresser son clitoris gonflé de désir. Sa réaction fut immédiate ! Elle eut les premières vibrations annonçant un orgasme imminent, que je voulus retarder encore un peu, je mis ma langue humide sur son bijou pour calmer un peu la tension mais cela eut plutôt l’effet inverse et je me retirai pour la retourner sur son ventre en glissant un coussin pour remonter son derrière. En introduisant un doigt dans son anus je sentis qu’elle était prête et introduisit ma lance dans son orifice.
Amina senti la pénétration et ne cria pas, mais apprécia lorsque je m’enfonçai plus loin.
– Oui, Pierre donne-toi du plaisir, déverse ton sperme ! défoule-toi !
Je la pilonnai vigoureusement et provoquai son orgasme car en même temps, je caressai son clito sans m’arrêter. Ses vibrations furent violentes et je ne pus me retenir. Mon sperme se répandit abondamment et s’écoula dans le lit lorsque je me retirai.
Nous restâmes ainsi de longues minutes pour récupérer notre respiration.
– Pierre, j’attends impatiemment le jour où tu me feras ta femme !
– Patience mon ange, encore un visa à renouveler.
– D’accord, je t’aime, viens dormons. Je resterai dans tes bras cette nuit encore, Demain, si tout va bien, nous serons à nouveau à trois.
Jour 52 (semaine 8 – mercredi) matin
### Amina ###
Contrairement à mon habitude, je fus la première à me réveiller ce matin. Hier soir, c’était vraiment merveilleux ! Son massage m’avait vraiment détendue et le rapport anal, m’avait donné beaucoup de plaisir. J’étais restée nue toute la nuit, serrant sa lance entre mes fesses, mais je commençais à m’y habituer ! La nuit, Pierre dans son sommeil avait peu bougé mais ce matin, son érection fut à nouveau à son apogée.
Je me tournai vers Pierre et me couchai sur lui, je sus que bien évidemment mon poids allait le réveiller d’autant plus que je lui appliquai de nombreux baisers sur son visage et dans son cou.
– Amina, que se passe-t-il ? Pourquoi cette embrassade matinale ? Ce n’est pas encore l’heure de se lever !
– Bonjour Pierre, j’ai bien dormi grâce à ton massage et j’ai beaucoup apprécié notre rapport. Mais je veux me doucher, ce ne serait pas du luxe pour toi aussi ! Ensuite tu me déposeras à l’hôpital.
– Je suis d’accord pour la douche, mais après le petit-déjeuner, c’est toi qui me déposeras au bureau puis Zakpa te conduira à l’hôpital. Si Ninah peut sortir tu pourras aller directement à la villa, dans le cas contraire tu m’enverras la voiture en fin de journée.
Le jeu dans la douche fut très raisonnable, Pierre me lava avec sérieux et application évitant toutefois de mouiller mes longues tresses, car hier j’eus les cheveux mouillés pendant une partie de la journée.
En arrivant au bureau, Pierre se dirigea immédiatement à sa table de travail, mais je voulus passer par le local de Tsela pour la saluer. Elle fut un peu surprise de me voir mais je vis qu’elle était heureuse en m’embrassant sur la bouche. J’adorai la fraîcheur de ses lèvres et elle me demanda des nouvelles de Ninah.
– Elle allait très bien hier soir, dis-je, mais ce matin j’attends son signal si elle peut sortir pour la ramener à la maison. Je notai que Tsela était vêtue d’un top blanc très décolleté et qu’elle ne portait pas de sous-vêtements.
– Amina, tu restes un peu avec moi alors, je suis toute tendue, j’ai rêvé de toi cette nuit et aussi la nuit précédente !
– Tsela, tu dois être raisonnable, ce matin il n’est pas question que tu me pièges ! Viens à la villa en fin de journée avec Pierre dans sa voiture, trouve un prétexte pour une question de ton travail. Pierre ne posera pas de questions, car il voudra parler avec Ninah.
– D’accord, à ce soir alors !
– Oui, maintenant il faut que je parte !
### Tsela ###
Amina me laissa après un baiser et je rassemblai mon dossier de préparation de la mission pour me rendre dans le bureau de Monsieur. Avant de pénétrer dans son bureau, je défis intentionnellement le bouton supérieur de mon top. Ce n’était pas tellement pour l’aguicher mais surtout parce que je ne supportai plus la pression du vêtement sur mes seins.
