Chapitre 104. Amina comblée.
### Pierre ###
Durant la nuit, je me réveillai quelques fois, ma lance au repos, mais la chaleur des fesses de Ninah, réanimait mon engin. Ninah dormait profondément et je ne voulais pas interrompre son sommeil.
Je ne fis pas de grands mouvements mais je parvins quand même à coller mon gland contre ses lèvres intimes. Dans son sommeil Ninah eut quelques gémissements discrets et je sentis que ses muscles fessiers enserraient ma verge plus intensément. Comme j’avais un bras sous son torse je glissai ma main sur son sein tandis que mon autre main glissait sur ces cuisses en direction de son entrejambe.
Je me rendormis dans cette position et ce fut Amina qui vint se coulisser en exploratrice et rechercha de la main ma verge enfouie partiellement dans le fessier de Ninah. Ma femme fut interrompue dans son mouvement.
– Oh Brigitte, bonjour, j’adore ta main.
– Bonjour ma grande répondit-elle. Laisse-les dormir encore un peu. Tourne-toi vers moi, je veux tes seins.
Je fis semblant de dormir encore, mais les voix chaudes de ma femme et Brigitte, redressèrent ma lance qui pénétra légèrement le vagin de Ninah. Je sentis immédiatement la réaction de Ninah qui silencieusement avança son postérieur pour que la pénétration fût plus intense.
Très vite j’entendis dans mon dos les gémissements d’Amina qui devait sans doute réagir aux caresses de l’hôtesse de l’air. Ensuite le matelas s’allégea dans mon dos.
– Viens ma douce, allons ailleurs, dit Brigitte, laissons les dormir.
Je trouvais cela une bonne idée, je soulevai un peu le bas du corps de Ninah pour la pénétrer davantage. Ma boyesse, serra plus intensément ses muscles pelviens et ronronnait de plaisir.
– Oui, Pierre, pousse encore plus loin. Je veux te sentir dans mes profondeurs. Dit-elle en cherchant de sa main libre à caresser son clitoris en dessous de mes doigts déjà engagés.
Je trouvais que Ninah était suffisamment réveillée pour entamer des va-et-vient plus intenses. Mais Ninah avait d’autres idées. Elle se désengagea et se tourna vers moi pour poser ses lèvres sur les miennes.
– Bonjour maître, dit-elle en exagérant son accent africain. Tu veux jouer ?
– Oui, ma gazelle, chevauche-moi.
– Oh, oui !
Elle se redressa et rejeta le drap qui nous couvrait. Je vis son corps affolant se glisser en cavalière sur mon ventre coinçant mon chibre entre ses jambes.
– Où sont parties Brigitte et Amina ?
– Elles ont changé de chambre pour ne pas nous réveiller.
– Alors Pierre, tu es à ma merci, tu crieras mon nom jusqu’à l’épuisement.
– Oh, j’ai bien peur que ce soit long avant que tes vitamines ne fassent plus d’effet.
– Oui, je serai curieuse de voir combien de fois tu jailliras avant d’abandonner.
Elle me chevaucha mais sans s’empaler sur mon sexe dressé. Passant une main sur mes pectoraux et enfonçant des doigts dans ma bouche.
– Mouille bien mes doigts avant que je les enfonce dans mon vagin, je veux me caresser pour que tu bandes plus fort avant de te prendre. Si tu veux tu peux caresser mes seins. Pierre, j’adore quand tu glisses tes mains sur mes mamelles et que tu pinces mes tétons. Je veux m’approcher de la jouissance avant de te faire exploser.
– C’est toi qui règles le jeu, répondis-je.
Je fis comme demandé et caressai ses seins des deux mains, ce qui fit ressortir ses tétons dressés de plusieurs centimètres comme j’avais déjà eu l’occasion de voir ce phénomène par le passé. Cette image m’avait toujours fait un effet fulgurant et je vis ma verge se dresser au point que mon gland sortit de son abri.
– Ah, ton serpent se réveille, alors je vais en profiter.
Elle prit mon sexe en main, le guida entre ses lèvres intimes pour entamer son rodéo. C’était beaucoup trop rapide. J’éjaculai sans retenue et Ninah prit plaisir en sentant mon jus se déverser dans son corps mais ne me laissa pas de repos.
– Continue Pierre boligo ngai (mon amour) Je veux tout.
– Oui, Ninah, comme promis.
Elle augmenta le rythme, ce qui devint plus facile par mon sperme qui coulait entre ses jambes. Ses seins dansaient devant mes yeux et je parvins à les saisir pour atténuer leurs mouvements. Puis elle éclata dans sa jouissance, m’entraînant dans un nouvel orgasme.
