Un Monde Détruit

8 minutes de lecture

Je ne serais dire à quel moment ma descente en enfer et à commencer. Peut être lors de ma dernière excursion. J'étais se qu'on appelé "un Ramasseur" une personne qui osé affronter la dur vérité de se monde. Remplie de contaminé près à te tué pour essayé de ressentir quelque chose, et les fous ayant créé leur secte de leur coter.

J'étais donc sortie de la Zone Protéger dans la quel je vivais, je n'y étais pas née mais c'était la ou je vivais, du moins depuis le jour où mes parents on était enterré à cette endroit.
Je m'entendais bien avec un garçon nommé Mathieu, il gérer le bar de la zone avec sa femme avant qu'elle décède, le laissant seul lui et sa fille Clara.

Et l'anniversaires de sa fille approchant je voulais lui faire un cadeau digne de se nom et suis donc sorti avec une liste de plusieurs personnes m'ayant demandé certaine chose.
Les Ramasseur était rare, car la plupart du temps on les voyait partir mais jamais revenir, et quant il revenait la plupart du temps ils étaient contaminé.

Moi je n'avais pas peur, même si je connaissais le danger et la possibilité de me faire contaminé ou même pire de me faire violé jusqu'à la mort et peut être même après. Faut dire que le monde dans le quel nous vivons n'est pas pour les femmes, un monde recouvert d'homme près à te tué pour pouvoir insérer leur sexe en toi, et J'étais une cible de choix. Une petite rousse de 19 ans avec de long cheveux arrivant jusqu'à mes épaules, une taille plutôt fine du au manque de nutrition, de petit seins en poire et de petite fesse bien ronde et ferme, il y avait de quoi avoir envie de retrouvé des sensations avec moi, ou simplement profité.

Mais mon courage était plus fort et, ayant confiance en mes capacités, je sortais et ramener autant de chose que possible à chaque fois, même si c'était de plus en plus dur de trouvé des choses utile sans les volés ou les prendre sur les cadavres des hommes de clans qu'on pouvait rencontrer dans ses cas là.
Je suis donc sorti, j'avais pour objectif un vieux magasin de joué condamné à environ 2 heure à pied de la zone.

Je marcher à pat de chat, frôlant les murs mon pistolet à la main et mon sac sur le dos. Portant, comme tout le monde aujourd'hui, des vêtements recousu à de nombreuse reprise avec des tissus différents et mes chaussure de marche que j'avais trouvé lors d'une de mes sorti, celle de gauche était particulièrement usé mais je la fessais tenir en mettant du gros scotch dessus. J'avais également mon couteau de combat à la ceinture facilement accessible en cas de surprise ou de désarmement.
J'avais les cheveux en bataille et le visage recouvert de boue, le regard froid scrutant chaque centimètre autour de moi, l'oreille à l'affût du moindre bruit suspect.

Marchant dans une ancienne ville qui s'appelé Paris, quant j'étais sur que j'étais seul je me permettais d'imaginer se a quoi sa pouvait ressembler avant. Car tout se que je connais c'est des bâtiments recouvert de lierre au vitre détruite et pour la plupart éventré, du sol recouvert de mauvaise herbe et grouillant de charognard, les rues remplie de carcasse de véhicule vandalisé et rouiller.

Je marcher dans ses rues des plus inquiétante et dangereuse. Passant non loin d'une pharmacie et ayant toujours besoin de médicament j'y suis allé pour voir si quel que chose rester, l'intérieur était dévalisé, rien ne rester sur les rayons pas même des boites vide. Après avoir fouillez l'arrière boutique sans succès je me rediriger alors vers la sorti quant j'entendis un bruit venant de cette direction. Part réflexe je me baissa et me mis discrètement contre le mur, mon doigt sur la détente, gardant mon calme j'essayai de regarder se que c'était. Mais quant je vis des pattes d'animaux marcher a travers les morceaux de verres casser je fus rassuré.

Me relevant et sortant de ma cachette, la biche qui était rentré dans la pharmacie me voyant pris peur et parti le plus rapidement possible, je fit de même en bien moins rapide et a découvert qu'elle et continua vers mon objectif initial.

L'Humanité a peut être perdu sont monde, mais les animaux eux l'on retrouvé, un monde presque débarrasser de nous qui détruisions se monde au part avant, en tout cas avant tout cela. On ignore d'ou venait cette maladie, si c'était des scientifique qui l'avait crée ou si elle était arrivé de nul part, crée part la nature ou la radioactivité.

De toute manière a quoi sa nous aurait servie de le savoir ? Avant même qu'on commence à chercher un remède c'était déjà trot tard, un quart de la planète était déjà contaminé et c'était répandu dans tout le globe.

J'approchai du magasin de jouet, mais en approchant j'entendis des voix venant de devant le magasin. Je me suis donc cachet et j'ai regardé discrètement qui c'était.

Des vêtements en cuir, des jeans et des bottes cloutées. Des femmes à l'accoutrement vulgaire mettant tout leur atout en évidence et avec des tatouages et piercing de partout et des collants déchirés, le visage recouvert de maquillage noir et les lèvres noires également.

