La Vente
C'était difficile et douloureux de rester à genoux les mains attaché à attendre dans un suspense insoutenable, passant du chaud au froid du au rayon du soleil et au vent, voyant le stade se remplir de plus en plus. Se sentir observé et juger d'un regard méprisant. Car à leurs yeux nous somme que de vulgaire esclave, ou pour d'autres même des objets.
De nombreuses personnes se fessaient acheté sous notre regard, impuissant et meurtrie, sachant que notre tour aller arriver aussi mais on ne savait pas quant.
Quant soudain il y a eu un bruit de corne venant de la scène sur la quel on se trouvé, toute les personnes se trouvant dans le stade se sont alors diriger devant la scène.
Se fut à se moment la qu'un frisson me traversa le corps t'elle une balle a bout portant, toute ses personnes qui nous regardez, en parlant de nous et nous montrant du doigt en se disant surement des choses obscènes.
On devait être une dizaine sur scène agenouillez depuis plusieurs heures. Cinq Homme et cinq Femme.
L'homme qui était la a mon réveil monta sur scène, et je compris à cet instant que c'était le gérant du stade. Tout le monde connais sa réputation de sombre fils de pute sans cœur, même si personne ne connait sont vrai nom, mais tout le monde connais le surnom qu'il se donne.
Le Stadieux.
Une fois sur scène il se racla la gorge et tira deux cou de feu en l'air pour que tout le monde la ferme. Le silence qui a suivi après ses deux cous de feu fut presque terrifiant.
- Bien ! Nous allons passer a se que vous attendez tous, la vente des premiers choix !!
Tout le monde cria deux fois et le silence revint, cela devait être la règle, quant le Stadieux parle, tout le monde la boucle et l'écoute et l'acclame de seulement deux crie.
- Haha, j'ai vue beaucoup de personne tourner autour de la scène, les regardant et les jugeant, je compte sur vous pour tous les faire partir et a un bon prix. Commençons !
L'un des Esclavagiste décrocha l'un d'entre nous, le leva et l'amena accoté du Stadieux.
- Voici notre première offre, Une Femme, Blanche a gros lolo et au cul bien tendre, en parti obéissante d'une trentaine d'année, le petit truc qui fait qu'elle à était choisi pour être sur cette scène ses qu'on la trouvé entrain d'étrangler deux mec qui voulait la sauté. De petit ricanement se fit entendre à cette remarque. Le prix et de 100 pour commencer.
- Et pourquoi on la prendrait ? Demanda une personne dans le public.
- J'en sais rien et je m'en branle ! Faite en se que vous voulait, une bonniche pour faire la vaisselle ou vous astiquer le manche. Personne ?
Un silence surprenant était suspendu dans le stade.
- Ok pour 70 ? Je peux descendre à 50 minimum si vous trouvé sa trot cher.
Le silence ne fut rompu.
- Bon bas, désolé pour toi poupée ton cul leur donne pas envie, sa arrive, ses rare mais bon au moins tu et libre.
Quant j'ai entendu sa j'ai tourné la tête surprise, mais quant je le vis dégainer son arme et lui éclaté la cervelle en lui tirant une balle dans le crâne a bout portant, cela me fit sursauté, comme tout les autres prisonnier enchaîné se trouvant sur scène a se moment.
- Bon, Lot suivant !
Les deux cris.
A se moment j'ai eu comme une absence, je n'entendais plus rien, j'ai eu comme une crise de panique, tout se bousculé dans ma tête. J'essayé de rester neutre aux yeux des autres. Après quel que minute j'ai compris se qui m'arrivé.
J'étais Terrorisé.
Sois je me fessais vendre et devenait une esclave, ou me fessait tué t'elle un clébard airant.
Plusieurs prisonniers se sont fait vendre avant que je revienne a moi, aucun autre ne c'était fait abattre.
- Adjuger à 800 Pour les deux crasseux a ma gauche !
Ils venaient d'acheté une femme d'une quarantaine d'année aux cheveux poivre et sel.
Arriva le tour de ma voisine de gauche, cela voulais dire que j'étais la suivante. Quant elle arriva accoté du Stadieux plusieurs sifflement se fut entendre. Se a quoi le Stadieux profita pour la vendre.
- Elle vous plaît on dirait ! Un corps comme le siens on passerait bien dessus n'es pas ?! Mais attention, elle et farouche et ne se laisse pas faire, elle a refusé toute les propositions qu'on lui a faite, ses pourquoi elle se retrouve entièrement nue devant vous. Le prix pour cette belle paire de nibard et de fesses et a 1 000 !
- 2 000. Cria un homme plus que motivé.
- 2 100 ! Continua un autre.
2 200, 2 400, 2 600, ses monté jusqu'à 3 500 comme sa, et quant ses arrivé à se chiffre il y a eu un ralentissement.
