Débandade
On est le samedi matin. Les deux semaines ont été difficiles, j’ai beaucoup fantasmé, dès le réveil, je suis tourmenté, j’espère que ce sera le grand jour, je me suis branlé ce matin, et même cet après-midi, la pression est tellement grande et surtout, j’espère que ce soir je ne m’épancherai dans mon pantalon.
Nous nous retrouvons sur le parking du stade. Ce soir elle est en robe fleurie qui se boutonne sur le devant et un pull sur ces épaules Il est 20h30, après un tendre baiser, Baba se frotte pour sentir mon érection naissante, je ne suis plus surpris et suis même content qu’elle le fasse. Nous avons prévu un cinéma, il est juste à côté. Ce soir c’est Nikita de Besson. Un film d’action qui nous a bien plus, nous sommes restés sage tout le temps, il faut dire que la salle est bien remplie. A la sortie du film, nous avons passé une belle soirée entre jeunes amoureux et suis déçu car celle-ci va se terminer sans rien de plus, j’espérais plus que ces quelques bisous. Baba me dit :
« J’ai dit à maman que je l’appellerai de la cabine lorsque ce sera l’heure, du moment que c’est avant minuit trente ».
On a 1h30 devant nous. Je suis surpris et ne sait pas trop quoi faire et elle de continuer :
« On était bien la dernière fois, il faudrait qu’on se trouve un endroit plus discret »
J’ai une idée :
« On peut aller pas loin, derrière la salle de sport, à cette heure-ci c’est sûr que personne ne passera »
Nous allons donc derrière la salle, et, arrivés sur place, l’endroit est très sombre et fort heureusement personne. Je la plaque contre le mur et l’embrasse de nouveau. Nous reprenons nos caresses, mes mains restent sur sa robe mais se promènent sur son dos, sur ces fesses, je passe ma main gauche sur le devant, je m’écarte un tout petit peu et caresse son ventre puis je remonte doucement vers sa poitrine. Elle me dit :
« On serait mieux dans la salle »
« Oui mais ça doit être fermé »
Sur ce, je me tourne vers une porte, j’essaie de l’ouvrir, bien évidemment elle est fermée mais étonnement elle a beaucoup de jeu. J’essaie de nouveau de manière plus forte, et là la porte cède sans rien abimer. Nous rentrons dedans, fermons la porte, puis nous cherchons un endroit où nous installer. L’éclairage de secours aidant, nous voyons les gros tapis de saut en hauteur, nous nous dirigeons vers ces tapis, nous nous allongeons sur le dos, l’un à côté de l’autre, main dans la main. Nous ne savons que faire, l’un comme l’autre, c’est la première fois que je suis allongé près d’une fille, pourtant il y a tellement d’envies dans ces deux corps.
Après deux trois minutes, Baba se tourne sur le côté, me regardant, je l’imite. On s’approche, on se cherche, on s’embrasse. On se rapproche encore. Nos mains commencent à se promener, on se serre, on roule d’un côté, de l’autre, tantôt moi sur elle, tantôt elle sur moi. Nous sommes très excités. Lorsque je suis sur elle, elle me serre, me caresse les fesses. Je me frotte fort, je bande comme jamais, elle respire intensément, moi également, puis on se retourne, elle sur moi.
Dans nos différentes étreintes, sa robe c’est relevée, je passe facilement mes mains sous celle-ci et je me rends compte que sa culotte est directement en contact avec mon jean et sa bandaison. Elle se frotte intensément et là, elle s’affale sur moi. Elle vient de jouir, et moi, n’y connaissant rien je m’inquiète et l’interroge ?
« Ça va mon amour ? »
Et elle en reprenant ses esprits, toute essoufflée :
« Oui, c’est tellement bon »
Je ne comprends pas pourquoi, mais je continue avec ses petites fesses. Elle reprend son frottage doucement, moi je les empoignes, j’ose passer sous le fin tissu. C’est la première fois que je touche des fesses. Baba glisse sur le côté et se met à me caresser, le torse d’abord, puis elle descend doucement vers la renflure de mon jean. Moi, ma main est arrivée sur sa hanche, et j’avance doucement vers son pubis, elle s’allonge sur le dos, écarte un peu les jambes et me permet d’avancer plus loin. Je découvre son minou, poilu mais pas trop, j’ai tellement envie de découvrir sa chatte que j’insinue un doigt rapidement.
