Esclavage

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Quant je repris mes esprits se fut dans une inspiration forte et grasse en levant la tête vers le ciel.

En plus d'avoir mal a la tête j'avais également mal au torse et au visage, apparemment l'homme qui ma assommé ne c'était pas contenté de cela et a continué de me frappé après.

Reprenant mes esprits petit à petit je me rendis compte que j'étais assise et les mains attaché ensemble au dessus de ma tête dans une petite cage fait pour des animaux.

Je vis une silhouette devant moi entrain de me regarder avec insistance, mais le contre jour du soleil m'éblouissant je n'arrivé pas à voir sont visage.

- Alors on ses enfin réveiller on dirait. Dis la silhouette. Je commencer à croire que se fils de pute qui ta vendu nous avais arnaqué, déjà qu'il ses mordu les doigts de t'avoir tabassé lui coûtant cher a la vente.

- Ou je suis ? Ai-je demandez douloureusement.

- Pour toi, En enfer ma jolie, bienvenu au Stade.

Le Stade. Au pars avant le lieu ou des centaines de personnes venait pour voir du sport et passer de bon moment. Mais aujourd'hui ses devenu le repère des esclavagistes et autres ordures. Le genre de lieu qu'on doit a tout prix évité d'approcher ou de s'y retrouvé, étant réputé pour être inviolable, autant pour y rentré que pour y sortir de force.

- Qu'aller vous faire de moi ?

- Ha ! Tu na pas besoin que je te le dise tu le sais bien, on va t'vendre et se faire un max de blé sur ton jolie petit cul. D'ailleurs sa ma surpris de voir que se con n'a même pas profité d'avoir une bombe pareil sous la main pour se soulager un peut, après tout vue comme tu étais amoché t'aurait rien pue faire contre sa, sa s'trouve t'aurait peut être même aimé sa. Me dis-t-il en ricanant et me reluquant.

- Va te faire foutre !

Après l'avoir insulté je pris un cou de taser me fessant pousser un crie de surprise et de douleur.

- Non non, pas de grossièreté ici ma belle, maintenant tu va rester bien sage dans ta cage jusqu'à se qu'on trouve le stand approprié pour toi.

Après sa il se leva et je vis dans sa main une matraque électrique, c'était surement avec sa qu'il m'avait électrisé.

Je pris le temps de regarder autour de la cage et vis de nombreuse autre, toute habiter part des femmes, des hommes et même des enfants.

Tous était terrorisé et sale, les poignets ensanglanté part le frottement des chaines et probablement la cruauté des geôliers.

J'essayai de me libéré en tirant sur mes chaines mais compris vite que j'étais condamné pour le moment à rester enfermer, car même si j'arrivé a détaché ses chaines j'étais encore enfermer dans la cage.

Prenant mon mal en patience je pris se temps pour me calmer et réfléchir a comment réussir a m'échappé une fois mes liens détacher et la cage ouverte.

Les heures passèrent, le soleil frappant me brûlé la peau et m'assoiffé, mais je devais tenir bon, se n'était pas de simple cou de soleil qui aller me brisé.

Après presque quatre heures à attendre, l'homme revint avec quatre autres personnes dont un vieux moustachu a l'apparence inoffensive. Les hommes l'accompagnant était musclé et armé d'arme automatique et avait de nombreux chargeur accroché a la taille. La sécurité de se lieu n'était donc pas inventé.

Arrivant devant ma cage le vieux me regarda, quant à l'homme il se tourna dos à moi et parla au vieux.

- Bien, tu commence part ste garce, mais fait attention, elle a buté deux mec alors qu'elle avait le pied casser avant de se faire assommé, on a fait se qu'on a pue pour sont pied et les autres blessures que l'imbécile qui nous la vendu lui a faite sous sont élan de colère. Dis t'il très sérieusement au vieux, écoutant se qu'il lui disait en le regardant dans les yeux. A part sa tu fais ton boulot habituelle ok ?

- Oui monsieur. Répondis le vieux.

L'homme parti non sans me regarder avant.

Le Vieux s'approcha de l'entré de la cage et déverrouilla le cadenas, ouvra la porte avant de me regarder droit dans les yeux.

- Bonjours mademoiselle, j'aimerai me présenté mais je n'est pas le droit de donné de prénom part mesure de sécurité, mais si tu veux me donner le tient sa me faciliterait la tache.

Je ne répondis pas et continué de le regarder d'un regard froid et concentré.

- Je vois, écoute voila se qui va se passer, je vais devoir te faire sortir de cette cage pour te nettoyer et te rendre présentable pour la vente de tout a l'heure, et ses hommes m'accompagnant sont la pour veiller a ma sécurité et ils n'hésiteront pas a te tiré dessus au moindre geste brusque en mon égard. Tu me comprends ?

