Chapitre 101.
### Nicole ###
Je pus enfin me remettre debout et retourner à la cuisine pour préparer le repas du soir. Je ne retrouvai pas le haut de mon maillot qui sans doute devait flotter dans la piscine. Je ne pus enlever l’image du pieu de Pierre et profitant de ma solitude dans la cuisine, je mis ma main sur mon intimité pour me masturber.
Je ne pus accomplir mon geste ! Brigitte entra sans bruit dans la cuisine et me surprit la main dans ma culotte !
– Nicole, je vois que tu es restée sur ta faim ! Il est vrai que Pierre dans toute sa splendeur provoque des crispations dans le bas-ventre. Je t’avoue malgré les années que je le connais, il me fait toujours le même effet. Et je comprends ton envie. Mais fait gaffe, Amina et Ninah sont exclusives ! Elles acceptent ma relation avec Pierre car elle est beaucoup ancienne que la leur. De plus, c’est moi qui ai initié Ninah au sexe et appris à Amina comment satisfaire un homme sans perdre sa virginité. Ne provoque pas ouvertement Pierre, je doute qu’il prenne l’initiative de se rapprocher de toi. Les filles par contre, n’hésiteront pas à jouer avec ton envie, mais uniquement pour émoustiller l’appétit sexuel de Pierre ! Elles n’hésiteront pas à t’exciter jusqu’à la limite de l’acceptable, quitte à te laisser juste avant le point de non-retour où tu n’auras d’autre choix de te donner ton plaisir en te masturbant devant Pierre. Surveille aussi ton alimentation et ne laisse pas traîner ton verre. Ninah possède beaucoup de produits qui peuvent augmenter ou diminuer l’appétit sexuel ! De plus elles connaissent Pierre qui a déjà à plusieurs reprises été victime de femmes qui ont ou voulaient coucher avec cet homme.
– Merci de ton avertissement Brigitte, je ne te cache pas que Pierre me donne vraiment envie de le prendre dans mon lit ! Depuis mon divorce, je n’ai plus connu le plaisir dans mon vagin à part des sex-toys ! Et c’est frustrant de voir un mâle se promener sans restriction et de se faire caresser sans retenue.
– Tu es célibataire ? demanda Brigitte en se rapprochant de moi.
– Je suis en instance de divorce ! Mon mari est un délice pour me baiser, mais il ne me donnait pas l’exclusivité ; durant ses missions à l’étranger, il couchait avec de nombreuses femmes sans distinction de statut ou de race !! J’ai découvert dans son ordinateur des photos et sa correspondance avec des femmes, épouses de collègues, collaboratrices, ou putes de passage.
– Donc tu veux lui rendre la pareille ?
– Je n’ai pas eu de relations avec d’autres hommes, je me contente de me masturber. La présence de Marc et ses femmes me mettent en ébullition ! Est-ce vrai qu’il les a épousées toutes les deux ?
– Oui, en quelque sorte ! Amina est sa femme devant la loi congolaise et française. Ninah est sa sœur par adoption et possède un passeport français. Pour les congolais Ninah est son « deuxième bureau » ou plus gentiment sa coépouse. Elles le partagent sans problème et comme je l’ai dit, elles sont extrêmement possessives.
– Et toi Brigitte, tu ne couches qu’avec lui ?
– Non, mon métier d’hôtesse de l’air me donne beaucoup d’opportunités parmi les collègues masculins et féminins, parfois des relations de passage. Mais pas de relations régulières. Pierre est une exception, il m’attire et il me satisfait.
– Que dois-je faire alors pour l’approcher ?
– Si tu veux absolument risquer, adresse-toi à ses femmes.
– C’est ce que j’ai déjà fait, j’ai demandé à Amina si ça la dérangeait que je couche avec Pierre comme l’a fait la mère d’Amina. Elle m’a clairement dit qu’elle ne voulait pas !
– Alors dans ce cas, oublie Pierre ! Trouve-toi un homme en dehors de notre cercle !
