En février, j’ai ouvert les yeux sur les produits d’origines animale… J’ai découvert ce même jour un rappeur qu’aujourd’hui j’adore.

Je lui ai écris par email sous ma vrai identité pour le féliciter de ses musiques, il m’a repondu gentiment. Puis je lui ai ecris sous mon nom de plume pour lui demander son avis sur un texte, il m’a là encore répondu et m’a donné son avis très sympa.
Une semaine après, un type ressemblant comme deux vraies gouttes d’eau avec ce rappeur, m’a envoyée une demande d’ami sur un réseau social. Je l’ai accepté, on a vaguement parlé. Puis j’ai finis par l’ignorer, car je le sentais pas. Il a alors supprimé son compte.

Aujourd’hui, je reçois, cette fois sur mon profil auteure, une demande d’amitié de ce même type, mais sous un autre nom encore. Je lui ai fais la remarque comme quoi il m’a déjà envoyée une demande sous un nom different sur mon autre compte, il m’a répondu qu’il ne comprends pas !
Faux profils donc.
Sauf que dans le passé, j’ai été harcelée, avec mon ex, sur le réseau social que l’on avait créé de A à Z, puis sur tout les autres réseaux. 
Le type nous envoyait des messages à décoder avec, toujours, sa signature. Ces messages étaient toujours portés sur des femmes qui disparaissent, qui se font violer, tuer… souvent à la montagne. Rien n’était laissé au hasard par notre harceleur. Il aimait faire passer ses messages par des personnages de la mythologie, de séries, films, poèmes ou autre où, souvent, un homme entretient une relation (ambiguë) de professeur de littérature avec une jeune femme. Il aimait par dessus tout m’appeler Alice. Peu à peu, il s’est mis a avoir l’envie de faire de moi son esclave sexuelle sans consentement,  qu’il adorerait prêter à ses amis membres d’une grande société secrète.

Je me dis que c’est peut-être encore lui et que, si c’est la cas, chaque détails comptent.
Je découvre que les noms qu’il a choisi pour ses deux comptes ne sont pas choisis au hasard.

Laisse moi d’abord te raconter quelque chose… avant de poursuivre ! 
Il y a presque 5 ans, je me suis faite violée pour la première fois juste à côté de Coulommiers, par une personne de "ma famille". 
En aout 2023, l’affaire a éclaté à cause d’un ami à moi qui a voulu me protéger. En fevrier 2024, j’ai porté plainte. La psy judiciaire a déclarée que je suis une personne dites vulnérable. L’affaire est toujours en cours.

Revenons à mon harceleur.
Je comprends qu’il a choisi ses pseudos par rapport à moi ! Et qu’il utilise des photos du rappeur que j’adore pour mieux me piéger. 
Son premier pseudo renvoie, sur internet, vers une seule info : la ville de Seine Et Marne, à deux pas du lieu où je me suis faite violée.
Son deuxième pseudo renvoi directement vers un article de presse ! C’est la seule info encore. Ce pseudo est le nom d’un violeur sur personne vulnérable. Qui a été condamné. 
Et tout cela avec des photos du rappeur à qui j’ai écris, il y a peu, deux fois par email, sous mes deux identités. Je précise que les photos utilisées sont introuvables sur internet…

Cela devait bien faire un an qu’il n’était pas revenu. Il faut tout de même savoir que ce n’était pas dans ses habitudes, un si long silence. Disparaître un temps, revenir, puis repartir comme il est venu avant de réapparaître soudainement, ça, ça lui ressemble par contre. Mais dans mes souvenirs, il n’avait jamais disparu si longtemps. Est-ce enfin presque la fin ?