– Oh oui, patron, inonde-moi, tu en as encore.
Effectivement, ma lance ne faiblit pas et Ninah, se désengagea pour me masturber à la main puis me prit en bouche. Ses massages avec sa langue et ses succions me firent remonter dans les étoiles. L’orgasme était puissant et douloureux mais mes testicules ne suivaient plus. Ninah fut un peu déçue de recueillir si peu dans sa bouche.
– Caresse mon bijou dit-elle, je suis certaine que tu as encore de la réserve. Mais je te laisserai un peu de temps pour que tu recharges tes batteries.
– Ninah, tu es insatiable.
– Oui Pierre, ta verge est encore très dure, je suis sûre que tu n’as pas dit ton dernier mot.
Elle se blottit avec ses seins contre mon sexe et le fit coulisser entre ses tétons. L’image était magnifique et boostait mon énergie. Au bout de longues minutes, mon bâton gicla ses réserves ultimes qui se perdirent sur son visage et ses seins. Ce fut de trop pour moi et je sentis des crampes dans les profondeurs de mon corps.
– Pardon Pierre, je vois que tu as mal.
– Oui et non Ninah, j’ai eu du plaisir, mais maintenant je demande une pause.
– D’accord, mon amour, mais je suis à ta disposition pour de nouvelles étreintes.
– Que font Amina et Brigitte ?
### Amina ###
Après de longues embrassades, Brigitte proposa de profiter de la piscine. Comme elle était chauffée, nous n’eûmes aucune difficulté pour entrer dans l’eau. Aucune de nous deux ne voulait s’embarrasser de porter un maillot. Nicole n’étant plus autorisée à venir dans la propriété, nous décidâmes de rester dans la nudité totale. J’espérais même que Pierre nous rejoigne lorsqu’il aura assouvi son désir et surtout l’appétit de Ninah.
Depuis notre mariage, je suspectais que Ninah continuait à doper Pierre de toutes les plantes et épices qu’elle connaissait pour augmenter l’appétit sexuel de Pierre et de lui donner une endurance bien supérieure à la moyenne des hommes.
L’eau était bien agréable et Brigitte vint contre mon corps pour saisir mes seins encore bien excités.
– Amina, j’adore ta peau d’ébène, me dit-elle. En glissant ses mains sur mes épaules.
– J’ai la même attirance pour ta peau de blanche. Comme Pierre, le contact du soleil sur votre peau donne un éclat qui augmente mon désir. Dès que j’ai vu Pierre la première fois dans ce bar accompagnée de mes copines, j’étais attirée par lui. Je me rappellerai toujours son allure et sa façon sensuelle lorsqu’il dansait avec moi. Ma copine Thérèse voulait absolument coucher avec lui, sans doute pour profiter de son argent alors que moi sans doute plus naïve je ne voyais que le plaisir de danser. Lorsque ma copine ouvrit son décolleté et serra son ventre contre Pierre, je vis qu’il reculait sensiblement Je crois que ce soir-là je l’ai sauvé de la catastrophe. Mais mon attirance pour sa peau blanche s’est renforcée par la suite. Il m’a conquis par sa gentillesse . Alors quelle fut ma joie lorsque le lendemain je le revis dans une réunion de travail dans l’entreprise. Même ma mère éprouva (et éprouve encore) du désir pour mon homme. Pourtant maman ne cherchait pas la richesse, je suppose que c’est sa peau blanche et son allure attirante qui nous conquit toutes les deux.
– Donc tu ne regrettes pas, d’avoir attendu jusqu’au mariage ?
– Non, mais sans Ninah, notre relation n’aurait jamais tenu ! Par chance Ninah a partagé son désir très rapidement et a calmé son appétit sexuel bien avant que je termine dans ses bras. J’ai pu préserver ma virginité ! Car Ninah a accepté que Pierre lui donne une relation totale vu qu’elle avait été déflorée par son oncle.
– Et maintenant, tu n’as pas encore révélé à Pierre que tu es enceinte ?
– Non, je n’ai pas encore fait le test.
– Alors, si on faisait le test maintenant ?
– Brigitte, j’ai peur du résultat. Je ne sais même pas si Pierre sera content.
– Amina, si depuis ton mariage Pierre ne met plus de préservatif, c’est qu’il est d’accord de prendre le risque. Pierre n’est pas idiot, il découvrira bien vite que tu attends son enfant. Viens allons dans la salle de bains. Pierre est encore au lit avec Ninah, il ne nous dérangera pas.