Pendant se temps, alors que je regarder ses chiens entrain de se battre pour l'obtenir, j'entendis le souffle rapide de ma jeune voisine accéléré.
La pression l'avait fait craquer, elle pleuré a en crée une flaque devant elle, elle ne fessait pas beaucoup de bruit, juste sa respiration incontrôlable.
Je ne savais quoi dire, n'y quoi faire. J'étais condamnée à rester a genoux, impuissante face a tout cela. En la voyant dans cette état, une vague de haine me vint et m'envahi, fessant disparaître toute la peur qui s'accumulé.
Mais alors que le Stadieux aller conclure la vente de la femme nue a 3 700. J'ai décidé que sa devait cessez.
Je me suis soudainement levé a en tiré la chaîne de tout les autres Prisonniers encore attaché.
- SES TOUT SE QUE VOUS MERRITEZ ????!!!
Le Stadieux me regarda avec des yeux assassin et surpris.
- SES SA QUE VOUS VOULAIT ?!!! NOUS FAIRE DEVENIR VOS CHOSE ??!! ON N'EST PAS VOS OBJETS ! ON N'APPARTIENT À PERSONNE ! ET MÊME SI VOUS NOUS PAYER ON NE VOUS APPARTIENT PAS ! NOUS SOMME COMME VOUS ! LA SEUL DIFFÉRENCE SES QUE NOUS ON ET SUR CETTE SCÈNE ET PAS VOUS? ET QUE NOUS ON A LE COURAGE DE RÉSISTER FACE A VOUS ! MAIS VOUS NE POUVAIS PAS COMPRENDRE CAR VOUS N'Y ÊTES PAS ! VOUS ÊTES DES LAAAAACHE !! ET JAMAIS ON VOUS APPARTIENDRAAAAAAAAAAA !!!!
Je me suis fait sévèrement corriger après sa, quatre des hommes de mains du Stadieux mon foncé dessus et mon donné de multiple cou de matraque électrique pour me faire taire.
Mais j'avais réussi a troublé tout le monde, même le grand Stadieux ne savait comment réagir a cela.
Il conclu la vente qu'il fessait tendis que je continué de me faire sévèrement maltraitais, mais la jeune fille accoté de moi essaya de réagir.
- Arrêter ! Vous aller la tué Stop !
Elle saisi le bras d'un des hommes pour l'empêcher de me frappé mais se pris un cou la fessant lâcher prise.
Ses alors que tout les Prisonniers restant se sont lever et on attaqué se qui me maltraité, réussissant même à les mettre au sol avant l'arrivé des renforts les mettant hors d'état de nuire rapidement créant un chaos sans nom sur scène.
Je saigner et gémissait de douleur m'ayant pris de très nombreux cou de matraque me promettant de beau bleu à venir.
L'ordre enfin revenu, le Stadieux tira en l'air pour faire taire tout le monde.
- Vos gueules !!
Il s'approcha de moi me trouvant encore au sol, il m'attrapa part les cheveux et me tira sans me détaché de la chaîne vers le centre de la scène tirant les autres avec moi, et il posa le canon de sont flingue contre mon front.
Je leva les yeux et regarda les siens sans aucune peur, a la limite de l'incité a le faire, préférant mourir libre que de vivre enchaîné plus longtemps.
Le silence était pesant. Visiblement il hésité a tiré.
- Fait-le. Luis-dis-je sans crainte.
Ses la qu'il souria d'un sourire de mauvais augure.
- Toi, tu na pas peur de mourir, te sacrifier te fait presque plaisir, tu veux devenir une martyr, bien essayé.
Il leva son flingue derrière moi, et avant que je comprenne se qu'il aller faire j'entendis le cou de feu et vis la goupille tomber au sol.
- NOOOOOOOOOONN !!!
Se fils de pute venait d'abattre la jeune femme pour la quel je m'étais révolté d'une balle dans la tête lui déchiquetant le visage.
Il me saisi l'arrière de la tête après sa et me mis face a elle et m'obligea a regardez.
- Regarde se que tu viens de faire ! Tu viens de la tué !
Je me mis a hurlé avant de me prendre un cou dans la tête me sonnant et me mettant au porte de l'inconscience.
Mais alors que j'étais à moitié assommée il fit une proposition.
- Bien ! Vous avais tous vue se qui vient de se passer. Cela peut arriver qu'on arrive a capturé se genre de salope. Vous avais un avant gout de se qu'elle et capable de faire. Un intéressé ?
Le silence ne dura pas longtemps.
- Combien ? Demanda quel qu'un.
- Sachant qu'elle vient de me coûté un esclave qui valet environ 1 800 je dirais 2 000 et elle et a vous. Répondis-t'il voulant se débarrasser de moi rapidement.
- Va pour 2 100. Cria l'un.
- Non ! Nous on vous la prend pour 4 000 !
C'était le chef d'un des groupes les plus craint, les Démolisseurs, connue pour leur cruauté et leur tendance à tout détruire sur leur passage.
