Les oiseaux Bavards

2 minutes de lecture

Elles ruminaient dans leurs têtes, sans trouver de réponses…

- Vous êtes bien courageuses pour être arrivées jusqu’ici , ou allez vous donc ?

Elles ouvrirent de grands yeux quand elles virent que deux grands oiseaux s’étaient arrêtés devant elles, et que c’était l’un deux qui avait parlé…

- Ne soyez pas surprises ! On a l’impression que c’est la première fois que vous voyez de grands oiseaux et que vous en entendez parler ! Haha !

- Bien, dit Ariane, c’est à dire que de là où nous venons il y a rien de magique tout est calme et…

- Monotones ! Finit Jeanne.

- Je comprends… Alors ou allez vous ?

- Nous allons sauver la princesse Ynialy, de la fameuse légende ! Répondit avec joie Jeanne.

- Vous avez bien plus de courage que l’ont ne pensait !

- Mais voyez vous, nous savons plus à l’heure actuelle comment nous y rendre… Fit remarquer Ariane.

- Montez sur nous ! Dit l’un des oiseaux. Il faut traverser toute cette étendue d’eau pour arriver chez le sorcier, nous pouvons vous en faire traverser une bonne partie ! Du moins jusqu’à la tortue voyageuse !

- La tortue quoi !? Demanda Jeanne.

- La tortue voyageuse, c’est une amie à nous, c’est une tortue qui voyage partout dans le monde et en ce moment elle voyage dans ces eaux. Elle aime beaucoup voyager avec d’autres personnes, elle acceptera sûrement de vous y conduire !

Les deux sœurs étaient si contentes et les remercièrent, chacune monta sur un des oiseaux.

- Je me nomme Ba et mon frère Vards ! Nous sommes les oiseaux Bavards !

Cela fit beaucoup rire les sœurs car effectivement les deux oiseaux étaient très bavards ! Ils leurs racontèrent tout les paysages et civilisations qu’ils avaient puent voir…

- Vous savez on a vu beaucoup d’aventuriers, mais vous êtes de loin les plus gentilles que nous avons rencontrés ! De plus d’être très courageuses car vous n’avez pas toujours eu la vie facile et là le fait de vouloir libérer la princesse, et de plus sans être intéressées par la récompense, vous êtes vraiment formidables !

Les deux sœurs profitèrent du voyages, Ariane et surtout Jeanne aimaient sentir le vent à toute allure ! Ces oiseaux pouvaient voler toute la nuit tandis qu’elles dormaient dans leurs douces plumes…

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Angelya ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0