J’avais à peine reçu le verdict de Brigitte qu’Amina entra dans la cuisine. Je sentis dans son regard que quelque chose n’allait pas !
– Nicole, j’ai entendu la réponse de Brigitte, je suppose que tu cherchais une possibilité pour attirer Pierre entre tes jambes ! Ma réponse était pourtant claire ! C’est NON ! Je ne veux pas que tu t’approches de Pierre ! Si tu veux du sexe, ma sœur et moi on veut bien te calmer, mais Pierre ne te baisera pas !
– D’accord Amina ne te fâche pas, je me contenterai de mon sex-toy pour me masturber !
Je pensai que de toute façon je me baladerai en tenue aguichante devant lui et s’il n’est pas trop fatigué par ses femmes et Brigitte il ne dira pas non à mon invite. Je ne comprenais pas d’ailleurs comment avec deux belles femmes dans son lit, il avait encore besoin de coucher avec l’hôtesse.
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### Pierre ###
Pendant le repas du soir, je trouvais l’atmosphère moins sereine qu’à midi. Nicole avait mis un top quasi transparent, je devinais ses tétons pointus et ses mouvements révélaient ses aréoles contre le tissu de son vêtement. Ninah et Brigitte riaient en catimini de la tentative de Nicole pour m’exciter. Amina par contre gardait une main sous la table et profitait de nappe débordant de mon côté pour caresser ma lance.
À la fin du repas Nicole vint nous saluer en demandant si je voulais encore quelque chose avant de se retirer. Ce fut Amina qui répondit tout en serrant son poing sur mon pic.
– Non, merci Nicole, à demain.
– Tu as vu sa tenue dit Ninah, après que Nicole eut quitté la maison.
– Oui dit ma voisine, je tiens depuis un bon moment mon mari par son vit, je tenais à le calmer. Si elle se serait encore rapprochée de Pierre, je crois que je lui aurais montré ce que ma main faisait sous la table ! Je suis désolé Pierre, mais tu devras te contenter de nous trois !
Amina accentua ses propos en décapsulant mon gland et glissa son pouce sur le frein. Heureusement je m’apprêtais à boire, mais je suspendis mon geste tellement elle me fit de l’effet.
– Viens dans le salon dit-elle en me libérant, je t’ai promis une belle soirée le programme sera chaud car Brigitte m’a confié qu’elle voulait vérifier l’efficacité des herbes de Ninah.
– Ninah, quelle substance m’as-tu administrée ?
– Rien de bien méchant, mais tu resteras dressé toute la nuit ! Mais promis Patron, après nos jeux je déverrouillerai ton engin ! C’est sans danger, ce sera juste un peu inconfortable. Les vieilles au village le proposent aux femmes dont le mari manque de désir au lit.
– Ninah, j‘espère que je pourrai dormir après les jeux car j’ai besoin de mon sommeil !
– Oui Patron, tu pourras nous donner du plaisir à toutes les trois car tu seras « infatigable » !
– Je vais lancer le tournoi, dit Amina, étends-toi Pierre, je vais te chevaucher !
Ma femme n’eut aucune hésitation, avec sa souplesse naturelle, elle m’enjamba, écarta ses jambes, me révélant son intimité tout rose. D’un geste vif elle dirigea mon pieu dans son antre profond. Nous eûmes de concert un soupir de bien-être qui fit rire les deux spectatrices. Amina entama un galop intense qui secoua ses seins, que je parvins quand même à saisir. Elle devait être déjà fort loin dans son excitation car il ne lui suffisait que de quelques minutes pour crier son orgasme alors que je ne sentis encore rien dans mon corps. Il est vrai que sa fente humide glissait beaucoup trop facilement sur ma verge. Brigitte eut le bon réflexe de retenir ma douce avant qu’elle ne bascule et tombe au sol. Ninah s’approcha de moi voyant la place libérée et vint reprendre le mouvement interrompu. Amina étendit ses bras non pas pour se redresser mais pour caresser les seins de sa sœur. Brigitte ne fut pas en reste et vint se placer sur ma bouche. Elle aussi était en transe et je reçus un filet de cyprine qui s’écoula dans ma bouche. Man langue trouva aisément son bouton sensible qui vibrait par les mouvements circulaires que je parvins à lui prodiguer.