Et puis j’aimais voir le blanc bander à l’odeur de mon parfum et la vue de mon corps ! Je ne comprenais pas vraiment ce qui me poussait à exciter mon ennemi ancestral, si ce n’est une attirance sexuelle. Était-ce parce qu’il aimait Amina et que cette dernière me donnait des pulsions difficilement maîtrisables ? J’aurais bien aimé en parler avec ma grande sœur Marie. Elle m’avait dit à l’époque de mon agression par mon grand frère, que cela pouvait me causer des dérangements de ma vie sexuelle, car le souvenir de cette tentative de viol restait dans ma mémoire. J’avais encore souvent des cauchemars me rappelant l’image de ce sexe démesuré qui perforait mon vagin. Depuis aucun homme ne m’avait attiré, je me contentais de me masturber lorsque mes pulsations devenaient in contrôlables. Mais depuis que je travaillais avec Amina et surtout Monsieur Pierre, je ne me maîtrisais plus vraiment. La bosse dans son pantalon me donnait des fantasmes, je m’imaginais un sexe de blanc sans vraiment savoir en quoi il pouvait être différent d’un sexe comme celui de mon frère, sexe que je n’avais pas vraiment eu le temps de regarder ni d’en profiter !
Monsieur Pierre était assis à sa table et me regardait avec insistance à mon entrée. Comme je le prévis, son regard darda sur ma poitrine. Je lui présentai le résultat de mes recherches.
– Monsieur, en ce qui concerne le logement à Mbuji-Mayi, il y a un hôtel qui est convenable d’après les renseignements que j’ai pu obtenir. Il y a des chambres et une suite climatisée et il me faudra les dates de la mission pour réserver les logements pour vous, le chauffeur, dois-je aussi prévoir pour les pilotes ?
– Oui, la suite pour vous et moi, deux chambres pour le chauffeur et les pilotes.
– D’accord, je vous signale aussi que l’hôtel dispose d’une piscine.
– Vous savez nager ?
– Oui Monsieur.
– Alors prenez votre maillot, nous aurons du temps à perdre !
J’avais un maillot deux pièces que mon père m’avait interdit de porter, il estimait que ce maillot montrait plus que ce qu’il était supposé cacher, je me dis que ce serait le moment de le porter !
– Et le logement à Kaniama ?
– Non, Monsieur, je n’ai toujours pas de renseignements fiables. Il n’y a pas d’hôtels et je n’ai trouvé personne qui veut ou qui est capable de nous offrir un logement décent.
– On verra lorsque nous serons à Mbuji-Mayi !
– Oui, c’est compris mais je continue mes recherches.
Je m’approchai de sa table pour déposer la documentation sur sa table en me penchant très fort en avant. Je suivis ses yeux et constatai qu’ils étaient fixés sur ma poitrine. Il trouva sans doute que je me rapprochai de trop et se leva brusquement. Monsieur se dirigea vers une grande carte du Congo pour examiner la région du Haut-Lomami mais je vis clairement le relief de son sexe gonflé et dressé dans son pantalon. Il bande mais ne se laisse pas trop distraire me dis-je, il veut fixer la mission coûte que coûte.
Il me remercia avec un grand sourire et je sortis de son bureau mais je ne pus pas aller jusqu’au bout de ma tentative de séduction car je voulais ouvrir encore un bouton de plus de mon top.
En fin de journée je retournai dans son bureau, il était sur le point de partir.
– Tsela je rentre, car Ninah est arrivée à la maison.
– Oh Monsieur, est-ce que je peux venir avec vous ? Car j’avais promis un rapport à Amina mais il me manque une partie qu’elle devait me donner.
– Oui, viens alors, à propos nous partirons mercredi en huit, j’ai reçu la confirmation que l’avion sera disponible.
Dans la voiture, je m’installai devant car je fus trop troublée à l’idée de revoir Amina.
À notre arrivée à la villa, je saluai Ninah qui était toute jolie mais pas encore bien remise de son opération. Amina m’attira dans une chambre où je ne pus plus attendre pour l’embrasser passionnément.
Je la poussai sur le lit et défis les boutons de mon top libérant enfin ma poitrine, je pris sa tête pour la forcer à mettre sa bouche sur ma poitrine. Elle fit de la résistance pendant quelques minutes mais finalement elle prit un téton en bouche pour le sucer. J’eus des vibrations dans mon intimité tellement cela m’excitait, je ne pus étouffer mes gémissements, mais je parvins quand même à ouvrir le haut de son vêtement pour saisir ses seins.
– Doucement Tsela, tu vas alerter toute la maison, dit-elle en haletant. Calme-toi !
– Amina, non je ne sais plus attendre, Monsieur a bandé toute la journée ! Caresse-moi, fais-moi jouir !
