Le M de Maître

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Tirer t'elle un chien promener en laisse tiré part des hommes portant des vêtements cachant tout leur corps pour éviter d'être contaminé part les Désireux, eux même protéger part les garde du corps armée.

On marcher dans les rues de Paris doucement, chaque bruit suspect était potentiellement un danger, des Désireux ou des pillard.

Mais ma sécurité n'était pas se qui me tracasser le plus, je n'arrivé pas à me sortir de la tête le visage défiguré de la pauvre jeune femme tué part le Stadieux part ma faute.

J'étais déjà affaiblie part le manque de nourriture et d'eau et des multiple cous que je m'étais pris ses dernier jours, mais cette marche interminable était insupportable, j'avais mal au pied dans ses chaussure aucunement fait pour marcher sur de trot longue distance du a ses talon.

Mais je n'étais pas a plaindre, deux femme était entièrement nue, bâillonner et attaché les mains croisé attaché au niveau des poignets et accrocher directement a leur cou. Complètement a la merci de tous, je m'estimer presque heureuse de n'avoir que les pieds qui me faisait souffrir.

Alors qu'on marcher le Maître, qui sois disant passant ne marcher pas car il avait une sorte de carrosse tiré part des chevaux. Descendis de sont carrosse pour se dégourdir les jambes.

A la seconde ou le convoi ses arrêter tout le monde ses exécuté comme une chorographie. Les garde du corps se dispersait et surveiller tout le tour du convoi, les hommes nous tenant nous les esclaves nous accrocha au carrosse et nous obligea à nous agenouiller.

Mais quant il arriva a moi et posa sa main sur mon épaule pour me mettre a genoux j'ai résisté, refusant de poser les genoux a terre devant cette personne qui était le Maître.

Il força mais se rendis compte que je refusé.

- Mes toi a genoux tout de suite. Me dis t'il strictement mais d'une voix basse en approchant sont visage du mien.

Profitant de cette proximité je lui mis un cou de tête à le faire hurlé sous le craque que j'avais entendu.

Venant de lui casser le nez il tomba au sol pissant du nez. Moi je me pris un cou dans les jambes me fessant fléchir et tomber a genoux puis la matraque m'ayant frappé se retrouva contre ma gorge me relevant la tête pour l'immobilisé m'étranglant légèrement.

- Faite le taire. Dis le Maître d'un air indifférent.

L'un des Garde du corps obéi et s'approcha de l'homme et lui planta une lame dans la gorge le tuant sur le cou. Puis il me regarda mais fit rien, il attendait.

J'entendais des pat approcher, me doutant que c'était lui je commencer à me débattre.

- A quoi bon te débattre ma belle, même si tu arrive a t'échappé tu serais attaché et te retrouverai entouré de Désireux et autre pervers qui seront plus qu'attiré part une tenue aussi désinvolte. Me dis-t'il en arrivant devant et me regardant avec le sourire.

- J'ten merde. Lui répondis-je avant de me prendre un cou.

Il râla et donna un cou violant de canne à celui m'ayant frappé.

- ai-je donné l'ordre de la frappé ?

- M... Mon Maître, elle vous à insulté je... je n'est fait que lui faire apprendre le respect a cette garce. Dis l'homme s'agenouillant et baissant les yeux en bégayant.

- La ferme ! Dis le Maître.

Le Maître se tourna vers moi et me regarda droit dans les yeux. Mais surprenament il n'avait pas l'air énerver mais plutôt curieux.

- Quel et ton nom ?

Je ne répondis pas.

- Ha, je vois, je ne mérite pas ton attention mais cette idiot a qui tu a péter le nez m'obligeant a le tué si. Surprenant, lui n'était qu'un larbin, Moi je suis le Maître, si il y à quel qu'un qui mérite ton attention c'est Moi. Dis le Maître en étant imbue de lui même.

De nombreuse insulte me traversa l'esprit et m'efflora les lèvres, mais je préféré rester muette.

- Tout se que je demande ses ton prénom, qu'es qu'il y à de mal a dire cela ?

- Sa serait vous obéir, et je refuse de faire sa. Lui ai-je dis sans retenu.

Il fut surpris avant de se mettre à ricaner.

- Déshabiller la.

