Les gémissements de mademoiselle Long étaient devenus beaucoup plus prononcés. La jeune femme était littéralement plaquée contre le lit et avait son charmant petit cul mis en évidence tandis que Jason, qui se trouvait au-dessus d’elle, la baisait sans pitié. Les mouvements de va-et-vient de son petit-ami lui faisaient perdre la tête, chose qu’elle appréciait énormément, d’autant plus qu’il n’était ni trop violent, ni trop doux.

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Au même moment, Alicia qui était arrivée dans son appartement quelques minutes auparavant préparait le repas de Moure. La jeune femme était tellement excitée à l’idée de tester ses nouveaux jouets qu’elle avait en permanence un léger sourire aux coins des lèvres. Alicia, venant de mettre le plat au micro-ondes, partit ensuite dans sa chambre afin de se mettre dans une tenue un peu plus appropriée pour ses activités à venir.

Ne portant désormais que sa petite culotte, mademoiselle Garnier alla préparer ses affaires. Dans son carton habituel, la jeune femme déposa un fouet, des menottes de chevilles et deux écarteurs, du lubrifiant, un petit truc pour le moment spécial de ce soir, et la dose habituelle de viagra. Elle déposa le tout sur son lit avant d’attraper un chignon dans un de ses tiroirs et de se faire une queue de cheval. À ce moment, son micro-ondes sonna, lui indiquant que le repas de Chrees était prêt. Ce fut donc toute contente qu’Alicia attrapa toutes ses affaires et descendit au sous-sol.

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Recroquevillé dans l’obscurité, Chrees Moure avait mal au ventre. Cela faisait plus de 18 heures qu’il n’avait rien avalé et son estomac criait famine. Le jeune homme avait alors l’impression qu’il allait mourir d’une minute à l’autre. Il entendit ensuite le bruit d’une cle qu’on introduisait dans une serrure, ce qui lui fit comprendre qu’Alicia était là. Il se demandait alors si cette dernière apportait avec elle de la nourriture. L’éclairage en provenance de l’extérieur l’aveugle momentanément, ce qui ne l’empêcha pas de sentir la bonne nouvelle. Son nez ne le trompait pas. Son tortionnaire lui apportait de la nourriture, ce qui le fit saliver. Il allait enfin pouvoir manger.

- Bonsoir, Chrees. J’espère que tu as passé une agréable journée, dit-elle en entrant.

C’était la première fois qu’Alicia prononçait son prénom de cette manière. Le ton de sa voix était très amical, ce qui ne rassura bien évidemment pas le jeune homme qui se disait qu’elle devait tramer quelque chose.

Mademoiselle Garnier déposa délicatement son carton dans un coin avant de s’approcher de son charmant petit prisonnier. Elle lui rappela une fois de plus les règles qu’il devait suivre avant de le détacher. De toutes les façons, Chrees avait trop faim pour faire quoi que ce soit à ce moment. Le jeune homme se tint donc tranquille tandis qu’on lui retirait la boule de geisha qu’il avait dans la bouche.

Pendant que Moure se faisait nourrir tel un enfant de deux ans, il ne pouvait s’empêcher de se méfier du comportement de la femme qui se tenait devant lui. Elle était beaucoup trop sympathique, beaucoup trop aimable pour ne pas avoir de mauvaises idées à son égard. Son regard se tourna ensuite vers le carton qui se trouvait dans le coin de la pièce. Il se demanda ce qui pouvait bien se trouver à l’intérieur. Quoi que cela ait pu être, cela n’annonçait rien de bon pour lui, d’autant plus que mademoiselle Garnier se mit à sourire lorsqu’elle remarqua que Chrees fixait sa boite.

- Pas besoin de faire cette tête. Aujourd’hui, nous allons passer une soirée un peu spéciale, rétorqua-t-elle.

Une soirée un peu spéciale ? Qu’entendait-elle par « soirée spéciale » ? Qu’est-ce qu’il avait dans ce carton pour qu’elle lui dise de telles choses ? Qu’allait-elle lui faire cette fois-ci ? Beaucoup de questions traversaient l’esprit de Moure tandis qu’il n’arrivait plus à détourner son regard de cet objet posé dans le coin de la pièce.