Brigitte se mit en cadence au même rythme que Ninah. Je n’eus pas le temps de saisir les hanches de ma gazelle que celle-ci cria à son tour et me parlant dans sa langue natale. « Mobali na ngai ya bolingo, nazali na mingi ya kopesa yo te, kaka BOLINGO NA NGAI NYONSO . . . » Amina eut la gentillesse de me traduire ses cris « Mon chéri, je peux te donner tellement peu de choses, hormis TOUT MON AMOUR. ». Je compris qu’elle criait son dépit de ne pas pouvoir me donner un enfant, car elle s’écroula sur mon torse et je sentis des larmes couler sur ma poitrine.
Brigitte émue se dégageait de ma bouche et j’étreignis ma gazelle dans mes bras.
– Chut, Ninah, tu m’es précieuse comme ta sœur, la nature t’a refusé que tu puisses me donner un enfant mais lorsque Amina sera enceinte cet enfant sera aussi le tien !
– Oh oui, murmura Amina, mon enfant aura deux mamans !
– Et une marraine ajouta Brigitte encore toute tremblante car elle n’avait pas son compte de plaisir.
Je m’écartai un peu de Ninah qui laissa la place à Brigitte qui se glissa sur mon ventre. Ninah riait car elle saisit ma verge encore dure pour la guider entre les lèvres gonflées et humides. Je me doutai bien que ma vigueur était due à la tisane que Ninah m’avait fait boire auparavant en toute innocence. Très rapidement je sentis les vibrations de Brigitte encerclant mon sexe.
– Oui, murmura-t-elle, Pierre continue, laisse-toi aller ! J’y suis ! Arghhh, Oh ! quelle puissance.
Brigitte se cramponna à mes hanches pour bien profiter de ma pénétration puis j’eus une explosion dans ma tête et tout mon corps vibra expulsant mon sperme qui se perdit en partie dans son vagin et sur ses cuisses.
Je n’en revenais pas ! Jamais je n’avais connu pareille jouissance ! Mais je ne parvins toujours pas à débander.
– Ninah ! tu as vraiment exagéré dans ta posologie !
– Non, Pierre, aujourd’hui tu pourras recommencer pendant quelques heures, il faut en profiter !
– Oui, mais je finirai par être « à sec » dis-je en simulant les guillemets avec mes doigts.
– Non, la tisane a un autre nom : « la source intarissable ».
– Ahahah je serai donc « infatigable avec une source intarissable ». Tu aurais du succès comme guérisseuse !
– Non, Pierre je réserve mes connaissances pour notre plaisir uniquement. Je ne t’empoisonnerai pas, mais ta performance est réservée pour nous tes femmes et Brigitte. Pas pour cette femme frustrée qui peut coucher avec tout Saint-Tropez !
Ninah se coucha sur moi et serra ma verge entre ses seins, elle me fit son jeu favori en avalant mon gland à chaque passage entre ses lèvres. Je vis du coin de l’œil que Brigitte et ma douce s’étaient couchées en 69 et s’en donnaient à cœur joie. Je n’entendis que baisers et succions jusqu’au moment où mon foutre jaillit entre ses seins. Je fus ébloui par le plaisir, mais j’eus encore le temps de voir Amina et Brigitte récupérer mon jus en léchant les seins de mon ancienne boyesse.
NDA : je vous remercie de votre patience, car ces derniers temps je ne suis pas très régulier pour publier. Je suis avec plaisir quelques auteurs qui me passionnent en Écosse, le Wyoming, Hollywood, en Sylvanie, le Colorado et en Normandie… Je recommande franchement ces récits. (voir ma liste « je recommande » (pardon mais je ne peux pas citer tous mes auteurs favoris).
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