Baba n’est pas si timide
Au début juillet 1990, mon frère Denis est de retour pour deux trois jours dans le secteur, il bosse en saison en Vendée, et, il a des heures à récupérer, du coup, il en profite pour passer du temps avec Céline, son amoureuse. Céline, c’est la meilleure copine de Baba, elle sort avec Denis depuis plus deux ans déjà. Céline est une belle fille, 1m70, cheveux long, brune, plutôt fine, et je dirai un 85C. Je l’aime bien, elle est sympa, mais je n’ai aucune vue sur elle. Je la soupçonne de m’avoir bien vendue auprès de Baba.
Bref, ce jour-là, mon frère et Céline nous proposent d’aller faire une balade, il y a un parc, au bord d’un petit cours d’eau à cinq kilomètres de chez nous, et à un kilomètre de chez Baba, et en ce début d’été il n'y a pas grand monde. Nous sommes OK. Nous y allons dans la petite Alfa Roméo de mon frère, un coupé Sprint pour les connaisseurs. Pour Baba c’est pas simple de monter à l’arrière, avec sa jupe courte, il faut se contorsionner, elle me dévoile sa petite culotte sans pudeur, mon frère, pas loin la voit également, elle s’en rend compte et rougit, je lui fait une petite tape sur les fesses pour la pousser et m’engouffre ensuite également. Mon frère rabat son siège et peut s’installer pour prendre la route, installé à côté de son amoureuse.
C’est exigu et le peu de place à l’arrière de ce coupé nous oblige à avoir les genoux assez haut, l’assise n’étant guère plus haute que nos pieds. L’avantage c’est que la jupe de Baba ne peut couvrir ce pour quoi elle est prévue et je passe une main discrètement à l’intérieur de ses cuisses. On ne peut être vu, sauf si quelqu’un se retourne, mais c’est plutôt improbable, Denis conduit et Céline lui tient la conversation. Je suis surpris de voir que Baba apprécie et me laisse faire. Je m’approche de sa culotte, elle me sourit, je me penche pour l’embrasser, je pose ma main sur sa petite minette, elle répond à mon baiser. Sa culotte commence déjà à s’humidifier. Je glisse un doigt sous l’élastique pour rentrer en contact avec sa petite chatte. elle m’embrasse encore plus fort. Je rentre à l'intérieur, j’agite mes doigts en elle, sa main se crispe sur mon bras, elle est au bord de la jouissance, là, dans la voiture, avec mon frère et sa copine juste à côté. On arrive, mon frère fait une marche arrière pour se ranger, en se tournant pour regarder derrière pour sa manœuvre, il voit ma main, entre les cuisses de ma belle, je ne bouge plus, honteux, il me sourit. Il se range, heureusement Baba n’a pas remarqué que mon frère a vu notre petit manège.
Une fois arrêtés, je sors, derrière mon frère, Baba, elle, sort du côté de Céline, dommage pour Denis.
Nous commençons notre balade, les filles sont ensemble, à parler, on n’entends pas leur conversation, mon frère me dit :
“Vous êtes mignons tous les deux”
“Merci”
“Vous avez l’air de bien vous amuser”
“oui, comme toi j’imagine”
“oui,bien sur, par contre j’ai jamais mis la main dans la culotte de ma copine à côté de mon frère, moi !”
“Désolé grand frère, je pensais pas que tu allais tourné la tête”
“C’est rien, je te taquine, tu as raison d’en profiter. En plus elle à l’air sympa.”
Oui, on s’amuse, tu sais après les vacances c’est la rentrée donc ça va être compliqué de se voir autant.”
“Tu as bien raison, et c’est cool, les filles s’entendent super bien”
Sur ses mots les filles s’arrête devant nous et Céline nous interpelle,
“on marche depuis une bonne demi-heure, on pourrait se prévoir un petit apéro au bord de l’eau, vous en pensez quoi les gars”
“c’est une super idée” lui répondis je et Denis continue
“Parfait, on file au supermarché chercher ce qu’il faut !”
Et là, Baba nous répond :
“Allez-y tous les deux en amoureux, vous vous voyez pas souvent, vous avez certainement plein de choses à vous dire”
“ça marche” reprend Céline
“Et prenez votre temps” répond Baba en faisant un clin d’oeil à Céline.
Sur ces derniers mots, les amoureux nous ont abandonné, je m’approche de Baba et lui demande pourquoi ce clin d'œil ?