Voyant qu'il était bien plus gentil que les autres personnes se trouvant ici je me demander pourquoi il fessait cela.

Il baissa la tête sous mon silence.

- Ecoute, sois tu me réponds et tu sors d'ici sans encombre sois je demande a ses messieurs de te faire sortir part la force et crois me tu ne veux pas sa.

Je voulais lui craché a la figure, mais c'était le seul a me montré un minimum de respect malgré les circonstances. Alors j'ai crachai devant lui pour lui faire comprendre que je n'obéirais jamais.

Il soupira avant de se redresser et de s'écarter de l'entré.

- Messieurs.

Soudain je me pris une décharge venant de derrière moi, l'instant d'après mes mains était libre et l'un des hommes m'attrapa le pied pour me tiré a l'extérieur.

Je me débâter comme je pouvais mais avant même que j'ai le temps de tendre un bras qu'il me jeta a l'extérieur de la cage et me donna une autre décharger avant de poser l'un de leur pied sur ma tête me l'enfonçant de moitié dans la bout se trouvant au sol mélanger surement de la merde et la pisse des autres prisonniers ne pouvant se soulager autrement que sur eux. Tendis qu'un autre me tenait les bras dans le dos.

Le Vieux s'approcha de moi et mis un genou au sol.

- Bon, tu peux encore accepter mon offre et faire en sorte que sa sois plus agréable pour tout les deux, tu na qu'à arrêter de te débattre et tout se passera bien.

Evidemment je ne me suis pas laisser faire, il comprit a se moment qu'il pouvait me le proposer autant de fois qu'il le voulait jamais je n'accepterais se qu'il me fessait.

Il ordonna d'un geste de m'emmener.

Les Hommes me sorti de la boue et me traîna jusqu'à une grille à l'écart ou ils m'attachèrent les mains et les jambes.

Et sans hésité ils m'arrachèrent mes vêtements et me mis a nue accroché a la grille.

A cette instant j'ai eu comme un frisson, déjà sous la violence et l'indifférence de ses hommes, mais aussi de me retrouvé si soudainement entièrement nue devant des inconnues que je méprise.

- Tu auras accepté de m'écouté on n'en serait pas la, tu te serais déshabillé en privé et te serait nettoyé toute seul, Mais tu as refusé, donc je suis obliger de laisser ses hommes utilisé leur muscles pour t'obligé à obéir. Me dis le Vieux me regardant droit dans les yeux, sont regarde trébuchant sur mon corps a quel que reprise. Aller y

Soudain un violant jet d'eau me frappa le corps d'une eau geler me glaçant le sang. Ils m'arrosèrent comme cela plusieurs longue minute en passant de partout, me le mettant dans le visage, le dos et sur les fesses.

Après m'avoir arrosé le Vieux arriva avec du savon dans la main, je compris de suite se qu'il aller faire et me mis à me débattre refusant catégoriquement qu'il me touche.

- Ses toi qui a décidé, tu me laisse pas le choix.

Il aller poser sa main sur mon ventre quant je lui cracha au visage ma salive, l'instant d'après je me pris une violente décharge me fessant hurlé l'eau étant conducteur et la décharge étant longue et puissante.

Après c'être nettoyé le visage et qu'il et arrêter de m'électriser, il recommença, je m'apprêter à recommencer mais je vis l'un des hommes l'accompagnant se préparé à le remplacer si j'oser essayer.

Se fut la première fois que je me suis laisser faire, car je me douter que si c'était cette homme qui le fessait a la place du Vieux j'allais en plus de ne pas aimer souffrir encore plus et rallonger cette horrible moment. Alors je me suis laissé faire.

Après qu'il mes savonné l'intégralité du corps, s'excusant à chaque fois qu'il toucher l'une de mes parti intime. Ils rallumèrent le jet d'eau mais il fut moins violant cette fois-ci. Était-ce parce que je m'étais laissé faire ? Possible. Ils récompensé ma soumission part un geste de "gentillesse" pour m'incité a continué.

Il y a une chose aussi ou je n'est pas fait de manière, c'était pour me rhabiller, car les arguments était convainquant.

- Sois tu t'habille seul, sois je t'amène devant tout le monde entièrement nue, a toi de voir.

Je me suis donc retrouvé habiller d'une robe noir vulgaire mettant mes formes en évidence, aucun sous-vêtements, ils n'en avaient soi-disant pas, alors je me suis retrouvé dans une robe moulante trot courte et serrer pour moi, mes seins débordant presque et le bas de mes fesses étant visible.

N'acceptant toujours pas de me laisser faire, ils m'attachèrent les mains dans le dos et les jambes et l'un des hommes me portèrent sur son épaule jusqu'au centre du stade.

