La Dernière Sorti

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Durant toute une semaine je n'arrivé plus à penser à autre chose. Cette femme obnubiler mes pensée à m'en faire perdre le sommeil, me réveillant en sueur quant j'arrivé à fermer quel que minutes les yeux.

Mathieu essayer tant bien que mal de m'aider, même si il s'avait qu'il était impuissant face a sa, que seul moi pouvait affronter cela.

Après une longue semaine j'ai décidé que cela devait s'arrêter. J'ai donc pris mes affaires et me suis préparer au aurore, mais Mathieu me vit me préparer.

- Que fais-tu ? Me demanda-t-il inquiet.

- Je dois y retourner, j'ai pas le choix si je veut pouvoir me pardonner. Lui ai-je dis en finissant de nouée mes chaussures.

- Se n'est pas ta faute si elle et morte et tu le sais.

- Oui, mais je n'est rien fait pour empêcher que ses ordure viol sont corps. Lui disant cela avec des larmes me montant aux yeux, me retenant de les laisser sortir.

- Je... je peux visiblement pas t'en empêcher alors, je veux juste que tu me promettes que tu ferras attention a toi d'accord.

- Je le ferrais, comme toujours. A la prochaine Mathieu.

Se fut les derniers mots que j'ai dis à Mathieu avant de partir.

Si seulement j'aurai sue se qu'il aller m'arriver je ne serais surement pas sorti, ou du moins pas seul.

Le ciel était noir, il aller pleuvoir, les échos de tonnerre se fessait entendre au loin, s'approchant de plus en plus. Mais même cela ne m'empêcha pas d'y retourner.

L'arme au point je suis rentré dans le magasin sans aucune crainte, je me suis approcher de la femme et des deux cadavres de Désireux que j'avais tué qui n'avait pas bougé, regardant si il y avait un autre danger.

Après m'être assuré que j'étais seul, je sorti de mon sac des vêtements propre, enlevant respectueusement les morceaux de vêtements restant sur elle pour lui mettre les propres. Après cela je les pris dans mes bras et je suis sorti pour me diriger vers un champ non loin entouré de bâtiments pour la plupart éventré.

Détachant de mon sac une petite pelle que j'avais emporté, j'ai commencé a creusé, l'ayant allongé sur le dos les bras le long du corps accoté de mon sac. Les quel que rayons de soleil qui arrivé encore à traverser les épais nuages toucher sa peau blanche tendis que je continué inlassablement de creusé.

Après plusieurs heures, le soleil était entièrement cacher derrière les nuages, les éclairs frappant non loin accompagné de sont tonnerre assourdissant, j'avais enfin fini. Elle était enfin en paix dans un lieu ou seul le dieu en quel elle croyait pourrait la trouvé et lui permettre le repos éternel.

Ayant construit une croix rudimentaire que j'avais planté, j'ai déposé son collier avec une croix dessus, espérant que personne ne profane sa tombe en la prenant.

Je repris mon sac, le mis sur mon dos, jeta un dernier regard sur elle, et l'instant ou mes yeux on quitter sa tombe, la pluie à commencer à tomber accompagner d'un violant tonnerre.

Ne craignant aucunement la pluie ou les éclairs, je me rediriger enfin sereine vers la Zone Protéger, mais alors que j'était perdu dans mes penser pour la première fois de toute les sorties que j'ai pue faire dans ma vie, un éclair frappa sur un des poteaux a juste cinq mètre de moi me fessant faire un bon et tomber en arrière sous la surprise. Cela me ramena a moi et, sans me relever entièrement, je suis allé m'abrité dans un des immeubles a la porte défoncer se trouvant accoté.

Mon cœur battant a mille à l'heure sous la frayeur que cela m'avait procuré, essayant de me calmer. Mais alors que j'essayé j'entendis comme des voix dans le bâtiment ou je me trouvé. Je regarda dedans et vis deux ombres arrivé dans les escaliers se trouvant a gauche de l'entré du couloir ou je me trouvé menant a l'extérieur. Sans réfléchir je suis resté a l'intérieur et me suis cacher dessous les escaliers les entendant descendre marche après marche en parlant.

- Sale temps hein ? Dis le premier.

- Ho tu sais, il pourrait pleuvoir des pierres que sa changerait rien tu sais, ses pas comme si on sentirait une différence. Répondit le deuxième.

Des Désireux. Maudissant se foutu éclair m'ayant mit dans cette posture j'essayé de trouvé une issu.

Une porte se trouver en face de moi qui devait menait sur l'arrière du bâtiment du a l'eau rentrant sous celle-ci, mais elle se trouver juste derrière les deux Désireux qui descendez les escaliers c'étant poser a l'entré pour regarder la pluie tombez en parlant.

- Tu sais que Michel à craquer ?

- Non sérieux ? Quant ?

- Se matin, il a bouffé Thierry puis il aller tuer Gaël mais on a réussi à l'arrêter avant.

- Merde, vous lui avait fait quoi ?

- Hoo, on la enfermer dans les bureaux pour réfléchir, mais bon a mon avis on va le buter et le mangé comme tout se qui craque.