“c’est rien, Céline m’a juste dit que Denis lui manquait et elle voulait passer un peu de temps avec lui, là, maintenant “
“Maintenant, surprenant, vous avez parlé de quoi avant pour qu’elle ait envie ?”
“Je lui ai dit ce que tu m’as fait dans la voiture”
“Sérieux”
En disant cela, je la pousse contre un arbre et je l’embrasse, elle me met les mains autour du cou et se frotte à moi, je vois que son excitation n’est pas complètement redescendue.
C’est dommage, je ne peux rien faire, là, il y a toujours un peu de monde à passer.
Baba me prend la main et me dit :
“Viens, suis moi !”
Sur ce site, la promenade se fait le long du cours d’eau, entre champs et rivière, et l’herbe pour le foin n’a pas été coupée, et cette année, elle est particulièrement haute. Je la suis, dans ces grandes herbes, je ne sais pas trop où elle veut aller, et, à 5 mètres du chemin, elle regarde autour de nous, il n’y a personne, elle s’assoit par terre et me demande de faire pareille. Ou nous sommes, on est complètement invisible, sauf si quelqu’un sort du sentier.
Baba se colle immédiatement à moi, me roule une pelle d’enfer, elle est chaude, je m’allonge par terre, elle est à genoux à côté de moi, elle pose sa main sur ma bitte, déjà bien tendue, moi je glisse ma main dans sa culotte, elle est trempée, je la titille, elle me défait le short pour me caresser, elle se met à califourchon sur moi, mais ça va trop vite, je veux faire durer un peu, je la retourne, me retrouve sur elle, et plutôt que de la prendre, ce qu’elle espere, je descends. On est encore habillée, seul sa jupe est complètement remontée et mon short ouvert, j’embrasse sa poitrine par dessus son chemisier, elle me dit ;
“Viens, j’ai envie”
“Attends, fais moi confiance”
Je dis cela mais je m’aventure dans un domaine que je ne maitrise pas du tout, je descend timidement en embrassant son corps, j’arrive sur son pubis, je l’embrasse par dessus la culotte, je passe les mains sur ses hanches, attrape l’élastique et descend son slip, vraiment souillée tellement elle mouille, je lui enlève, me remets en position, c’est la première fois que je me retrouve aussi prêt de sa minette. Les poils coupés courts la cachent en partie, mais elle est tellement ouverte que je n’ai aucun mal à découvrir cette nouvelle partie de son corps. Ma langue se pose d’instinct sur son petit bouton, Babeth a un petit sursaut de surprise, pour elle aussi c’est une première. Je ne sais pas trop y faire mais elle apprécie mon traitement, je le chatouille du bout de la langue, je le mordille, je l’aspire, je passe ma langue sur les lèvres puis reviens sur son clito, elle se crispe, respire fort, se relâche d’un coup. Elle vient de jouir, mais reste discrète, car de temps en temps il y a du passage sur le sentier.
Si ces gens savaient ce qui se passait juste à côté. Je continue cette toute nouvelle torture pour mon amoureuse, je descends plus bas pour m’emparer de sa minette, Son gout est tellement agréable, En même temps que ma langue fouille à l’intérieur, je rentre mon doigt, Baba se tortille, elle a de la peine à contenir son plaisir, je rentre un deuxième doigt et j’accèlère mon va et vient, ma langue alternant entre le clito et les lèvres. Elle s’agite de plus en plus, me plaque ma tête sur sa moule baveuse, me l’écrase même tout en poussant un petit râle animal contenu, heureusement personne ne passe. Ce dernier acte l’a bien chamboulée. Je remonte, je l’embrasse, elle semble comblée. On reste 5 minutes comme ça, nous savourons notre bonheur, puis un appel assez loin nous sort de notre torpeur
“Babeth, Pierre, vous êtes où ?
Je referme mon short, me lève et je vois Denis et Céline, à une trentaine de mètres, avec un sac de provision à la main avançant vers nous. Baba remet sa culotte, essaie de remettre ses cheveux correctement, puis se lève également et leur répond sans perdre le nord ;
“On a préparé un petit endroit dans l'herbe pour se poser, on sera mieux que sur le sentier !”
Ils nous rejoignent, je vois Cécile qui fait un clin d'oeil discret à Baba, elle à compris que nous n’avons pas fait que préparer l’emplacement du pique nique
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