- Elle fera une bonne Démolisseuse une fois bien dressé ! Continua le chef.
- Ok, qui dis mieux ? Demanda le Stadieux.
- 5 000 ! Dis ensuite le chef des Sauvage.
Un groupe cannibale redouté pour leur sauvagerie et leur tendance à s'habiller des os de leur repas.
- Une fois qu'elle aura mis bas à plusieurs mal viril elle sera un repas de roi pour nos valeureux guerriers ! Continua-t-il
- Va pour 5 000 !
Mais avant que quel qu'un et le temps d'augmenté le prix que quel qu'un arriva dans le stade et mit tout le monde d'accord en disant un seul chiffre.
- 25 000 !
Le silence qui suivi cela fut presque religieux, tout le monde se tourna vers cette personne ayant dis se chiffre ahurissant.
- Messieurs et Mesdames ! Veuillez accueillir comme il se doit le dirigeant de se territoire et l'homme le plus respectable et respecté du Monde ! Le Maître en Personne. Dis l'homme présentant sont Maître avec enthousiasme et énergie.
Après cela le Maître rentra dans le stade et marcha entouré de ses garde du corps équipé de gilet et d'arme lourde, et accroché a sa ceinture trois chaîne reliant trois femme portant des colliers ou la chaîne était attaché, elles était vêtu de seulement quel que lanière de cuir ne cachant aucunement leur corps.
La Maître était le dirigeant du groupe le plus craint à des centaines de kilomètre alentour.
Les Divins
Un groupe d'homme méprisant les femmes et fessant d'elle leurs esclaves sexuels. Cruel et sans pitié ils étaient craint autant pour leur force que pour leur pouvoir, ayant plusieurs maison close ou ils offrent des femmes moyennement paiement, il était riche et puissant.
Habillez d'une chemise blanche et d'une veste de costard noire, portant une cape rouge et des bottes luxueuse, tenant dans sa main une cane il fessait penser a un roi de l'âge médiéval.
Il arriva au niveau de la scène et décrocha les femmes de sa ceinture et les donna a l'un de ses garde du corps, puis il monta sur scène et s'approcha du Stadieux.
- Bien le bonjour Stadieux, je vois que tu ne contrôle pas vraiment ton Business. Cela m'étonne d'ailleurs, toi qui et si bien organiser d'habitude. Dis taquin le Maître au Stadieux en le regardant de bas en haut.
- Je suis honoré de vous voir venir ici en personne, mais je me dois de vous demander si votre offre et sérieuse ou non pour clôturé cette vente, j'ai un planning a respecté, sans vouloir vous manqué de respect bien sur. Timidement en me tenant toujours part l'arrière de la tête.
- Ho bien sur je comprends, on a tous des obligations et je suis le mieux placer pour le savoir, mais si je viens ici ses pour une raison toute différente que d'acheté cette garce fouteuse de trouble, les 25 000 que mon serviteur a crié n'est pas le prix que je payerai pour cette pute, mais l'argent que tu me dois Stadieux, Pour avoir le droit de vendre tes choses sur Mon territoire. Dis le Maître d'un ton au début gentil penchant vers l'agressif sur la fin.
- Oui je sais que je vous dois de l'argent Monsieur mais justement j'avais l'intention de vous payé... je veux dire, vous donner se que je vous dois grâce a ses ventes la, et pour vous prouvez que je suis confus que vous soyez obligé de vous déplacer pour me rappelé a l'ordre je vous offre l'esclave que vous désiré.
C'est a cette instant que je reviens à moi et commença à faire du bruit, le Stadieux s'apprêté a me frappé pour me faire taire mais le Maître leva le bras pour l'arrêter avant.
Il se baissa et me regarda de haut en bas, il claqua des doigts et l'un de ses hommes m'attrapa et me leva soudainement tirant le corps encore saignant de la pauvre jeune femme.
Le Maître, ne prêtant aucunement attention a cela, me regardant de haut en bas, et se mis a me touché les fesses et les seins, évidemment l'homme me tenant avais pris en compte que j'étais potentiellement dangereuse et me tenait debout en tenant mes mains en l'air.
Me débattant vainement, il n'hésita pas a même passer sa main dans mes vêtements pour touché directement mes seins.
- Je te prends trois femme, jeune de préférence, en plus de mon paiement, Ha et... Je la prends elle aussi. Dis le Maître me lâchant et tournant les talons.
Le Stadieux, ayant trot peur de la colère du Maître s'exécuta et offris au Maître ses plus jeunes et belle esclave et moi en plus de l'argent.
A peine détacher de la scène que je me suis retrouvé attaché part le cous, les mains dans le dos relier a la ceinture qu'il m'avait mise pour m'empêcher tout mouvement m'offrant presque aucun geste possible si se n'était celui de marcher, la chaîne relier a mon collier me tirant vers lavant inexorablement.
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