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De retour chez le couple Hasley-Long, le jeune homme se retira brusquement de sa petite-amie. Il gifla ensuite son cul ; ce qui la fit gémir légèrement ; puis la retourna avant de descendre l’embrasser. Peu de temps après, il attrapa son sexe qu’il réintroduisit à l’intérieur d’Amélia et les deux se remirent à faire des galipettes.

Mademoiselle Long qui avait ses jambes et ses bras autour de son homme passa à nouveau ses ongles sur le dos de ce dernier. De plus, elle le mordit à l’épaule. Une plaisante douleur traversa alors le corps de Jason, ce qui le poussa à lui rendre la pareille. Il prit donc un certain élan avant d’effectuer un mouvement pénétrant quelque peu brutal. Amélia se retrouva dans l’obligation d’arrêter de le mordre afin de laisser échapper un gémissement proche du cri de douleur. Il réitéra son geste encore et encore jusqu’à ce que leur chambre se remplisse à nouveau de l’effet sonore de mademoiselle Long.

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Chrees venait de terminer son plat. Alicia alla ensuite déposer l’assiette à côté du carton avant de lui ramener à boire. Le jeune homme remarqua immédiatement qu’il y avait d’étranges particules bleues dans l’eau que mademoiselle Garnier voulait lui donner à boire. Il sut automatiquement de quoi il s’agit parce qu’elle n’avait fait que lui donner cela depuis qu’elle l’avait enfermé dans cette pièce.

- Ce n’est pas comme si j’allais t’empoisonner. Allez, bois. Tu sais déjà ce qui se passera si tu ne le fais pas, dit-elle avec le sourire.

Le jeune homme n’avait clairement pas envie de subir à nouveau ce qu’elle lui avait fait la dernière fois. Ce fut donc pourquoi il obéit et vida tout le contenu du verre.

- Tu sais, tu prendrais beaucoup plus de plaisir si tu me détachais. Je pourrais même te tenir compagnie toute la nuit.

Alicia lui répondit avec le sourire que ce serait une bonne idée ; ce qui lui donna espoir momentanément ; mais lui dit que le moment n’était pas encore venu, car elle ne l’avait pas encore bien dressé. Ce qui choqua et énerva le plus Chrees dans sa réponse fut l’utilisation du mot « dressé ». Pour elle, il n’était rien d’autre qu’une sorte d’animal qu’il fallait à tout prix dompter.

Alors qu’il était sur le point de s’emporter, mademoiselle Garnier intervint en lui disant de se calmer s’il ne voulait pas qu’elle lui casse la gueule une fois de plus. Cependant, cela ne parvint pas à le calmer le jeune homme qui se lança dans une nouvelle série d’injures. Sans surprise, le pied d’Alicia rencontra son visage, ce qui l’envoya valser. Elle le redressa et remit la boule de geisha dans sa bouche. Avec ça, il ne lui restait plus qu’à attendre que le médicament fasse effet.

Il ne fallut pas attendre très longtemps avant que les effets du viagra se manifestent et Chrees se retrouva aussi raide que la première fois qu’elle lui avait fait boire cette substance.

Contente de voir son jouet prêt à être utilisé, Alicia récupéra dans sa boite un préservatif qu’elle vint par la suite mettre sur le pénis du jeune homme. Elle retira ensuite le seul vêtement qu’elle portait et vint finalement s’assoir sur Chrees.

Mademoiselle Garnier appréciait énormément la sensation de la grosse bite du jeune homme qui s’introduisait de plus en plus en elle. Elle avait attendu ce moment durant toute la journée. Elle ne le montrait sans doute pas, mais elle était devenue accro à son sexe du fait que la sensation était très différente de celle qu’elle éprouvait lorsqu’elle utilisait ses godemichets. C’était beaucoup plus plaisant, beaucoup plus vivant.

