L’invitation des beaux parents
Le samedi suivant, je me lève vers 15h complètement enfariné, on a bien abusé hier avec les amis, on fêtait les 18 ans d’un copain. Je prends un petit déjeuner, mes parents sont cools, ils ne me font aucune remarque, après ils me font confiance, je n’ai jamais créé le moindre souci, et je les préviens toujours à l’avance de mon heure de retour lors des différentes sorties. Après ce petit déjeuner, je préviens mes parents que je sors, ils me demandent où car je fais rarement deux sorties par week-end, j’ai éludé la question, je suis allé à la salle de bain. En sortant ma mère me dit ;
« Toi tu vas voir une fille ce soir »
« Euh… Pourquoi tu dis ça ? »
« Vu le temps que tu as mis à te préparer ! » en riant
Elle me connait par cœur, et je lui dis que ce soir je ne sais pas si je rentre. Elle m’embrasse et me souhaite une bonne soirée.
J’arrive chez Baba vers 17h45, je suis intimidé je vais rencontrer ses parents. Je toc, Baba m’ouvre la porte, m’embrasse fougueusement en me serrant par le cou. Elle porte un jean classique et teeshirt blanc. Elle me dit de rentrer et me présente son père, Marcel, un grand brun moustachu à l’air sévère, puis sa mère Marie Claire, à peu près la même que Baba en plus vieille. On s’installe dans le salon, Baba sert un verre à tout le monde. Ses parents sont gentils, plutôt cool et on passe un bon moment. Ils avaient même prévu un petit gâteau, leur fille leur ayant dit qu’elle était très amoureuse, ils voulaient me faire bonne impression, et c’est plutôt réussi. Après une bonne heure, Baba dit que l’on va dans sa chambre écouter de la musique en attendant le dîner (visiblement il était prévu que je reste avec eux ce soir). Elle me tire par le bras, on arrive dans une chambre encombrée, en effet, elle doit partager sa chambre avec sa sœur de deux ans son aînée et la pièce étant petite, les deux lits plus les deux bureaux font que peu de places reste pour se tourner.
Elle m’invite à m’assoir sur son lit, je le fais, elle met de la musique sur sa mini chaîne et me rejoint, elle me dit ;
« Enfin que tous les deux «
« ca va tes parents sont cool »
Elle se tourne et se met à califourchon sur moi et me répond ;
« Tu as raison, mais pour faire ça on est mieux là »
Elle m’embrasse directement, et bien évidement, son rapproché me provoque une érection, mais je l’interroge ;
« Ta sœur ne va pas rentrer ? »
« Non t’inquiète, elle est avec son amoureux, si elle rentre ce ne sera pas avant 2h du matin »
Sa réponse me rassure et je réponds à son baiser, mes mains courent sur son dos. Elle me pousse un peu et je me retrouve allongé sur son lit. Baba est sur moi, elle se frotte contre ma bite. Mes mains sont passées sous son tee-shirt, je la caresse sur tout son dos. Je m’accroche à l’attache du soutien gorges et j’arrive à le défaire. Baba ne dit rien, son dos maintenant est complètement libre et je peux la caresser complètement.
Elle se redresse un peu, je la voit retirer son soutif, et je découvre pour la première fois ses tétons érigés, tentant de traverser la toile du tee-shirt. Je ne peux les quitter du regard, elle semble gênée car elle recouvre sa poitrine. Je lui prends ses mains et les retire, elle rougit un peu mais reste dans la même position, une de mes mains passe sous son teeshirt et remonte doucement sur ses hanches, ses côtes, je ne la quitte plus du regard, elle n’est pas à l’aise et ne bouge plus. Je pose ma main sur son petit sein, sans bouger, c’est la première fois pour moi, c’est bon, elle ferme les yeux, mon pouce frotte lentement son téton, elle souffle un peu, je le pince doucement, elle gémit un peu. Puis mon autre main va rejoindre son deuxième sein pour travailler en symbiose. Elle semble adorer. Elle a repris son frottage. Elle me dit d’une voix quasi inaudible
« Continue, c’est tellement bon »
Étant encouragé, je continue, je titille, je pince, je caresse à qui mieux mieux ses deux petits seins. Elle réagit, gémit, se frotte d’une manière plus brutale. Elle respire fort et s’arrête d’un coup, s’écroulant sur moi, me serrant fort, me disant qu’elle m’aime. Elle est complètement essoufflée. Elle vient de jouir.
Après avoir retrouvé ses esprits elle me dit ;
« Normalement tu es mon invité, c’est à moi de te donner du plaisir ! »
« Ce n’est pas grave mon amour, tu es tellement belle quand tu es comme ça ! »
« Il faut qu’on y aille, le repas est certainement prêt, et toi tu te reposes» dit-elle en faisant un bisou sur mon jean déformé par le plaisir.
Baba se rhabille correctement, se recoiffe un peu, moi, mon érection s’est calmée, on peut rejoindre la salle à manger.
Le diner se passa tranquillement, sa mère m’apprit que sa fille lui avait parlé de moi dès le premier soir lui affirmant que j’étais le bon. Je ne sais pas comment m’a présenté mon amoureuse mais ses parents sont tombés sous mon charme. Ce qui fait que tout naturellement Marie Claire me dit que je suis le bienvenue pour dormir à la maison. Je ne suis pas trop à l’aise avec cette idée. Évidemment mon rêve ultime est de faire l’amour à Baba, mais l’idée que ce soit dans la chambre à côté de ses parents.
Après le dîner, nous regardons un film tous les quatre dans le salon. Une vieille redif avec Terence Hill et Bud Spencer, c’est con mais c’est drôle. A la fin de celui-ci, ses parents vont se coucher, il est 22h30, on peut enfin se rapprocher. Je me colle à Baba, je l’embrasse, elle s’allonge sur le canapé, je me mets sur elle, mes mains se faufilent sous son tee-shirt pour retrouver ses deux nouveaux amis. Baba dégrafe d’elle-même son soutien. Je commence à relever son tee-shirt, au moment où je vais enfin découvrir cette poitrine, elle me dit :
« Non, pas là, on va dans ma chambre »
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