Chapitre 84 – Fellations, cunni et masturbations !
### Pierre ###
Je me réveillai le lendemain, ma verge brûlante et dressée, Ninah endormie, mais faisant face. Elle avait un sourire de bonheur ! Je passai ma main sur sa tête, caressant ses cheveux frisés, elle avait dû passer chez la coiffeuse, car ils étaient plus courts que dans mon souvenir. Contrairement aux cheveux d’Amina, qui elle portait des longues tresses habilement noués dans sa chevelure originale, qui demandaient régulièrement de longues séances chez la coiffeuse pour refaire la fixation avec sa chevelure naturelle.
Pour moi, c’était un plaisir de sentir la différence même la nuit, les yeux fermés de toucher leur tête pour connaître celle qui me baisait ou pratiquait une fellation.
Mes caresses dans sa chevelure lui firent ouvrir les yeux pendant qu’une main exploratrice glissa sur mes flancs et mon ventre à la recherche de l’objet de son désir !
– Ninah, tu ne dors plus ? demanda Amina.
– Non ma sœur bien-aimée, et Pierre est réveillé également. Je sens ta main sur sa lance et le sourire sur sa bouche. Je crois qu’on peut le calmer avant le petit-déjeuner !
– Bonjour mes amours, vous avez le temps ce matin, vu que je n’irai pas au bureau. Par contre je vais tenir ma promesse, je veux rencontrer Lysa pour convenir d’une date pour notre mariage et toi Ninah tu seras son témoin !
– Qui sera ton témoin Pierre ? demanda Amina.
– Le DG !
– Oh, il sera très content dit Amina.
Elle me mit sur le dos et approcha sa bouche de mon sexe, qui maintenant se trouva entre les mains de Ninah. Elle recula mon prépuce découvrant mon gland, c’est comme si elle offrait une délicatesse à son amie. Je sentis ses lèvres entourer ma lance et commencer un doux va et vient qui me plut énormément.
Les deux femmes rirent du plaisir de voir mon sexe gonfler sous leurs attouchements. Je ne pus résister et j’essayai de modérer mes gémissements qui s’intensifièrent lorsque je sentis des caresses sur mes testicules. Ce n’étaient pas des caresses anodines, je sentis mes attributs avalés par une bouche gourmande. Au toucher je sus que Ninah tenait mes bourses dans sa bouche !
– Oh, Ninah tu veux me manger ?
– Non, Pierre, je veux juste te titiller pour que ton serpent crache tout son venin dans la bouche de ma sœur qui veut goûter ton sperme !
Ce fut un vrai festival de bouches, de langues et pour couronner le tout, je sentis des doigts s’introduire dans mon anus pour masser ma prostate ! Ce fut le geste de trop et mon corps se déchargea violemment dans la bouche d’Amina. Puis les deux filles s’échangèrent le contenu de leur bouche, avec force gémissements de plaisir pendant qu’une main réactiva ma verge en douceur.
– Pierre, quelle abondance ! dit Amina. Ninah, je te laisse profiter à ton tour car je crois que le patron n’a pas tout donné mais je veux qu’il me donne du plaisir avec sa bouche pendant que tu suces son gourdin !
Mon nez fut bientôt en face de son intimité qui sentait bon la fragrance du lait de coco et de sa cyprine combinée. J’introduisis ma langue entre ses lèvres gonflées et je trouvai aisément son bijou tendu.
– Oui, Pierre, tu es divin ! ta langue me fera jouir rapidement si tu continues comme ça, je t’en supplie, ne va pas trop vite ! J’adore sentir ton menton rugueux entre mes cuisses ! Pierre, j’espère que maman trouvera rapidement une date pour le mariage ! J’ai de plus en plus de difficultés à te refuser ma virginité !
Elle ne put continuer sa phrase, tout son corps se raidit et vibra sous l’orgasme puis elle cria mon nom plusieurs fois, en tenant ma tête entre ses jambes. Je bus tout le jus qu’elle expulsa pendant que mon sexe rendit le combat dans la bouche de Ninah.
