Chapitre 5, L'ÉTOILE
…
Azalée avait entre ses cuisses
Soulagé le chef des ces hommes survoltés.
Puis sans la moindre hésitation,
Elle avait, les autres aussi, invité
À pénétrer sa caverne affamée.
Ils l'avaient laissée haletante,
À l'abri dans la grande tente.
Plus tard, quand chacun eut récupéré,
Ils partagèrent un solide souper.
Azalée, telle une fleur au soleil épanouie,
Soupira, faisant l'étoile sur le grand lit.
Éléonore alors donna le signal et,
Une nuée de mains décidées,
Immobilisèrent sans ménagements la coquette,
Aux quatre montants de bois du sommier,
Lui signifiant par là qu'elle était,
Entièrement livrée à leur volonté.
De nouveau, ils la pénétrèrent, s'acharnant
Avec entrain dans son sexe brûlant,
Qu'ils aspergèrent copieusement,
De leur plaisir, la faisant roucouler.
Le patron, de nouveau l'enfila,
Et après ses gars se déchaîna,
Baignant dans leurs spermes mêlés,
À brusques coups de reins, il la travailla,
De jouissance la faisant crier.
Quand il eut fini de la besogner,
Éléonore, avec soin, examina
Son jardinet juteux, rouge et gonflé,
Et joyeusement exclama :
― Plus vous allez la baisez,
Et plus elle est excitée !
Je vais essayer de la calmer !
Azalée eut un regard amusé,
Mais de la tête faisait non.
De son amie elle avait deviné,
La terrible et préméditée intention.
Et elle la redoutait tout autant
Qu'elle l'espérait malgré tous ces yeux,
Sur son entrejambe, fixés.
Éléonore se graissa copieusement
Les deux mains et entreprit voluptueusement,
De masser, titiller, pincer, étirer, malaxer,
De ses doigts curieux le sexe croque-messieurs,
De son amie, faussement effarouchée,
Qui criait non, mais avec entrain,
Tendait son intimité palpitante,
À l'exploration de ses mains,
Lui écartelant la fente,
Sous les regards des mâles intéressés,
Au membres de nouveau dressés...
à suivre
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