L'homme me tenant me releva et enleva la matraque de mon cou avant de saisir ma robe et de commencer a la déchiré.

- Eléonore !

Le Maître leva le bras arrêtant net l'homme qui avait commencé a déchiré mes vêtements.

- Eléonore, Intéressant, tu préfère obéir que de te retrouvé nue devant nous.

- Je préfère donner mon nom que d'être une cible pour les Désireux.

Il se mit à rire, amusé part mes raiponces. Puis il fit un geste et tout le convoi se remit en place prés à repartir.

- Je sens, Eléonore, que je vais beaucoup m'amuser à te soumettre à mes désirs. Me dis t'il a l'oreille avant de me donner un fesser et de retourner a son carrosse.

Le convoi reparti

On marcha encore quel que heures avant d'arrivé en vue du bâtiment qui aller devenir notre nouveau cher nous autant que notre prison.

Tout le monde connait cet endroit, certain que de nom, d'autre car ils le craignent, d'autre car ils y sont déjà aller.

La Demeure du Divine.

Base centrale des Divins, le lieu ou résider le plus grand nombre de Divins et le Maître en personne, un grand ancienne hôtel de luxe qu'ils sont associer au appartement voisin pour l'agrandir, un lieu ou les femmes sont traité comme de simple objet sexuel et rien de plus et les Homme sont tout puissant. Un endroit paradoxalement inviolable malgré se qui se passe a l'intérieur, le cartier étant entièrement entouré d'un grand et épais mur de ciment garder jours et nuit part de nombreux soldat armée de fusil et de sniper entraîner et prés a mourir pour leur Maître.

Si j'avais était confier a l'un des avant postes de Divins peut être que l'évasion aurait était possible, mais les rares personnes à avoir réussi a échappé en vie des Divins on toujours dit qu'il venait d'avant poste et jamais de la Demeure étant bien trot garder.

On arriva alors devant l'immense porte en métal qui s'ouvra à notre approche, plusieurs soldat sont sorti et se sont mis en position en cas d'embuscade ou attaque.

L'intérieur donner le sentiment d'avoir changé de monde, de l'herbe verte, des arbres, une rue propre malgré le goudron craquelé et une magnifique fontaine rempli d'eau jaillissant.

Mais on ne pouvait pas se réjouir d'une telle vue car à peine la porte de la Demeure fermer que les gardes nous on détaché du carrosse et mit en ligne devant la fontaine donnant sur l'entré de l'hôtel.

Certaine femme pleuré, d'autre était tellement terrifier qu'elle n'avait aucune expression sur leur visage, d'autre essayé vainement de rester calme.

Moi je ne vis que les pauvres femme habiller en petite tenue marchant en direction des Hommes bronzant et leur offrir des boissons avant de se retrouvé obliger de s'agenouiller pour en plus les sucer tout en se laissant tripoter.

Cette vision fit monté en moi la rage et la colère, surpassent la peur et la douleur. Et une fois de plus, alors qu'il m'obliger a m'agenouiller, je resta debout et résista aussi longtemps que je pouvais, leur obligeant a me frappé pour me faire fléchir m'agenouiller.

Le Maître se positionna devant nous et s'apprêter a parler, mais fut outré de me voir me relever après qu'on mes obligé à m'agenouiller.

Le Garde retourna accoter de moi et me donna un cou dans le dos.

- A Genoux !

Je regarder le Maître droit dans les yeux d'un regard froid et déterminer, lui prouvant que jamais je ne l'obéirai et serait sa soumise.

La Maître, voyant clairement que je défier sont autorité fit un geste et je me pris un cou de point dans le ventre me pliant en deux. Le Garde profitant de cela pour m'agenouiller et rester accoté pour m'empêcher de me relever.

- Bien, Escla... Écarquillant les yeux de se qu'il voyait le coupant dans sa phrase.

Oui, je me relever, malgré la douleur je me refusé à rester agenouiller devant lui.

Le Garde me frappa mais la colère me fit agir, après avoir reçu sont cou j'ai bondi sur lui malgré mes bras encore attaché dans le dos et ma fatigue, je lui donna de multiple cou de genoux et cou de tête en hurlant obligeant d'autres garde a intervenir sous le regard des Esclaves, Prisonnière agenouiller et des membre Divins.

