Chapitre 27

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Ils se sont endormis enlacés au plus près l'un de l'autre. Une présence réconfortante avec toutes les tensions de la veille. Serena est détendue, elle a beaucoup apprécié la connexion que Jonathan a établi avec elle et la façon dont il s'est occupé de sa vulve. Il l'a fait avec une extrême douceur et un regard bienveillant, il n'a pas pensé une seule seconde à son propre plaisir à lui. Elle se demande s'il en a ressenti en lui offrant un tel massage ? Ensommeillée, elle sourit en revoyant la bosse qui avait déformé le short du jeune homme un peu plus tôt dans la soirée et à présent cette érection, elle la sent bien dure contre son fessier. Une proximité qui commence à exciter la jolie femme qui est allongée aux côtés de Jonathan.

Lentement, elle se retourne pour venir s'allonger sur le côté face de son chéri. Il pose ses mains à plat sur les fesses bombées de Serena et répond au baiser passionné qu'elle prend plaisir à lui offrir. Elles malaxent avec délicatesse le fessier de la jeune femme et Jonathan vient lui dévorer le cou de baisers humides et des petits coups de langue.

  • Bonjour jolie demoiselle, bien dormi ? lui demande-t-il avec intérêt.
  • Hello mon amour, dans tes bras je ne peux que bien dormir, répond Serena.

Serena sent son corps s'embraser sous la chaleur que dégage la peau de son homme, le contact du torse de Jonathan contre sa petite poitrine ronde est en train de la troubler. Elle repense à la veillée qu'ils ont passée tous les deux, à ses mains qui sont venues la caresser, à ses doigts qui sont venus rouler ses tétons. Ses cheveux effleurent le flanc de Jonathan lorsqu'elle s'allonge cette fois de l'autre côté du lit. Une caresse qui procure de délicieux frissons et elle ne s'est pas privée de lécher le torse de celui-ci avec une certaine avidité. Les mamelons du bel homme durcissent, tout comme ses poils qui viennent se dresser sur tout son corps, cette fille lui fait tourner la tête et elle semble bien vouloir lui rendre le plaisir qu'il lui a donné la veille.

Celui qui a fait trembler tout son être. Jonathan a les lèvres de Serena suspendue aux siennes, captives de chaque baiser, de chaque sensation qu'elle renvoie en écho. Les halètements remplissent la pièce, entre le couple le désir est bien palpable. La main fine et délicate part à la découverte du corps de rêves de son partenaire, paresse allègrement jusqu'au V du pubis lisse sur lequel elle pianote une douce mélodie entêtante. Jonathan s'est un peu tendu lorsqu'elle a passé sa main sous ses vêtements mais très vite la chaleur de sa paume le détend. Serena tourne autour de son attribut, en effleure les côtés sans même le toucher, les sens de Jonathan s'éveillent et la sensation que lui procurent les caresses de Serena reste imprimée sur sa peau le rendant impatient. Il lui bécote le front avant de reporter ses yeux sur le dessus de la couette qui commence à remuer, cette vision le chauffe beaucoup. La belle se montre pleine d'audace, de la pulpe de ses doigts elle masse les jumelles plutôt rondes et pleines. Il pousse un petit soupir et tout son bas ventre se contacte lorsqu'elle passe sa main sur la longueur de son attribut pour faire plus ample connaissance. De simples petits passages sans mouvement masturbatoire, juste des caresses, des petites flatteries du plat de la main.

Jonathan retient son souffle, Serena est audacieuse pour son plus grand plaisir. Un souffle chaud, l'humidité se dépose sur chaque centimètre de sa peau lorsqu'elle le prend en bouche avec beaucoup de délicatesse et de passages de lèvres tout aussi sensuels les uns que les autres. Sa main libre refait son apparition en dehors de la couette, au niveau du torse de Jonathan qui se soulève au rythme de ses halètements. Divine est cette langue qui savoure son esquimau, les fourmillements viennent l'entêter jusqu'à son extrémité irriguée, les soubresauts l'agitent par saccades. Lorsqu'il soulève la couette pour la voir œuvrer, il rejette la tête en arrière en serrant les dents avant de recouvrir la très belle femme avec qui il partage son lit. De multiples sensations submergent Jonathan, elle sait le faire voyager. Il entend ses succions combler le silence de la pièce, il ressent sa main qui s'active à la base de son attribut. Qu'elle est douce cette sublime poitrine lorsqu'elle frôle sa cuisse velue, tout le corps de Serena s'offre à lui et il sent son corps être de plus en plus demandeur. Entre ses lèvres s'échappe un râle rauque, sa chérie joue de sa langue en passant et repassant sciemment là où elle le sent réagir le plus, juste tout autour de sa couronne et de son frein.

Le cœur de Jonathan chante une sérénade contre la paume de la jeune femme, sa sève circule vers la sortie mais il est hors de question de l'arrêter là, c'est bien trop bon ce qu'elle fait sous la couette. Jonathan ferme alors les yeux, le souffle court, il devient très humide jusqu'à avoir un long filet relier son extrémité à son bas ventre. Serena lui fait de l'effet, il la désire de plus en plus qu'une envie de lui sauter dessus se fait ressentir.

Elle reconnait tous ces signaux, il devine un large sourire se dessiner sur ses lèvres et sans crier gare, Serena vient le capturer avec une grande sensualité dans le fond de sa gorge en imprimant des va-et-vient lents mais terriblement envoûtants. Jonathan se raidit, il tente de balayer ses visions, ses fantasmes et ses sensations mais en vain. Elle l'a poussé beaucoup trop loin, en à peine quelques minutes la limite du non-retour est franchie, les tremblements surviennent jusqu'à la contraction de son gland qui explose contre le palais de la jolie fille. Pas de gâchis, elle le savoure jusqu'à la dernière goutte pour partager le plaisir de Jonathan.

Serena glisse dans un corps à corps avec son chéri pour remonter à la surface de la couverture, ses cheveux chatouillent le nez de son homme qui est partit très loin. Le visage de Jonathan est hébété, rêveur de ce merveilleux moment de complicité. Il la câline dans ses bras, détendu, sa main frôle le dos nu de la jolie femme qui se met à frissonner alors que son mont de Vénus perle abondamment de désir.

  • Je t'aime, finit-il par dire. Tu es incroyable. Viens t'installer au-dessus de moi, j'ai envie de te voir... Mets toi tête en bas que je m'occupe de toi.
  • Je t'aime aussi mon Jonathan, murmure-t-elle. Je m'impatiente, je te désire !

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