- M'ouais, dommage, il était sympas.

Trouvant cette discutions des plus tordu et répugnante je décida de me lancer en avançant a pat de chat vers la porte en gardant un œil sur les deux Désireux.

Mais quant ma main toucha la poignet de la porte, celle-ci s'ouvra soudainement devant moi me mettant face à face a un autre Désireux me bloquant le passage.

Le temps ses comme figer durant la seconde ou on se regarder, la seconde d'après je dégainer mon couteau pour le tué, mais pas assez rapidement...

- Feeemmee !!

Mon couteau rentra dans sa tête passant part le bas de sa mâchoire qu'après qu'il et crié.

- Merde !

Les deux Désireux de la porte se retourna et me vit, alors que je m'apprêter à sortir part la porte j'entendis plusieurs crie venant de celle-ci, la seconde d'après je la vis s'ouvrir avec de nombreux Désireux derrière se bousculant pour rentré.

Je n'avais plus d'autre choix, je devais fuir, mais part ou ?

Me retournant rapidement en dégainant mon pistolet pour tué les deux Désireux de la porte, je réussi a en tué un mais le deuxième réussi à esquiver le cou étant trot près pour être précise.

N'ayant pas le temps de visé je me suis mise à courir en esquivant celui encore debout qui réussi à saisir mon sac m'obligeant a l'abandonné ici. Entre mes affaires et ma vie c'était vite choisi, j'avais encore mes armes.

Je me précipita dans les escaliers sans réfléchir et monta en courant tombant face a deux Désireux essayant de me saisir, je réussi a esquiver le premier qui tomba dans les escaliers, mais le deuxième me saisi au colle et aller me mordre, mais je lui tirai une balle dans la tête a bout portant lui fessant éclaté la tête.

Après m'être défait de sont emprise je vis rapidement le nombre de Désireux montant les marches, ils devaient être une vingtaine, se bousculant et perdant tous le contrôle me voulant pour eux seul. Une vague de frayeur comme je n'en avais jamais eu au part avant s'empara de moi. Me fessant repartir de plus belle, esquivant ou tuant tout Désireux qui avait le malheur de croisé ma route.

3ème étage, ils se rapproché dangereusement de moi. Part instinct j'ai emprunté la première porte devant moi et me suis barricader a l'intérieur en poussant un bureau contre la porte. Mais avant que je n'est le temps de tourner la tête qu'un autre Désireux me sauta dessus me plaquant contre le mur.

Sont visage était maculé de sang frais et ses yeux était entièrement blanc, hurlant et ayant une force supérieur a la mienne il me dominé largement.

Les autres frappé contre la porte m'entendant a l'intérieur, mais n'arrivé pas a rentré du au bureau renverser devant, même si j'avais plus urgent à penser.

Donnant un cou de genoux entre les jambes du Désireux me tenant je devais m'attendre a une réaction, mais rien, il eu juste un légers mouvement du a l'impact du cou. Ses la qu'une idée mes venu, j'ai frappé a de multiple reprise forçant comme une malade pour ne pas qu'il arrive a me mordre jusqu'à se que j'arrive à avoir une échappatoire.

A l' instant où je la vit je les saisi, une légère perte d'équilibre de sa part me permit de le faire tomber au sol et de me retiré du mur. Cherchant mes armes au sol les ayant fait tomber en me fessant plaquer contre le mur, je nus le temps de les trouvé avant qu'il ne me plaque au sol et réussisse a déchiré une épaule de mes vêtements. Même si cette fois il n'avait pas l'avantage car j'avais encore mes jambes pour le repousser, lui donnant de multiple cou de talon dans le visage je réussi à le sonner légèrement.

Me relevant et attrapant la première chose pointu que je trouva pour lui planté dans le crâne.

Le temps de reprendre une inspiration que la porte aller céder sous les assauts ininterrompus des autres Désireux cherchant a rentré. C'est la que je vis mes armes devant la porte. Hésitant à aller les chercher, ses ma raison qui l'emporta et m'obligea a les abandonné.

Attendant que la porte s'ouvre pour courir vers la vitre teinté du bureau dans le quel j'était menant au couloir et aux escaliers, me coupant a de multiple endroit, tombant dans les éclats de verre, je me dirigea vers les escaliers pour descendre mais le chemin fut bloquer part d'autre Désireux attiré part le bruit. Je n'avais pas d'autre choix, je devais continuer de monté. Arrivant en haut de cette immeuble d'environ 6 étage et m'enferma dans l'appartement d'en haut bloquant au maximum l'entré.

Mais seulement trois seconde après avoir fermé la porte qu'elle se mit a tremblé dans un bruit assourdissant sous les cous des Désireux.

J'étais en panique ne sachant quoi faire, j'étais coincé en haut d'un immeuble sans aucune arme et facilement une cinquantaine de Désireux me poursuivant.

Cherchant de partout un moyen de fuir, ne pensant plus un seul instant à les combattre sachant que c'était un combat perdu d'avance.

Ne pouvant me cacher n'y fuir je me mis a pleuré.

Mais avant d'abandonner je vis la fenêtre, mon dernier espoir.

