La Zone Protéger

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Le lendemain en me réveillant dans se magasin de jouet abandonner il me fallut quel que seconde pour remettre tout en place dans ma tète. Mais alors que j'étais doucement entrain de reprendre mes esprits, un bruit d'ouverture de porte me fit sursauter et tomber une boite fessant du bruit en tombant au sol.

Mon premier réflexe fut de saisir le plus rapidement mes affaires et vite me cacher. J'entendis des bruit de pas descendre les escalators et arriver en bas, ils étaient deux, ils se parlé.

- Tu sais Victor ? Dis le premier au deuxième. Hier il ma parler d'une trouvaille qu'il avait fait durant la semaine.

- A ouais ? La quel ? Demanda le deuxième visiblement très curieux de savoir de quoi il s'agissait.

- Il a réussi à attrapé une fille non contaminé.

Pas contaminé ? J'ai très rapidement sue se que c'était avec cette remarque. Le virus "Désireux" rendez fou les contaminé, mais certain réussissait à résister et donc garder leur état d'esprit un peut près intact. Fessant d'eux des menace mortel pour qui qu'on que aurait le malheur de tomber sur eux.

- Nooon tu déconne ? Il a fait quoi ? Demanda le Deuxième n'en croyant pas ses oreilles.

- Bas a ton avis. Des qu'il a réussi à la maîtriser il la baisé forcément. Répondit-il au Deuxième comme si c'était une évidence.

- Alors ses vrais se qu'on dit sur les femmes non contaminé ? Que sa serait qu'avec elle qu'on pourrait ressentir à nouveau ?

- J'en sais rien, je n'ai jamais réussi a en attrapé une vivante, mais lui il ma tout raconté et c'était chaud, il la retourné dans tout les sens et juste avant qu'il éjacule il aurait ressenti comme des palpitations a se niveau la.

- Nooon, faut a tout pris que je trouve une femme non contaminé pour essayé.

- T'emballe pas trot vite, je te rappel qu'à l' instant où tu la pénètre techniquement elle et contaminé, se foutu virus se transmettant aussi de cette manière.

- Donc Victor nous a menti ?

- Non pas forcément, juste qu'on a aucune preuve qu'il dit la vérité non plus.

Entendant leur conversation je me cachai dans un rayon adjacent a eux en fessant le moins de bruit possible, apparemment il n'aurait pas entendu la caisse tomber car ils ne sembler pas se diriger vers le lieu ou j'avais dormi. Je mis mon sac rapidement sur mon dos et me dirigea vers la porte du magasin pour sortir quant j'entendis leur conversation changer.

- Et faut pas oublié qu'elle c'est suicidé juste après en se coupant la gorge avec un morceau de verre trouvé parterre et que... Hooo tient tient, qu'avons nous la.

Je me retourna rapidement en tendant mon pistolet prête a tiré pensant qu'ils m'avais vue, mais une fois retourné, personne.

- Regarde moi cette petite allumeuse, morte serte, mais bien foutu n'est en moins. Dis le Premier qui sembler s'exciter a voir la femme morte se trouvant contre un des rayons du magasin.

- Ouais dommage qu'elle soit morte, on aurait pue confirmé les dires de Victor. Répliqua le Deuxième semblant déçu.

- Elle semble pas morte depuis très longtemps, quel que jour, et puis qui sais, peut être que sa marche quant même.

- Qu... Attend tu va vraiment fourrer ta queue en elle ? Mais elle et morte mec...

Entendant cela je ne pouvais accepter qu'il fasse une t'elle chose.

Le Premier était littéralement entrain de peloté les seins de la femme pendant que le Deuxième le regarder sans bouger.

- Tu veux pas essayé ? Proposa le Premier ?

- Non... franchement je trouve sa bizarre, mais va si ne te gène pas.

Le Premier commença à sortir sont sexe, pendant qu'il était entrain de dire cela. Me faufilant juste derrière le Deuxième avec mon couteau de combat dans la main, je m'approcher doucement de celui-ci.

- Ho la vache se que j'aimerai ressentir une dernière fois la sensation de la pénétration de ma bite dans une femme... la Vache sa me manque Rrr...Commençant à faire des bruits d'animaux ressemblant a ceux des Désireux ne se contrôlant pas.

- Mec calme toi, tu va perdre le contrôle.