Alicia ne put s’empêcher de se mordiller la lèvre lorsque la totalité du pénis se retrouva à l’intérieur. Aussi, elle resserra immédiatement son étreinte autour de Moure lorsque ce fut le cas. La jeune femme se mit ensuite à monter puis à descendre successivement. Chrees qui n’avait nul autre choix que de se laisser faire observait la demoiselle prendre son pied. C’était chiant, d’autant plus qu’il voyait l’objet de sa liberté pendre autour de son cou. Si seulement il n'avait pas cette boule de geisha dans la bouche, il aurait sans doute tenté quelque chose pour s’emparer de la clé de ses menottes.

- Poufiasse, s’exclama-t-il intérieurement.

Quelques minutes plus tard, Alicia qui avait ses bras autour du cou du jeune homme échangea un curieux regard avec lui. C’était comme si elle était amoureuse de lui, mais Moure savait que ce n’était pas le cas. Cela l’énerva encore plus. Il trouvait hypocrite qu’elle agisse de la sorte. Il voulut alors l’étrangler, mais fut retenu par les menottes qu’il avait aux poignets.

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Tandis que Chrees se faisait baiser par une femme qui n’éprouvait absolument rien pour lui, Amélia était en compagnie d’un homme qui lui témoignait tout son amour. D’ailleurs, c’était tellement passionnel entre eux qu’elle le démontrait dans chacun de ses gémissements. Les deux s’embrassèrent avant que Jason morde soudainement un de ses tétons et le suce par la suite. Pour Amélia, il s’agissait de la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Entre les vigoureux coups de bite de son petit-ami, son corps chaud et humide, et ça, il ne fallut pas plus pour que le corps de la demoiselle se laisse aller.

Le cœur d’Amélia se mit à battre beaucoup plus vite tandis qu’elle resserrait brusquement son étreinte, ses pupilles se dilatèrent légèrement, et sa respiration s’accéléra davantage. Son corps se mit également à trembler, ce qui fit comprendre à son partenaire qu’il avait fait du bon travail. Cependant, il n’en avait pas encore fini avec elle. Mademoiselle Long était peut-être en train de jouir, mais ce n’était pas le cas d’Hasley. Il continua donc de la baiser comme précédemment. Ce florilège de sensations était si fort que la jeune femme avait beaucoup de mal à garder les idées claires.

Parce que le corps de mademoiselle Long était dans un état euphorique, une sorte de phénomène de succion se produisit au niveau de son vagin. Par conséquent, chaque fois que Jason effectuait un mouvement de va-et-vient, ses sensations étaient démultipliées. Ce n’était cependant pas assez pour le faire arriver à terme. Il se retira une fois de plus, attrapa une des jambes d’Amélia, puis retourna en elle.

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Le prisonnier de mademoiselle Garnier était également sur le point de jouir. Cela faisait déjà plus d’une vingtaine de minutes que la jeune femme le chevauche sans pause. C’était un peu la honte pour lui qui avait l’habitude de pratiquer ce genre d’activité durant au moins une heure. Cependant, il fallait dire que Chrees n’était pas dans les meilleures conditions pour ça. Menotté et à la merci d’Alicia, il n’était donc pas celui qui imposait le rythme, mais plutôt celui qui le subissait.

Quelques minutes plus tard, alors qu’il n’en pouvait plus, Moure se crispa soudainement avant de lâcher un soupir étouffé par la boule de geisha. Alicia comprit automatiquement qu’il venait de jouir en elle. Malheureusement, elle n’en avait pas encore fini avec lui. Ne se préoccupant donc pas de ce qui venait de se produire, la jeune femme continua de le chevaucher, accentuant aussi l’intensité de ses mouvements de va-et-vient.

De son côté, Chrees, dont le pénis était devenu beaucoup plus sensible, éprouvait des sensations plus fortes. C’était à la fois bon et problématique. Il savait ce qu’Alicia faisait et savait également que cela allait se terminer comme la dernière fois, c’est-à-dire douloureusement. Il y avait des limites au nombre de fois qu’un homme pouvait jouir consécutivement sans ressentir la moindre douleur et mademoiselle Garnier semblait ne pas s’en préoccuper. À savoir si elle le savait d’abord. La jeune femme poursuivit donc son œuvre jusqu’à ce qu’elle obtienne finalement ce qu’elle désirait.