Me précipitant sur elle je l'ouvris a la limite de la brisé sous la violence de l'action et regarda en dessous et vit un balcon se trouvant au 4ème étage, me trouvant au 6ème cela devait faire une bonne chute de 5 à 6 mètre sans aucune garanti de ne pas manqué le balcon ou ne pas se casser quel que chose ou mourir a l'atterrissage.

Mais c'était ma seul et unique chance. Je regarda la porte derrière moi et vis qu'elle aller céder dans peut de temps. Je n'avais plus une seconde à perdre. Je me mis assise sur le rebord de la fenêtre et regarda le vide, un frisson horrible me traversant. Mais le bruit de la porte cédant me donna la force de me laisser tomber.

- AAAAAAAAAH !!!!! PUTAIN !!!

J'étais bien tomber dans le balcon, mais non sans me péter le pied gauche a l'atterrissage

Mais je devais fuir tout de suite avant qu'ils comprennent ou j'étais, je me suis donc relever et me suis remise à courir aussi vite que possible.

Arrivant à l'extérieur du bâtiment je me précipita vers un autre non loin.

C'était un ancien restaurant, je m'enfonça au plus profond possible a l'intérieur en me cachant dans les cuisines derrière la porte d'entré battante encore étrangement fonctionnel.

Mettant mes mains devant ma bouche pour m'empêcher de faire trot de bruit avec mon souffle.

Le silence retomba, juste quel que bruit éloigner de râle se fessait vaguement entendre.

Quant soudain un grand cri de Désireux suivi d'une violente rafale continu d'arme automatique.

Surpris part cela, comprenant que j'avais maintenant potentiellement affaires a des hommes armée dans mon état, je prié pour qu'il ne me trouva pas.

Après une bonne minute de rafale non stop le silence revint, juste le bruit de l'eau tombant toujours aussi fortement résonner.

Je les entendais parler entre eux sans comprendre se qu'ils disaient, mais le bruit de verre casser m'averti qu'ils étaient rentré dans le restaurant.

Me demandant comment ils sont pus s'avoir que j'était ici je baissa la tête et vis mon pied saigner laissant couler une légère traîner de sang au sol.

N'étant clairement pas en état de me battre ou de me défendre je ne savais pas quoi faire.

Ses la que je vis la porte battante s'ouvrir lentement laissant dépasser le canon d'un fusil.

Etant derrière les portes battantes il ne pouvait me voir quant se retournant. Je suis donc resté immobile en m'empêchant de faire du bruit en mettant une de mes mains devant ma bouche.

Après qu'il soit rentré entièrement il commença à avancer doucement en regardant de partout, quant soudain la porte s'ouvra une seconde fois, laissant rentrer deux autres hommes armée de fusil d'assaut.

- Qu'es que tu fou la ? Il y a rien ici. Dis l'un des deux qui venait d'entrée.

- Je suis sur d'en avoir vue un courir ici avant qu'on envoi la sauce sur ses saloperie, il se cache quel que part ici. Répondit celui qui était rentré en premier.

- Et comment tu peux en être aussi sur ? Demanda le même qu'avant.

- J'ai vue du sang frai à l'entré plus de la silhouette, croyait moi, il y en a encore quel qu'un.

Il se mit a me chercher, j'était désarmer, fatigué et blesser, je n'avais aucune chance face a eux si j'utilisé la manière forte, je devais fuir, mais comment ?

Se n'était qu'une question de seconde avant qu'ils ne se retournent et me vois contre le mur, voyant un couteau de combat a la ceinture du plus proche de moi je voyais un moyen de me défendre, mais aussi mon arrêt de mort si je me rater.

Baissant la tête je vis un bout de verre pointu parfait pour servir d'arme.

Me baissant lentement en gardant un œil sur eux, je pris lentement se bout de verre et m'approcha du plus proche. Mais a l'instant ou je leva le bras pour le lui planté dans l'arrière du cou, il se retourna et me vis, part réflexe il appuya sur la gâchette se mettant a tiré juste accoté de mes pieds avertissant les deux autres.

Mais il ne pouvait rien faire, avant qu'il n'est le temps de faire autre chose le bout de verre était dans sa gorge et sont sang me giclé au visage.

Ses deux collègue n'ont pas hésité une seconde à ouvrir le feu sur leur défunt amie pour m'avoir, mais les impacts de balle dans le dos du mort me fit tomber en arrière et lui tomba dessus moi.

Le temps de me défaire de lui l'un avait fait le tour et me mis en joue, il s'apprêter a tiré mais il n'avait pas fait attention et avait vidé sont charger sur sont collègue pour m'avoir.

Cela me donna l'opportunité parfaite, je saisi l'arme du mort et lui envoya une rafale le plaquant contre un mur et le fessant tomber red mort au sol troué comme une passoire.

Mais l'instant d'après je me pris un cou de crosse dans la tête m'assommant sur le cou, le premier à être rentré dans la cuisine m'avait contourné et pris part surprise, m'ayant concentré sur l'autre je ne pus le voir venir, ses ainsi que j'ai signé mon aller simple pour l'enfer.

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