- Oui je... pardon. Mais comprend moi c'est perturbant de faire sa et de même pas sentir qu'on le fait.

- Je te comprends t'inquiète pas pour sa...

J'arrivé derrière le Deuxième et planta ma lame dans son crane d'un cou sec. Mais lui ayant coupé la parole le Premier entendis cela et tourna la tête.

Prise d'une soudaine monté d'adrénaline je n'ai pas réfléchie et j'ai vite dégainé mon pistolet pour lui tiré une balle dans la tète résonnant dans tout le bâtiment et le cartier.

A peine le corps du Désireux touchant le sol que la panique pris le dessus. Je retira rapidement le couteau de la tête du Deuxième Désireux et me mis a courir vers mes affaires les attrapant et les mettant aussi vite que possible sur mon dos. Plongeant dans la fente pour sortir du bâtiment et me suis mise à courir aussi vite et loin que possible.

Je ne savais que trot bien se qui se passer quant on avait le malheur de faire trot de bruit ou de tiré un cou de feu dans un endroit restreint comme l'intérieur du magasin. Cela attiré un nombre incalculable de Désireux assoiffé de sensation. Mais aussi se qui me fit courir aussi vite c'était la peur de voir d'autre Désireux contrôlant leur pulsions débarquer, car si il arrivé a se contrôlé, il pouvait donc utiliser des armes.

Après presque une demi-heure de course effrénée je suis arrivé dans un bâtiment que je connaissais bien avec une seule entré et donc une seule sorti possible.

Je me suis mise dedans et j'ai braqué mon arme vers la sorti attendant que quoi que se sois passe dans ma ligne de mire pour lui éclaté la tête.

Mais après environ cinq minute d'attente. Rien. Je me releva et regarda discrètement dehors, rien n'avait l'air suspect

Une fois que j'ai réussi à me calmer et a reprendre mes esprits je me suis donc diriger vers la Zone Protéger ayant se que j'étais sorti chercher.

Elle se trouvé a la sorti de la ville en ruine de Paris, un endroit tenant depuis maintenant 70 ans, se lieux avait était crée part les anciens pour survivre à l'épidémie. Fait de haute rempart en fer husé part le temps et les multiples attaques, ces aujourd'hui un lieu sur ou environ une soixantaine de personnes y vive.

J'arrivé en vue des remparts, je sentais le viseur des snipers sur les remparts me visé près a tiré. Je leva les mains pour leur faire comprendre que je n'était pas hostile, et une fois plus près ils m'ont reconnue et ouvert la porte.

- Bonjour Eléonore. Me dis Chef des Garde de la zone protégé.

- Bonjour à vous aussi, je suppose que vous me laisserait pas passer sans faire une inspection.

- Tu connais la procédure. Me répondis-t-il en approchant un bandeau et une aiguille de ma main.

Me bandant les yeux avec le bandeau, il me piqua le bout d'un doigt pour voir si je ressentais et donc n'était pas contaminé.

- Aie, le majeur de la main gauche, plus précisément la pointe du doigt la ou sa fait bien mal.

Je retiré le bandeau sachant que j'avait passé l'inspection parfaitement.

- Parfait, bienvenu cher toi.

Cher moi... je ne m'y étais jamais senti cher moi, sa fessait peut être 6 ans que j'y vivais depuis la mort de mes parents, mais se n'était pas cher moi pour autant.

La Zone Protéger avait beaucoup évolué depuis sa création, au début se n'était que de simple tente militaire disposé rapidement dans tout l'espace pour héberger la population temporairement, mais le jour ou le monde s'effondra, les plus terrifier et désespérait on quitter les lieux espérant trouvé plus "sûr" ailleurs, les autres sont rester pour fortifier cette endroit et en faire une Zone Protéger, d'ou sont nom.

Aujourd'hui les tentes on fait place a des cabane fait en bois et en métal récupéré a l'extérieur, agrandis de plusieurs mètre, maintenant la zone compter aussi quel que bâtiment se trouvant au part avant accoté de la Zone maintenant fessant parti intégrante de se lieu. Dans les bâtiments on pouvait trouver des magasins vendant toute sorte de chose, pièce détacher, vêtement, nourriture entre autres.

Mais il y avait aussi un bâtiment qui avait était reconverti en bar-hôtel, le lieu ou Matthieu travaillez et vivais avec sa fille.