Il n'y avait aucun doute possible, c'était des Fury de la route. Se groupe était le plus violant de tous se que je connaissais, leur passe temps favoris était d'aller a cent a l'heure sur les routes en tuant et pillant tout sur leur passage, avec eux c'était pas de survivant.

Ils était entrain de retaper leur motos qui devait avoir mis dans le décors lors d'un virage trot serrer devant le magasin vue les éraflure sur la moto et le bras du conducteur qui a du bien rapper le sol a l'atterrissage.

Après environ une bonne heure d'attente à les surveiller ils sont partis fessant un bouquant monstrueux avec leurs engins. Je suis resté cacher quel que minute pour voir si rien ne s'approcher du au bruit. Puis je suis sorti de ma cachette et me suis approcher de l'entré du magasin qui était bloquer part des planches cloué. J'aurais pue les détacher mais le bruit et le temps que cela m'aurait pris m'aurait mise en danger en plus d'ouvrir mes arrière a tous, alors que si cette porte rester fermer je pourrais circuler sans crainte a l'intérieur.

Je senti un courant d'air venant du bas gauche de la porte sur mon pied, après un rapide cou d'œil la porte était partiellement détruite et tenait uniquement grâce a ses planche clouté, créant parfaitement l'illusion d'un lieu sécurisé et difficile a forcer. Je pris la décision de me faufiler part le trou suffisamment grand pour que je m'y engouffre.

L'intérieur était plonger dans le noir, une odeur de renfermer me confirmer que cela fessait longtemps que se lieu était isolé du monde extérieur.

Sortant une lampe de poche de mon sac je me mis à chercher quel que chose qui pourrait plaire a Clara et éventuellement d'autre chose. Je fus surprise de voir que les rayons de se magasin était plutôt bien remplie contrairement a la pharmacie, se qui et compréhensible, on a plus besoin de médicament que de lego star wars.

Après m'être assuré que les lieux était sur, je me suis légèrement détendu et j'ai posé mon sac dans un coin pas trot visible pour être plus léger et chercher.

Mais alors que j'étais entrain d'éclairé une étagère pour voir se qu'il y avait dessus, en éclairant le bout de la ranger je vis un pied dépasser du bout. Je dégaina mon pistolet en une fraction de seconde et me plaqua contre le rayon en oubliant pas de regarder derrière moi en cas d'embuscade. Je fixer le pied en reculant doucement, une fois au bout du rayon je passa de l'autre coter et vis cette fois sont bras et sont épaules. Elle sembler inerte, je me suis donc approcher doucement et j'ai vue en arrivant a sa hauteur que c'était juste une femme morte contre le rayon. Après que je me sois demander comment j'avais fait pour ne pas la voir avant, je me suis demander comment elle était morte, et depuis quant ? Elle ne sembler pas contaminé, se qui peut se voir du a un blanchissement des extrémités et d'une décoloration des pupilles. Elle avait les yeux grands ouverts, les bras et jambes écarté et les vêtements déchirés, le torse recouvert de sang...un trou sous le menton.

Elle c'était tiré une balle dans la tête, probablement du a se qui ses passer avant ou après le faite que ses vêtements sois déchiré et sont intimité mis a nue. Elle était la depuis seulement quel que heures a tous casser, le sang était pas encore tout a fait sec, une journée maximum. Serai-ce les Fury de la route qui l'on tué ? Ou ignoré t'il complètement qu'elle se trouvé ici ? Pourquoi me poser la question me suis-je dis, je ne le serais jamais de toute façon.

Je me remis donc à chercher se pour quoi j'étais venu. Après de nombreuse minute à chercher de partout en fessant le moins de bruit possible, je trouvai enfin se que je prié de trouvé. Une peluche licorne.

Oui ses enfantin mais il s'agissait d'une enfant de 5 ans qui avait lue des ancienne BD avait des histoires de licorne de toute les couleurs qui vivait des aventures et elle en était fan.

J'étais ravi d'avoir réussi a en trouvé une en si bonne état, légèrement sale et sur une parti des poils avait était un peut brûle mais sinon elle était en parfait état.

Je suis donc retourné jusqu'à mon sac, ses juste après avoir mis la licorne dans mon sac que ma montre se mis a clignoté me prévenant que la nuit tomber. Je ne m'étais pas rendu compte mais j'étais resté longtemps dans se magasins à chercher et n'avait pas vue le temps passer, et il était hors de questions que je rentre de nuit.

N'ayant pas vraiment le choix, je devais dormir sur place, même si je pouvais difficilement rêver mieux comme lieu extérieur à la Zone Protéger ou dormir, un bâtiment difficilement pénétrable et avec un toit, j'avais dormi dans de bien pire condition au part avant.

Je me suis donc trouvé un petit coin dans le magasin ou j'ai déplacé quel que meuble pour être la moins visible possible, c'était non loin du corps de la pauvre femme, mais c'était le seul endroit facilement défendable en cas d'attaque. Je me suis donc poser et j'ai posé mon sac dans mon dos et me suis mise dessus, mon pistolet dans la main et le couteau dans l'autre. Attendant que la fatigue m'emporte pour être sur que je ne rate rien avant de m'endormir.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire BalthazarZii ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0