Je n’avais pas beaucoup d’expérience de jeux sexuels entre filles. Adolescente au collège, certaines filles sans doute attirées par mon physique avaient tenté des approches, mais cela s’était limité à des échanges de salive durant de baisers passionnés. Amina par contre avait manifestement de l’expérience, ses caresses sur mon bijou étaient efficaces. Puis elle écarta mes jambes et mit sa bouche sur mon intimité ! Jamais je n’aurai imaginé qu’on pouvait se caresser avec la bouche ! Je sentis qu’elle écarta mes lèvres intimes et plongea sa langue dans mon vagin. Elle fouilla profondément dans mon vagin et se concentra sur mon clitoris durci par le désir. J’eus du mal à ne pas gémir bruyamment et je sentis qu’elle allait me conduire à l’orgasme…
### Ninah ###
Mon cœur fit un bond dans ma poitrine en voyant Pierre rentrer dans la maison, mais la présence de Tsela, m’empêcha de sauter à son cou. Heureusement Amina entraîna la fille dans une chambre et je pus enfin me serrer contre Pierre.
– Oh, Pierre, j’attends ce moment depuis le milieu de la journée ! Tu m’avais promis de venir me chercher, mais ce n’est pas grave. Tu es là maintenant et je peux t’embrasser sans le regard des infirmières !
– Bonsoir ma gazelle, viens allons dans la chambre, nous serons plus tranquilles.
– Oui, patron, d’ailleurs je vais te calmer, car ta lance est en guerre, c’est Tsela qui t’excite ainsi ?
– Ninah, non pas vraiment, mais depuis ce matin, je pense à toi. Tu as une jolie robe !
– Merci, Pierre, c’est Amina qui me l’a offerte. Hier soir déjà, je la portais dans l’espoir que tu viennes me voir.
– Oui, je sais, mais maintenant je vais te l’enlever si tu permets, je veux t’embrasser sur tout le corps. Oh, mon amour, tu as maigri un peu me semble ?
– Non Pierre, ce n’est pas grave, la nourriture de l’hôpital n’était pas géniale. Mais viens plus près, je vais te caresser, il faudra encore patienter un peu pour me baiser, car je suis encore un peu fragile. Le docteur m’a dit que je saignerai encore un jour ou deux, mais rassure-toi je ne souffre plus. J’ai compris que sans ton intervention, j’aurais pu mourir. Le médecin ce matin, m’a tout expliqué et je te remercie de m’avoir sauvée !
– Ninah, sache que tu resteras toujours avec moi et Amina, ta grande sœur, sera toujours à ton côté !
Je ne répondis pas à sa promesse mais il vit les larmes que j’eus du mal à cacher et embrassa tendrement mes yeux. Je tendis ma main vers son sexe et le dégageai de ses vêtements. Je le caressai lentement et fis passer son gland sur mes seins. Pierre comprit mon désir et serra mes seins autour de sa verge pour se masturber.
Il devait être très tendu car je vis à sa figure qu’il ne tendrait pas longtemps. Je pris sa bite en bouche quelques secondes avant qu’il éjaculât et je bus avec délice son sperme qui gicla contre mon palais.
– Oh Ninah, me dit-il, je suis heureux de te retrouver dans mon lit ! Ton absence nous a pesés à Amina et moi, reste dans mes bras. J’attendrai ton signe pour te cajoler, mais sache que je t’aime.
– Merci Pierre, pour le moment, je n’ai pas encore envie de baiser, mais je serai heureuse dans quelques jours de te sentir dans mon corps. Puisque je ne pourrai pas avoir d’enfant, tu pourras au moins t’abstenir de préservatif et nous pourrons avoir du plaisir ensemble.
– Oui, mais Amina veut aussi sentir ma lance dans son corps !
– Qu’est-ce que tu attends Pierre ?
– Je vais te l’avouer Ninah, mais garde cela pour toi, j’ai peur ! J’ai peur de m’engager, je sais qu’elle veut être ma femme, mais je voudrais être certain que je peux rester au Congo. Mon visa est en renouvellement, c’est en principe qu’une formalité et puis je voudrais la déflorer avec ton aide ! Je serai plus rassuré si tu es avec nous !
– Je te comprends Pierre, ça doit être un moment merveilleux et pas une souffrance. Je t’aiderai, je vous aiderai tous les deux ! Et puis, ce sera inoubliable, toi enserré entre Amina et moi, je devrais te donner des « vitamines » pour que ta lance soit bien raide et pleine de sperme !
– Merci ma gazelle ! Repose-toi, je demanderai à Amina de préparer le repas ce soir.
– Mais Tsela est encore là ?
– Oui, je la mettrai dans un taxi ce soir après le repas.
NDA : ça, ce n’est pas encore certain ! On verra cela dans le prochain épisode !
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