Je suis rentré et les vue entrain de servir des clients. Ne voulant pas le déranger je me suis approché du comptoir et me suis assise sur une des chaises haute se trouvant devant celui-ci et j'ai posé mon sac a mes pieds le regardant entrain de servir. J'avoue qu'il était plutôt mignon, puis surtout c'était un des rare ici a me montré un minimum de respect, car étant une fille venant de l'extérieur qui passe sont temps à sortir et revenir crée des doutes et de la méfiance envers se qui vivait ici. Mais je m'en moquais, cela m'avais forgé mon caractère et m'avait obligé a me débrouillez part moi même.

Matthieu arriva au comptoir et en me voyant sont visage s'illumina.

- Eléonore ! Tu et revenu. Me dis t'il joyeux et posant sont plateau sur le comptoir en s'approchant de moi pour me faire la bise.

- Bas oui, j'allais pas rester dehors alors qu'aujourd'hui et l'anniversaire de Clara. Ai-je dis en lui fessant la bise.

- Tu t'en et donc souvenu, je pensais, en te voyant partir hier, que tu avais oublié d'ou ton départ.

- Non j'était justement sorti pour sa, je n'avais pas de cadeau pour elle, donc je devais aller en chercher un ailleurs.

- Tu as risqué ta vie juste pour avoir un cadeau pour Clara ? Me dis-t-il surprit.

- Juste ? C'est pas une journée comme les autres aujourd'hui, c'est l'anniversaire de la benjamine de la Zone Protéger, sa mérite amplement les quel que frayeur que j'ai eu en sortant pour elle.

- Tu as eu des ennuie ?

- Ouais quel que une, rien de bien grave t'inquiète.

- Tu et sur ?

Il voyait bien que je mentait, en général quant je revenais des récupérations je ne disais pas que j'avais rencontrait de problème même si c'était le cas, mais se jour la j'était perturbé part se que j'avais vécu dans se magasin de joué, et après qu'il mes demander cela je lui et donc raconté se que j'avait vue et fait.

- Je vois... et tu et donc parti en courant ?

- Evidemment, j'ignorais combien de ses saloperies se trouvé dans les alentours, et je suis exactement se qu'il cherche donc j'allais pas rester sur place pour savoir.

- Mais sa ta secoué visiblement cette histoire avec cette femme.

- Bien sur que ses perturbant, de voir a quel point l'Humanité a sombré aussi bas... tellement profondément qu'on se retrouve a violé des cadavres. Commençant à m'énerver en y repensant.

Mathieu voyait bien que cela m'énerver, il commencer a bien me connaitre et savait quant il devait se taire. Il attendit que je me sois calmé pour continuer.

- Tu sais se que tu devrais faire ? Retourner dans se magasins, dans quel que jours, et enterrer cette pauvre femme.

- Quoi ? Tu veux que je risque ma vie pour une morte ?

- Non, pour l'honneur d'une femme qui a eu le courage d'affronté se monde et qui en et morte. Puis pour toi aussi, pour que t'es remord arrête de te bouffé de l'intérieur.

- Je... je vais y réfléchir, mais avant ça on a un anniversaire à fêter.

- Oui, tu ma dis que tu avais trouvé quel que chose mais pas quoi, esse que je peux savoir maintenant ?

- Elle et ou ?

- à l'étage dans sa chambre, pourquoi ?

- Bas... pour pas qu'elle la voit évidemment, gros bétat.

Je sorti la licorne de mon sac et Mathieu se mit à rire en la voyant avec un sourire immense.

- Ho Putain t'en a trouvé une ! Me dis-t-il en rigolant et en étant surpris. T'es au courant que ton cadeau vient de ridiculisé le mien en une seconde ?

- Sa m'étonne pas.

Nous avons fêté l'anniversaire de Clara comme il se devait, elle cria de joie en voyant la licorne, elle ne la plus lâcher jusqu'à dans son lit ou elle dormi avec. Se fut une magnifique soirée, pleine de rire et de joie, le genre de soirée ou on veut qu'elle continu pour toujours.

Mais la triste réalité revient le lendemain au réveil, a mon réveil je n'arrivé pas a pensez a autre chose qu'à cette femme et se que m'avait dis Mathieu.

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