Les Gardes, surprenament ne mon pas plus frappé que sa, il m'on juste remit a genoux et mon tenu de manière a se que j'y reste.

- Bon ! Esclave, bienvenue dans votre nouvelle Demeure, c'est ici que vous vivrait jusqu'à votre mort, quel sois prématuré ou non. A partir de Maintenant vous n'êtes plus des femmes mais des esclaves, des objets, ayant pour seul but d'obéir. Dis le Maître étant le plus loquasse et strict possible.

Il s'approcha de nous tout en continuant de parler.

- Ici l'obéissance et le mot clé d'une vie paisible, si vous obéissez on ne vous ferra aucun mal, sauf si le client désire du SM, mais dans le cas inverse, vous souffrirait, Beaucoup. Continua-t-il en étant bien plus sérieux.

A cet instant un homme arriva de l'intérieur de l'hôtel. Il était Noir, presque la cinquantaine, les cheveux en parti blanc. Il était bien habiller, costard cravate et chaussure de ville à petite talonnette bien ciré, il avait l'air irréprochable.

- Ha Steven ! Le Maître le voyant arrivé changeant radicalement de ton. Te voila.

- Bien le Bonjours mon Maître, ses un réel plaisir de vous revoir et de savoir que votre voyage ses bien passer, et vous implore de bien vouloir avoir l'obligeance d'excuser mon retard j'étais entrain de punir une de vos esclaves ayant part "m'égare" mordu le membre d'un de vos client. Dis Steven au Maître en s'inclinant et d'une manière calme et respectueuse.

- Tu et tout excuser car tu arrive pile a temps pour expliquer a mes nouvelles esclaves les règles primordiale. Répondit le Maître semblant heureux de revoir Steven.

- Avec un immense plaisir mon Maître.

Steven se mit devant nous, droit et la tête haute.

- Esclave, ici il n'y a que 3 règle à absolument respecté en tout temps. Numéro 1 : Obéir a Tout les ordres donner, qu'il soit part un Client, un Garde ou moi, et si ses notre illustre Maître qui vous donne cette ordre vous accompagnerai votre obéissance d'un "Oui mon Maître". 2 La désobéissance et punie, si vous refusé d'obéir vous serait sois frappé sois torturé selon si vous avais obéis ou non après notre deuxième demande. 3 Toute insulte quel sois verbale ou physique à l'encontre d'un de nos client, Garde ou moi et surtout le grand Maître sera sévèrement puni de multiple cou de fouet ou pire. Voila, les autres règles vous les apprendrait en obéissant et avec le temps. Disant tout cela comme si c'était un texte sacrée t'elle la bible.

- Merci Steven.

- Se fut un honneur mon Maître.

Je ne pouvais m'enlever le mot "lèche cul" de la tête en l'entendant et voyant agir, mettant sa queue entre les jambes tellement profondément qu'elle doit faire la bise a ses fesses.

Le Maître après cela s'approcha de la femme se trouvant à gauche en bout de ligne ou je me trouvé de l'autre extrémité. Il tendit la main vers les lèvres de la femme et la regarda droit dans les yeux.

- Devient mon esclave, embrasse ma main.

Elle s'exécuta. Puis il passa à la suivante.

- Devient mon esclave, embrasse ma main.

Pleurant et ayant peur elle lui embrassa la main ne voulant pas souffrir d'avantage.

Il passa devant chaque femme et toute lui embrassa la main sans hésité, jusqu'à se qu'il arrive devant moi.

Tendant la main et me regardant dans les yeux il me dit cette phrase.

- Devint mon esclave, embrasse ma main.

Mais je ne fis rien, je m'attendais à me faire frappé ou pire, mais rien, il enleva sa main et s'accroupi devant moi.

- Je me douter que tu ne le ferrais pas, tu n'es pas comme toute ses autres esclaves, toi, tu et une louve sauvage, dangereuse et indomptable, tu pense pouvoir résister assez longtemps pour réussir a t'échappé ou réussir a me tué. Mais crois-moi sur parole, et sache que j'en n'est qu'une seul. Tu deviendras ma Chienne.

Mais alors qu'il me débiter toute ses connerie, Je lui cracha au visage sans hésité.