Le centre du stade, la ou avant se trouvé les matchs et les sportifs, se trouvé de nombreuse estrade et scène avec des chaînes pour attaché les prisonniers et ou les esclavagiste pouvait faire leur show pour les vendres.

On arriva devant l'homme m'ayant parlé à mon réveil.

- Elle et enfin prête. Dis le Vieux a l'homme qui se tourna et me regarda.

- Au moins elle a accepté de s'habiller, ses déjà sa, bien, va la placer sur la grande scène, vue sont caractère et sont corps de pute on peut en tiré un jolie lot. Dis l'homme me dénigrant du regard.

- Bien monsieur.

Une grande scène se trouvé dans le stade, c'était la qu'il vendait leur vedettes, les esclaves les plus sexy, obéissant ou désobéissant, enfin bref tout se qui sortez de l'ordinaire des autres stands.

Ils m'attachèrent à une chaîne relier à d'autres prisonniers et parti, le vieux me regarda une dernière fois avant de partir d'un air désolé.

J'avais du mal a croire qu'il l'était vraiment alors je n'est aucunement changé mon regard en sont égard.

Je me retrouvé donc attaché et à genoux sur une scène avec plusieurs autres prisonniers et prisonnière.

Celle à ma gauche était entièrement nue et avais de nombreux hématome sur le corps, elle était même encore mouillez, elle n'a pas du se laisser faire une seul fois et ses pris de multiple cou pour la faire obéir, mais malgré cela elle sembler terroriser sont regard était vide et baisser vers le sol.

A ma droite avec une paire de menotte décarre se trouvé un homme, lui était grand et musclé, brun avec une cicatrice au visage sur la joue droite en diagonal. Habillez d'un simple pantalon il était lui plus calme, mais sa se voyait dans sont regard qu'il était tout aussi effrayé que les autres. Et que moi.

Evidemment que j'avais peur, j'ignorer se qui aller m'arrivé, et ne voyait aucun moyen de fuir cette endroit sans mourir.

Le temps passa, de nombreuse personne fut amener sur scène, et parmi elles, une jeune fille à peine majeurs qu'on attacha juste accoté de moi. Elle pleuré et trembler. Elle n'avait pas l'air de c'être fait frappé, c'était le Vieux qu'il l'avait amené sur scène en lui tenant la main gentiment.

Ses en voyant ses yeux a cette instant que je compris qu'il était a la même enceigne que nous, lui aussi était un prisonniers, il ne fessait pas cela part envie mais part obligation, car quant il attacha la jeune a ses menotte je vis une larme couler de sa joue qu'il se dépêcha d'essuyer pour que personne ne la vois.

En se relevant il me regarda dans les yeux et fut surpris. Mon regard avais changé, j'avais de la peine pour lui, et j'ai même laissé s'échappé un léger sourire de compassions et de pardon.

Il hocha la tête en me regardant comme pour me dire merci et parti.

Je ne les plus revu après cela.

La jeune femme pleurer et n'arriver pas à reprendre sont calme.

- Essaye d'inspiré part le nez et d'expiré part la bouche pour te calmer. Lui dis-je discrètement.

- Je... je veux pas mourir ! Me dis-t-elle en larme.

- Si tu ne te calme pas se qui va t'arrivé va être bien pire alors essaye de te calmer et de respiré. En étant strict et la regardant droit dans les yeux.

Elle comprit et respira comme je lui avais dis. Cela pris plusieurs minute avant qu'elle réussisse à reprendre un semblant de calme.

- Que... qu'es qu'ils vont nous faire ? Me demanda t'elle en essayant de garder sont calme.

- Nous vendre au plus offrant, t'elle des animaux, des objets. Ne cachant pas la vérité, c'était inutile de le faire.

- Pourquoi ils font sa ? Recommençant a avoir des larmes qui coule sur ses joues.

- L'argent... Ils s'en foutent de se qu'ils vont nous faire, se qui les intéresse ses combien on peut leur apporté.

Sous mon contrôle de mes émotions et ma franchisse elle reparti en sanglot mais en restant plus discrète cette fois.

- Continue de pleuré. Dis l'homme accoté d'elle. Si tu semble faible ils ne t'achèteront pas.

- Pff ferme ta gueule, surtout pour dire une connerie pareil, si elle semble faible elle sera alors plus simple à soumettre et donc a contrôler. Il n'y à Rien à faire. On va être vendu, on et attaché, surveiller, notre seul chance de retrouvé notre liberté passé, ses de garder la tête froide, de rester concentré, et surtout ne jamais perdre la chose la plus importante, et rappelez vous sa et accrochez vous y corps et âme, Ne perdez Espoir.

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