Douce Provence, terre de mes ancêtres

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Douce Provence aux odeurs de lavande,

Qu’on ne trouvera jamais dans les landes,

Cigales éparses grisonnant toute la nuit,

Qu’on trouve à Oppedette ou à Peyruis,

À Manosque, Quinson, Tartonne ou Volonne.

Ces belles soirée chaudes toujours m’étonnent,

Quand elle nous parlait d’eux à Sisteron,

Nos ancêtres dont encore nous parlerons,

Avec elle et lui aussi maintenant,

Ils resteront toujours dans nos mémoires,

Eux qui toujours nous ont lu les histoires.

Douce Provence terre de mes ancêtres,

Je t’aimerais toujours, oui de tout mon être,

Pour toi ma douce grand-mère maintenant au ciel.

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