Brigitte tint le test sous le jet de mon urine. Au bout de quelques minutes le test montra clairement que j’étais enceinte !
– Félicitations, dit Brigitte, es-tu heureuse ?
– Oui, c’est le deuxième plus beau jour de ma vie après le mariage. Mais j’ai peur de l’annoncer à Pierre et surtout à Ninah. Elle sera triste.
– Tu veux m’écouter ? demanda Brigitte.
– Oui, je suis tout ouïe.
– Annonce d’abord la nouvelle à Ninah. Elle est ta « sœur » maintenant et coépouse. Je sais, elle a souffert de savoir qu’elle ne pourra donner d’enfant à ton mari, mais je me souviens que tu m’as dit qu’elle chérira ton enfant comme le sien. Donne-lui la primeur de cette information.
– Oui, Brigitte, je vais suivre ton conseil. Elle encaissera mieux la nouvelle.
– J’en suis convaincue, vous vous entendez bien, vous partagez les faveurs de Pierre sans jalousies ni de disputes. Tu sauras lui annoncer cette nouvelle avec tact et tendresse.
Nous décidâmes de préparer le repas, comme Nicole ne viendrait plus, Amina dressa la table au moment où Ninah sortit de la chambre. Elle vint vers moi en souriant.
– On ne t’a pas laissé seule, puisque tu étais avec Brigitte. J’allais venir t’aider pour le repas.
– Merci, ma sœur, je pouvais me débrouiller avec l’aide de Brigitte, dis-je, mais avant ça je voudrais te confier un secret ! Je veux que tu sois la première à l’apprendre. Ninah, je suis enceinte. Nous allons être maman, je suis heureuse.
– Mais c’est merveilleux répondit-elle. Je tiendrai ma promesse, j’aimerais l’enfant comme si il ou elle sera le mien. Je suis aussi heureuse. Tu l’as déjà dit à Pierre ?
– Non Ninah, je voulais que tu sois la première à l’apprendre.
– Oh, Amina, j’avais un doute lorsque tu as eu ton malaise l’autre jour. De plus tu étais plus sensible qu’habituellement lorsque je caressais tes seins. Pierre sera heureux.
– Tu le penses vraiment ? J’ai un peu peur de sa réaction.
– Mais non, rappelle-toi un jour on a même ri à propos du nombre d’enfants qu’on désirait. J’ai une idée, tu veux que j’annonce la nouvelle à Pierre ?
– Oh oui, ma sœur, tu vas le rendre heureux.
Ninah me prit par la main et nous entrâmes dans la chambre de Pierre. Il était toujours étendu, sommeillant encore. Il était nu, la chambre sentait encore l’odeur poivrée de sexe. Je vis immédiatement que son sexe s’était un peu ramolli. Cela me fit rire doucement en constatant que son ventre portait encore des traces de sperme séché. Ninah avait épuisé notre mari.
Nina fit tomber sa robe avant de se coucher à côté de lui et me fit signe de faire pareil. Je trouvais cela très amusant, surtout lorsqu’elle réveilla Pierre d’un doux baiser sur la joue.
– Bonjour Pierre, dit-elle, tu t’es endormi ? Mais je suis certaine que ce matin est un jour merveilleux et tu nous regarderas différemment à partir d’aujourd’hui.
– Ah oui ? dit-il. Je vois deux belles femmes qui veulent me séduire, que me faut-il de plus ?
– Nous t’apportons un cadeau très personnel. Tu vas être papa !
– Mais c’est fantastique. Merci Ninah d’être la messagère de ce bonheur. Dit-il en donnant un petit baiser.
Puis il se tourna vers moi, je vis ses yeux exprimer une grande tendresse. Il m’entoura de ces bras.
– Oui, Amina je suis très content que la nature nous fasse ce cadeau merveilleux. Oui, je te regarderai différemment à partir de ce matin. Il m’embrassa goulûment et puis se tourna vers Ninah. Ma gazelle, tu as une nouvelle responsabilité à partir de ce jour. Tu devras aimer encore plus fort ta chère sœur et l’aider pour que vous ayez une grossesse heureuse.
– Oui Pierre je te promets, tous les matins je lui administrerai une tisane pour qu’elle n’ait pas trop de problèmes et lorsque son ventre grossira, je la masserai pour son bien-être et celui du bébé. Fais-moi confiance, toi, tu pourras toujours nous aimer et je ferai en sorte que tu adoreras donner de la jouissance à ton épouse enceintée.
NDA : Nous sommes comblés, espérons qu’Amina aura une grossesse heureuse entourée de son mari et de sa sœur.
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