Notre première nuit ensemble
Sitôt dit, sitôt fait, elle éteint la télé, se lève, me tire par le bras direction sa chambre. En passant, j’entends deux ronflements différents, Baba me dit en chuchotant et me faisant un clin d’œil :
« Bonne nouvelle, les parents dorment.»
On s’engouffre dans sa chambre, elle me pousse sur son lit, j’allume sa lampe de chevet, elle retire son soutien gorges défait, éteint la lumière centrale et me rejoint en me disant :
« Bon anniversaire mon amour, cela fait un mois que nous sommes ensembles, je suis à toi pour toute la nuit ! »
« C’est ça mon cadeau, tu avais tout prévu ? »
« Oui, J’en ai parlé avec Maman avant et elle m’a dit que si j’étais vraiment amoureuse c’était ok, j’ai été très convaincante »
Sur ces derniers mots, on reprend là où on en était avant le dîner, mes mains prennent possession de sa poitrine, elle reprend son frottage, je la caresse, elle est allongée sur moi. Je la redresse, puis je soulève son tee-shirt. Elle m’aide un peu à le retirer, elle se baisse légèrement, intimidée, je m’assoie et l’embrasse, son torse contre le mien.
Elle décide d’enlever mon polo, je l’aide pour aller plus vite.
On se serre l’un contre l’autre. C’est la première fois pour nous deux que nous sommes en contact d’un corps nu. Je l’embrasse sur l’épaule, puis je l’écarte un peu, ma bouche descend très lentement pour arriver sur sa poitrine.
Je prends son téton en bouche, je le tète, je le mordille, je l’aspire, je le suce. Je malaxe en même temps son autre sein. Ma main libre essaie de passer dans son jean pour caresser ses fesses. C’est trop serré, je passe devant, défait le ceinturon, le bouton, je baisse un peu sa fermeture. J’ai maintenant beaucoup plus de latitude pour caresser ses fesses. Je lâche son sein pour passer mes deux mains à l’intérieur du jean, allant directement sous le fin tissu de sa culotte et je lui caresse les fesses. Elle me pousse sur le lit, je suis allongé, mes mains dans son jean à lui pétrir son petit cul.
Je la soulève un peu pour que ma bouche puisse prendre ses seins dans ma bouche, chacun leur tour.
Je m’amuse avec ses tétons.
Elle aime vraiment. La position aidant, je peux aller plus loin avec mes mains.
La chaleur m’attire, Je tente d’enfoncer plus profondément ma main dans sa culotte, je trouve sa petite chatte brulante, trempée de plaisir, je le caresse d’un doigt, puis de deux, j’insinue une phalange dans son minou complètement inondée, la position fait qu’un doigt se présente devant son petit trou, je n’ose pas aller plus loin de ce côté, mais devant je m’autorise tout, je tente de rentrer plus profondément, je suis hésitant, je suis un apprenti. Mon doigt butte sur un obstacle, son hymen, pas grave, j’en mets un deuxième qui reste comme l’autre à l’entrée mais mon traitement la comble.
A un moment elle me dit :
« Arrête, tu me rends dingue »
Elle m’embrasse, se relève et se met sur mon côté.
Elle me caresse, elle pose sa main sur mon sexe bien bandé. Elle le caresse par-dessus mes vêtements tout en me regardant, elle semble intimidée par ce qu’elle fait, surtout, elle sait qu’on ne va pas s'arrêter là.
Elle m’embrasse et me défait mon pantalon, elle me dézippe, me le descend le plus bas qu’elle peut tout en m’embrassant. Mon jean et mon boxer sont coincés à mes genoux. Puis sa main se pose sur mon sexe. Elle reste immobile dessus, puis elle frotte sa main doucement contre, elle passe les doigts autours, pour bien la prendre puis commence un lent va et vient. Je suis au comble du bonheur, elle passe son pouce sur mon méat, il est trempé de plaisir. Elle accélère son va et vient, je lui demande de ralentir sinon je vais venir, là, elle me lâche la bitte, puis enlève son jean et sa culotte, je fais de même. Nous nous retrouvons tout nu, l’un contre l’autre, mon sexe bien bandé contre son ventre, elle me demande de venir sur elle, elle écarte les jambes, me regarde dans les yeux, nous ne disons rien. Je dirige mon gland vers sa petite chatte trempée, je suis à l’entrée, on s’embrasse tendrement et je force mon passage. Je rentre entièrement dans cet étui chaud et humide. Elle pousse un petit gémissement de gêne, plus que de douleur. Je ne bouge plus. On s’embrasse toujours, nous venons de passer d’ados à adultes ensemble. A ce moment, elle enserre mes hanches de ses jambes, je suis bien au fond et je commence un lent va et vient. Petit à petit, Baba prend du plaisir, moi, je lutte pour ne pas jouir trop vite. J’accélère le rythme, elle halète, respire de plus en plus fort. J’insiste, elle me pince les bras et se relâche d’un coup, des spasmes comprime mon engin, sa jouissance entraîne la mienne et je me libère au fond de son ventre. Elle pleure de plaisir, de soulagement, je lui caresse le visage, l’embrasse, on reste l’un dans l’autre, on se recouvre d’une couette puis nous nous endormons bien calés.
Le lendemain matin, j’ai une belle gaule. Pourtant j’ai passé une nuit moyenne. Je me suis réveillé plusieurs fois, Karine, sa sœur est rentrée vers 2h pas très discrètement, puis surtout, les derniers évènements sont passés en boucle dans ma tête. Ça y est, je suis dépucelé. Baba s’est tournée dans la nuit et ce matin elle me tourne le dos je suis dur contre ses fesses. Je prends un sein dans les mains et le caresse. Elle semble se réveiller car elle fait un petit mouvement des fesses pour se frotter contre mon pieu. Elle se tourne, me dit bonjour et m’embrasse. Je vais sur elle, j’ai envie de son corps.
« Non mon amour, Karine est rentrée, elle peut nous voir » en chuchotant
Je me glisse à côté, la caresse, ma main descend sur son ventre puis son pubis, elle a les jambes un peu écartées. J’en profite. Sa chatte est trempée, certainement les restes d' hier soir. Elle ne dit rien, je continue, elle m’embrasse, me prend dans sa main et me branle. Nos deux masturbations sont efficaces car nous jouissons rapidement tous les deux, mon sperme s’écoulant dans sa main et sur sa hanche, son vagin me serrant mon doigt par vagues successives. Baba prend son tee-shirt, elle s’essuie avec et remet seulement sa culotte, j’enfile mon boxer sous la couette, puis nous nous levons discrètement pour ne pas réveiller Karine. Nous filons à la salle de bain. Baba se déshabille, moi aussi, c’est la première fois que nous nous voyons entièrement nu. Nous rentrons sous la douche. Nous nous embrassons plus que nous nous lavons. Elle est vraiment belle, ses petits seins, ses hanches, son ventre, ses fesses, son regard amoureux. Je suis complètement sous son charme. Je commence à bander de nouveau. Mais nous n’avons pas le temps.
Après cette douche sensuelle, nous sommes allés prendre un bon petit déjeuner ;
Je suis reparti ensuite, puis, faisant désormais partie de la famille, je suis revenu pendant plus de vingt ans dans cette maison qui fut celle de mes beaux-parents.
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