Les deux femmes s’embrassèrent pendant que je retrouvai ma respiration. Puis je perçus le râle de Ninah qui jouit sous les doigts de sa sœur enfoncés profondément dans son vagin. Son râle était encore accentué par la prise d’Amina sur les seins de son amie qu’elle serra jusqu’à l’atténuation de son orgasme. Les caresses lesbiennes de mes femmes firent que ma verge se redressa et je pris Ninah par les fesses et m’enfonçai profondément en levrette dans son vagin pour la pilonner.
– Pierre ! Non ! je ne pourrai pas te satisfaire, je suis encore toute secouée !
Mais en fait, je me libérai très rapidement dans un orgasme incroyable en perdant la notion de mon environnement. Je repris connaissance quelques minutes plus tard sous les baisers de Ninah.
– Tu es infatigable ! dit Amina, qui reprit mon sexe toujours tendu.
– Les filles, je n’en peux plus, je vais mourir d’une crise cardiaque avec une verge dressée vers le ciel !
– Non, certainement pas ! mais pour ce matin, on va te laisser reposer un peu ! dit Amina. Ce soir on ira voir maman et tu devras être présentable !
– J’espère que Jaspar lui donne toujours satisfaction, car moi je suis épuisé si Lysa veut me baiser !
– Rassure-toi Pierre dit Amina, Maman devra se contenter de Jaspar ou de n’importe qui d’autre mais toi tu, es à nous !
***
Une heure plus tard Amina reçut un appel de Tsela, demandant si elle pouvait passer à la villa pour un problème urgent !
Je m’inquiétai en craignant déjà un problème avec son « mari », mais Amina me rassura que c’était pour avoir un onguent pour le dos de Kasongo et d’autres pommades.
Un peu plus tard elle arriva avec son homme, le but de la visite était la fourniture de pommades et onguents. Tsela me salua en restant à distance, puis les femmes s’isolèrent me laissant avec Kasongo. Celui-ci me remercia à nouveau pour mon intervention et me confirma qu’ils avaient un logement trouvé par la grande sœur de Tsela.
### Tsela ###
J’étais heureuse de revoir Amina et Ninah en aparté pour leur demander une crème adoucissante pour mon intimité.
– Depuis que Kas est dans mon lit, je veux profiter de lui matin et soir, mais mon vagin ne supporte pas le rythme !
– Et maintenant tu as mal ? demanda Ninah en mettant sa main sur mon bas-ventre.
– Oui, de plus, ton contact me fait vibrer !
– Déshabille-toi ! demanda Ninah. Utilises-tu des préservatifs ?
– Oui, je ne tiens pas à être enceinte !
– Sont-ils lisses ou avec des aspérités à l’extérieur ?
– J’en ai des deux sortes, ceux d’Eva sont lisses !
– Et les autres ?
– C’est Pierre qui me les a donnés dis-je avec une certaine réticence !
– Tu as couché avec Pierre ?
Oups ! Non ! Pas ça !
– Non, je les avais vus dans ses bagages, je lui ai demandé de me les donner pour copuler avec Kasongo !
– Ceux de Pierre son corrects, vérifie ceux d’Eva ! Car tu as manifestement un problème de lubrification vaginale.
En disant cela, elle introduisit ses doigts dans mon vagin, ce qui me fit gémir ! De plus, mes tétons se dressèrent au grand plaisir d’Amina ! Qui les caressa sans retenue…
– Oh oui, continue Amina !
– Oui, dit Ninah, je vais badigeonner ton vagin d’une crème calmante, ne t’étonne pas si cela te fera jouir pendant que je l’applique. Ce n’est pas à cause du baume, mais parce que ton intimité est fortement irritée ! Tu en remettras matin et soir après avoir baisé avec ton homme ! Dans quelques jours ce sera moins douloureux. Je regrette de te dire que tu as vraiment exagéré. Ou alors ton Kasongo est un violent !
– Non, Kas n’est pas violent, mais les premiers jours on l’a fait plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il ne pût plus !
Comme Ninah avait prévenu, lors de cette application de la crème j’eus un orgasme violent, qui était à la fois douloureux et jouissif. Amina me tint pendant que Ninah badigeonna mon vagin et mon bijou !
Puis je sentis la bouche d’Amina sur mes seins et sa langue dans ma bouche, je ne pus me retenir de crier ma jouissance, heureusement amortie par Amina qui obtura ma bouche.