Je découvre un endroit tout humide, elle me regarde droit dans les yeux, me tire et m’embrasse, je caresse cette fente trempée sans trop savoir, je n’ose trop rentrer, juste le bout du doigt, après plusieurs frottement, je sens des contractions et une respiration saccadé suivi d’un petit gémissement. Là je comprends que je l’ai fait jouir. Je continue mes caresses, j’enlève sa culotte et reprends mes attouchements. Je prends le temps de découvrir plus cette petite minettes, bien trempée. Et je découvre son petit bouton, j’étais passé à côté sans m’en occuper. Je suis surpris et me rend compte que chaque contact crée comme une décharge électrique agréable chez ma belle.
J’insiste, elle aime, elle me demande de ralentir un peu, puis me pousse sur le dos. Je me laisse faire, là elle reprend ses caresses et me déboutonne, elle passe sa main timidement à l’intérieur. Je vois qu’elle n’est pas plus douée que moi, mais elle ne s’arrête pas. Elle regarde ce qu’elle fait, elle baisse mon jean juste sous mes fesses, puis, elle ose timidement un contact par-dessus le boxer. Je suis tendu au maximum. Elle frotte sa main amoureusement sur mon vit, mon boxer est bien humide, tant l’excitation est intense. Puis, elle s’approche de moi, m’embrasse pour se donner du courage, sa main glisse sous le tissu et vient au contact de mon sexe. Je suis aux anges. C’est la première fois qu’une autre main me touche. C’est tellement bon, au fond de moi je me dis qu’heureusement que je me suis branlé cet après-midi sinon, elle aurait tout reçu dans les doigts.
Elle me prend complètement dans sa main et fait un petit va et vient. Elle quitte ma bouche et me dit :
« On le fait »
Je ne sais pas quoi répondre, je l’embrasse, on s’embrasse, On se tourne et je me retrouve au-dessus d’elle. Elle est prête, je pense que moi aussi. Elle n’a pas l’air très à l’aise, moi non plus.
Sauf que je ne suis pas très doué pour cette première. Je ne trouve pas le passage. Après plusieurs tentatives, je frotte mon gland devant son entrée, elle me regarde intensément, je commence juste à m’insinuer à l’intérieur. Et là, sans savoir pourquoi, est-ce dû au surplus d’excitation, le froid du tapis, l'appréhension de la première fois, toujours est-il que ma bandaison disparait, je suis désespéré et dégouté. J’insiste, mais je suis tout mou. Je ne peux répondre à ses attentes. J’ai honte. Elle le voit et m’embrasse, elle me dit qu’on a toute la vie pour le faire. On s’embrasse, on se rhabille. Elle me dit qu’elle doit appeler sa mère, on sort de cette maudite salle. On s’est embrassé. Avant de partir elle me dit :
« Samedi tu viens à la maison, mes parents veulent te connaitre »
« Je sais pas, c’est mon anniversaire et la veille on fait une soirée entre potes »
« J’aimerai bien que tu viennes, je t’ai préparé un cadeau »
« Ok, samedi vers 18h alors »
« Parfait mon amour »
On se quitte en s’embrassant une dernière fois, rassuré qu’elle veuille toujours me voir malgré ce fiasco.
Dans la semaine, je suis allé la voir, un copain m’a prêté sa vieille 40 Motobécane. Elle n’est pas bien valeureuse mais pour faire les 6km, ça va aller. On se retrouve au square prêt de son travail. On s’embrasse directement, tendrement, elle me serre fort contre elle. Je suis intimidé et je lui demande :
« Tu ne m’en veux pas pour samedi dernier ? »
« Non, ce n’est pas grave »
« Sauf que pour une première fois tu devais rêver mieux »
« On s’aime, non ? »
« Oui mais »
Elle ne me laisse pas finir
« Je t’aime, tu m’aimes, le reste on s’en fiche, et puis la salle de sport, ce n’est pas si romantique »
Je lui souris, je me pose peut être trop de question, on s’embrasse tendrement encore et encore.
Elle doit me quitter pour reprendre le travail, du coup je chevauche mon fier destrier et retourne chez moi.
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