Chapitre 2 Jeux de plage (2 )
NDA : voici la deuxième partie de Jeux de plage. Ceci est bien entendu le plus pur fruit de mon imagination ; je ne crois pas que dans la réalité ceci ne soit pensable quoique possible !
La tension de mon membre est à son maximum, il faut que je fasse quelque chose...
Ma verge se gonflait à la vue de la femme qui se caressait et de ma compagne qui se frottait intensivement sur mon pied. J’avais enlevé mon short depuis un bon moment et j’étais donc qu’en maillot. Que faire ?
Mon maillot n’était pas très large, il était conçu pour permettre un bronzage intensif et dégageait entièrement mes cuisses et le triangle couvrant mon bas-ventre était minimal.
Mon pieu commençait à remplir tout l’espace ; ayant peur qu’il ne déborde je plaçais ma main sur mon entrejambe et j’exerçais une légère pression qui ne fit que m’exciter plus fort.
Je saisis donc mon drap de plage, le jetant négligemment sur mon épaule de telle façon qu’une partie couvrait mon bas-ventre. Je dégageais mon pied au grand dam de ma femme qui émit un grognement de déception et me fusillait du regard. Debout, je pris la décision de marcher en direction de la mer muni de mes lunettes solaires. Cela me donnait l’avantage que les verres sombres empêchaient quiconque de voir où je portais mon regard.
La plage était très large et pour atteindre le bord de l’eau je devais parcourir plus de 700 mètres. Je passais donc d’innombrables rangées de parasols qui étaient tous occupés.
La plage ayant un règlement vestimentaire assez libre, la grande majorité des femmes avaient les seins nus et beaucoup de jeunes montraient amplement leurs fesses dégagées de leur string minimalistes. Je fis donc une balade assez divertissante et la vue des femmes étendues ne me calmait pas du tout.
Je suis de taille moyenne sans trop de gras et faisant quand même un peu de fitness je devais avoir un look pas trop débile et les femmes de tout âge, couchées se relevaient un peu à mon passage pour m’examiner en détail. Ce mouvement de quitter l’horizontalité avait l’avantage de redresser les seins, qui lorsqu’elles sont couchées sur le dos offrent une vue beaucoup moins esthétique et ne permettent pas de juger leur fraîcheur.
Au bord de la mer bleue, je laissais tremper mes pieds dans l’eau fraîche tout en regardant vers le large. Cette balade eut un effet apaisant sur mon esprit et mon corps…Comme il y avait très peu de baigneurs la tension de mon esprit se calma et je pus avec sérénité penser à revenir à notre parasol.
De loin je pouvais voir que ni ma femme ni notre « voisine » de plage n’avaient bougé en apparence. La voisine avait toujours le dos tourné vers la mer mais ma femme ne dormait pas et semblait fixer un point devant elle. Sur quoi avait-elle ce regard si fixe ?
Elle avait le visage tendu, les yeux grands ouverts, la bouche crispée comme si elle était sur le point de jouir. Au fur et à mesure de mon approche je comprenais que la détente grâce à ma balade vers le bord de mer se dissipait et que mes pulsions de désir inassouvi depuis ce matin revenaient au pas de charge.
Cela ne pouvait pas continuer ainsi ! Déjà en temps normal, il ne fallait pas grand-chose pour que ma femme, par un regard ou un geste, ne provoque des frissons dans mon corps et me pousse à la basculer sur le lit, ou sous la douche, mais ici maintenant l’érotisme de la situation provoquait un feu intérieur que je n’avais plus senti depuis de lunes.
Bon, d’accord, je devais admettre que ces derniers mois par mon travail, je n’avais pas eu souvent de contacts physiques avec ma femme et j’espérais que ces vacances nous permettraient de retrouver l’intensité de notre amour des premiers temps de notre relation mais la tournure que prenait la situation présente me laissait perplexe.
Était-ce la nudité de ma femme ou la provocation de notre voisine de parasol, mais je ne voyais pas très bien comment tenir encore longtemps en restant à la plage. Arrivé à proximité je suggérais à voix basse à ma compagne qu’il serait peut-être temps de remonter dans la chambre. Mais les yeux mi-clos elle me répondit d’une voix rogue qu’elle voulait encore profiter du soleil et me suggérait de lui remettre une couche de lotion solaire et de me ré-enduire également.
Sans hésitation je me mis à l’ouvrage et j’appliquais une bonne couche de protection solaire sur son dos, ses bras et ses jambes. Le contact avec sa peau et le léger massage de son corps provoquait une complicité sensuelle et elle me remerciait d’un regard et d’un sourire sous-entendu pour le bien-être qu’elle ressentait du passage de mes mains sur son corps. Mes mains massaient avec application en passant avec insistance sur ses bras près de la jonction avec torse et sur le haut de ses jambes et de ses fesses.
Après ce massage je retournais sur mon siège pour m’enduire également de crème et durant ce temps je constatais une attention accrue de notre voisine et je me demandais si elle n’allait pas me demander de lui remettre une couche de crème solaire… je ne sais pas si j’aurais pu résister à sa demande et j’aurais apprécié de passer mes mains sur ses courbes.
Cette pensée salace n’arrangeait pas ma situation et mon maillot me serrait à nouveau et cela devenait douloureux.
Soudain la femme qui n’avait pas interrompu sa masturbation durant toute l’opération de massage se leva et se dirigeait droit vers notre parasol, se couchait à côté de ma campagne et reprit sa masturbation sans dire un mot.
Ma compagne déjà fort excitée se tournait un peu vers elle pour caresser ses seins, la tension devenait trop forte pour moi et mon pénis sortait littéralement de mon maillot. Je fus donc forcé reprendre mon drap de bain pour cacher mon érection, de prendre mon membre tendu en main et je commençais discrètement le mouvement de vas et vient pour me soulager. La vue des caresses sur ma verge et les caresses et léchouilles de ma compagne sur ses seins déclencha l’orgasme de l’inconnue qui fut violent.
Son corps fut parcouru de grands frissons et on sentait qu’elle étouffait ses râles de jouissance. Après que son corps se fut un peu calmé, elle se redressa à genoux devant moi, écarta mes mains de ma verge et la prit en bouche. Ma compagne ne voulait pas rester inactive et se mit également à genoux devant moi, mis une main dans son slip pour se caresser et de l’autre main écartait un peu le string et touchait l’anus de la femme qui me suçait.
Le doigt enfoncé dans son con lui procura de nouveaux frissons qui rendaient ses caresses buccales encore plus intenses, je ne pus plus me retenir et j’éjaculais dans sa bouche et sur sa figure. Ma compagne se précipitait pour avoir sa part de sperme et fit un baiser profond avec la suceuse puis se recoucha sur le dos pour se laisser lécher la chatte par la vicieuse qui lui donna un orgasme rarement atteint.
L’entourage sur la plage n’avait rien perdu du spectacle et certains se laissaient aller a une masturbation en solo ou se caressaient en couple voire se copulaient sans retenue.
Tous calmés, on fit connaissance et on échangea nos coordonnées et nos numéros de chambre, on se promettait de se revoir avant la fin de notre séjour.
Le soir dans la salle de bains ces souvenirs de l’épisode sur la plage m’excitèrent à ce point que j’éjaculais d’une bordée de sperme et je m’assoupis rapidement.
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