Alors que les gardes me tenant aller me rué de cous pour avoir osé faire cela. Le Maître leva brusquement le bras pour les en empêcher. Il eu un légers frisson en ayant les yeux fermer. Mais quant il les ouvra sont regard ma glaca le sang.

Il na rien dis, il ouvra sa main déjà lever et Steven lui donna un mouchoir en tissu pour qu'il s'essuie le visage.

Se levant face à Steven finissant de s'essuyer.

- Va chercher les outils. Lui dis-t-il en lui rendant son mouchoir.

Steven s'inclina et parti promptement.

- Mettez-la devant tout le monde ! Dis-t-il froidement en me tournant le dos.

Les Gardes me tenant mon soudainement lever et sans aucune pitié traîner devant tout le monde, en face des femmes a genoux, devant l'entré de l'hôtel.

Le Maître pendant se temps la donna des ordres en fessant certain geste puis se mis face a moi, dos aux autres femmes.

- Déshabillez-la. Ordonna-t-il.

Les Gardes déchira mes vêtements et me mis nue devant tout le monde. Il s'approcha de moi, un Garde m'attrapa les cheveux et leva ma tête pour que je le regarde.

Alors que je m'attendais a se qu'il parle, il rester la à me regarder.

Steven revint avec un petit chariot et commença à se préparer, je ne voyais pas se qui se trouvé dessus. Le Maître regarda et pointa du doigt l'un des ustensiles se trouvant dessus.

Ne pouvant visiblement pas se retenir de sa surprise et de son plaisir, Steven eu un légers haussement de sourcil et un légers sourire avant de commencer à préparer l'ustensile.

Le Maître se tourna et parla à tout le monde.

- Cette garce ma manqué de respect, elle a osé transgresser une des trois règles primordiale en me crachant délibérément au visage sur ma joue gauche. Comme dis part Steven, TOUTE insulte verbale ou physique et sévèrement punie ! Elle sera l'exemple ! Voila se qui risque de vous arrivé si vous oser m'insulté !

J'entendais comme du feu venant du coter de Steven, mon cœurs battait si fort que j'avais l'impression qu'il aller sortir de mon torse et de ma tête en même temps.

- Messieurs, tenait la bien et mettez sa joue gauche en évidence je vous pris ! Dis le Maître aux gardes me tenant fortement.

Les Gardes me tenait si fort qu'il me fessait mal a m'en coupé la circulation et m'empêchant de bouger autre chose que mes paupières.

Ma respiration était forte et rapide, mon corps tout entier trembler malgré les quartes Garde m'écrasant le corps m'obligeant a rester immobile a genoux devant se fils de pute de Maître.

Quant je vis se qu'avait Steven dans les mains j'ai crue que mon cœur aller me lâcher.

Une barre de fer avec un M chauffé à blanc au bout s'approchant de mon visage.

Le Maître vis la peur soudaine dans mon regarde, il saisi ma tête et me regarda droit dans les yeux.

- Se regard, Voila le regard que tu aurais du avoir en mon égard, tu n'es rien de plus que ma chose désormais, et je vais le prouver au monde entier en te marquant au même endroit ou tu as osé me cracher dessus. D'une voix sadique et cachant aucunement sa joie de me faire souffrir.

Il me lécha la joue gauche puis me lâcha et se tourna face à tous et se mis à parler fort.

- Première Règle ! Obéir a Tout les ordres donner, qu'il soit part un Client, un Garde, Steven et Moi en accompagnant votre obéissance d'un "Oui mon Maître"

Steven s'approcha de moi en tendant le M vers ma joue, J'essayer de me débattre le plus fort possible.

- Deuxième Règle ! La désobéissance et punie, si vous refusé d'obéir vous serait sois frappé sois torturé selon si vous avais obéis ou non après notre deuxième demande !

Il n'était plus qu'à quel que centimètre de mon visage, je pouvais sentir la chaleur du métal sur mon visage.

- Troisième Règle ! Toute insulte quel sois verbale ou physique à l'encontre d'un de nos client, Garde, Steven ou moi même sera sévèrement, Puni.

Des que le Maître dis le dernier mot Steven plaqua le M sur ma joue.

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