Sonnet I (Mon premier vrai poème)

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Au travers du voile obscur des âmes perdues,

J'aperçois ton regard enivré de bonheur.

Ton sourire pur fait disparaître mes pleurs.

Ta beauté divine sera mon grand salut.

§

Mais lasse des mots de Méduse qui me figent,

Je suis pétrifiée par Amour, ce cœur de pierre.

La Parque tient mon fil de vie tremblant d'espoir,

Alors que de mon piédestal je me sens choir.

§

Je pourrais écrire des milliers de poèmes,

Aucun n'est suffisant pour te dire je t'aime.

Dame Nature t'a fait Dieu et moi mortelle.

§

Ah ! Amour qui bat en mon sein est si cruel !

Je suis l'oiseau sans aile et lui un Ange en cage.

Je voudrais fort crier mon amour et ma rage.

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