Quelques minutes plus tard, je repris conscience et je vis Ninah qui me souriait.
– Eh bien, heureusement que je t’avais prévenue. Tu as intérêt à te calmer un peu, car Kasongo ne parviendra pas à te suivre. Et je ne te donnerai pas de fortifiant pour ton homme !
– Ça existe ?
– Et comment ! mais non cela n’est vraiment pas recommandable dans ton cas !
Amina me rhabilla, non sans avoir caressé mes seins !
– Tu es jolie Tsela, on se verra demain au bureau !
– Avant de partir, Ninah veux-tu examiner le dos de Kas ?
Nous retournâmes dans la pièce de séjour où les deux hommes discutaient d’agriculture. Je défis la chemise de mon homme.
– La guérison est en bonne voie, il n’y a plus de risque d’infection dit Ninah, une pommade pour atténuer les traces suffira et je vais te donner quelques herbes que tu feras en tisane le soir. Cela diminuera les traces. Je n’en ai pas beaucoup ici, mais dans quelques jours je donnerai à Amina une quantité suffisante pour le traitement. Dans un mois tu viendras me montrer le résultat.
– Merci Ninah.
Pierre n’avait rien dit pendant que Ninah examina le dos de mon homme, mais je compris à son regard qu’il était horrifié du traitement infligé par mon père !
Kasongo se rhabilla en remerciant Ninah, puis salua Pierre et nous quittâmes la villa de Pierre. Dans le taxi qui nous ramena, Kas me fit quand même une réflexion à voix basse.
– Je ne comprends pas Pierre qui est si sérieux et professionnel comment il peut s’accrocher à deux femmes en même temps.
– Je crois qu’il est sincèrement amoureux des deux femmes et il n’a pas voulu choisir ! lui répondis-je.
Nous entrâmes dans notre logement et après avoir mangé quelque chose, je voulus profiter de cette journée sans travail pour me reposer. J’invitai Kas à se joindre à moi pour une sieste. Lorsqu’il s’étendit à côté de moi, je constatai qu’il avait une raideur importante dans son short, aussi impressionnante qu’un piquet de tente !
– Kas, pendant quelques jours tu ne pourras me faire l’amour, car j’ai des douleurs vaginales, mais si tu veux, je te calmerai avec mes mains et ma bouche !
– Oui, Tsela mais ce n’est pas une obligation, je peux patienter ou, si je ne résiste plus je pourrai me masturber !
– Ah non, il est de mon devoir d’épouse à te donner de la jouissance, même si je ne suis pas disponible. Regarde la bosse de ton short, je peux te calmer pour que tu puisses te reposer à côté de moi !
– D’accord, mais déshabille-toi alors, que je puisse voir tes seins et les caresser !
– Volontiers ! et je défis ma robe et lui offris mes seins devant sa bouche.
Le contact de ses lèvres sur mes aréoles me fit frissonner dans le plus profond de mon corps. J’agrippai sa verge et crachai dessus pour la mouiller un peu. Je ne voulus pas le blesser en le masturbant à sec ! Dès les premières caresses, Kas gémit de plaisir ! Kasongo ne fut pas long à jouir ! Son sperme jaillit comme une fontaine arrosant mes seins et son ventre ! Je récupérai une bonne partie avec mes doigts que je mis en bouche, puis je léchai le reste directement avec ma langue et nettoyai sa verge entre mes lèvres.
Ce contact le fit gémir à nouveau et je lui pratiquai une fellation brutale auquel il participa en coinçant ma tête entre ses mains. La deuxième éjaculation tarda un peu mais finalement explosa dans ma bouche. J’eus mon compte, car il se masturba littéralement dans ma bouche et mes lèvres ne purent suivre le mouvement ! Une partie de son sperme coula sur mon menton. Mon ventre était crispé et j’eus quand même un petit orgasme par les attouchements de Kas !
Je finis par me coucher sur son corps qui vibra encore un bon moment avant de s’endormir !
NDA : La suite au prochain numéro !
N’oubliez pas de cliquer sur « j’aime ». Merci !
N’hésitez pas à commenter si vous aimez !
Annotations