Alicia Garnier était complètement immobile. Elle transpirait beaucoup, respirait fortement, et attendait que son rythme cardiaque se calme. En face d’elle se trouvait un Chrees Moure complètement exténué et vidé de sa substance. Tout ce qu’il désirait à ce moment était le repos. Il était encore loin de se douter que sa partenaire lui réservait une très désagréable surprise.

- Ta bite est vraiment la meilleure. C’est vraiment une aubaine que tu aies décidé de mettre les pieds dans mon établissement ce jour-là. Il est temps que tu éprouves tout le plaisir que tu me donnes, dit-elle lorsque tout revint à la normale.

En entendant ses mots, Chrees se dit qu’elle était partie pour une nouvelle séance de jambe en l’air. Il essayait alors de la supplier de ne pas faire ça, mais tout ce qui sortit de sa bouche fut des paroles incompréhensibles.

Alicia se redressa avant de partir vers son carton qui était resté dans le coin depuis tout ce temps. En la voyant s’éloigner, le cœur de Chrees se mit à battre plus rapidement. Toute sorte d’idées lui traversa alors la tête alors qu’il observait la jeune femme se rapprocher de cette boite. Il repensa à tout ce qu’il avait vécu durant la journée, à la manière dont elle avait été beaucoup trop sympathique avec lui, et arriva finalement à la conclusion que ce qui se trouvait à l’intérieur de ce carton allait lui servir à mettre un terme à ses jours.

Moure implora Garnier de toutes ses forces. Il lui dit même qu’il changerait de comportement à son égard et serait désormais obéissant. Comme précédemment, ses paroles furent complètement inaudibles. Les yeux du jeune homme s’écartèrent avec horreur et son rythme cardiaque atteignit une cadence alarmante quand Alicia introduisit finalement sa main dans la boite.

Tout se calma lorsqu’elle sortit une drôle de barre en acier munie de menottes. La rouquine en prit en seconde avant de revenir vers Moure. Celui-ci, bien qu’il fut légèrement apaisé en constatant qu’il ne s’agissait pas d’une arme, ne pouvait néanmoins pas chasser la drôle de sensation présente au fond de son cœur.

Mademoiselle Garnier le retourna avant de placer respectivement les deux barres au niveau de ses genoux et de ses chevilles. Chrees se retrouvait désormais dans l’incapacité de fermer ses membres inférieurs.

- Ça devrait faire l’affaire. Maintenant, tu auras une petite idée de ce que ressent une femme.

Chrees ne comprit pas au début. Ce ne fut que lorsqu’elle enfila son gode-ceinture qu’il comprit immédiatement où elle avait voulu en venir. Il se mit une fois de plus à hurler et à supplier, mais sans succès. Face contre terre, il aperçut du coin de l’œil Alicia étaler du lubrifiant dessus avant de s’approcher de lui.

Le cœur battant à nouveau à un rythme effréné, Chrees Moure cherchait une solution pour se sortir de cette situation. Il pouvait accepter de se faire frapper et violer par une femme, mais ça, c’était hors de question. Toutefois, que pouvait-il bien faire ? Il ne pouvait ni bouger ni crier. En plus, son cul était désormais à la merci de cette femme qui s’approchait sourire aux lèvres.

- Serre bien fort, rétorqua-t-elle au moment où elle posa une de ses mains sur sa hanche.

Moure sentit Alicia placer la tête du gode au niveau de son trou du cul. Il la sentit ensuite pousser et se frayer un chemin à l’intérieur. La douleur était tellement insupportable que le jeune homme se mit à hurler de toutes ses forces tandis que des veines apparaissaient à la fois sur son cou, son front, et sa tempe. Il avait l’impression que ce truc était littéralement en train de le déchirer.

- Alors, qu’est-ce que ça te fait d’avoir une bite aussi grosse que la tienne dans le cul ? questionna mademoiselle Garnier après avoir introduit son « jouet » en totalité.

Bien évidemment, Chrees était dans l’incapacité de répondre, ce qui ne la dérangea pas.

Alicia se mit à faire des mouvements de va-et-vient. Cependant, contrairement à une personne normale qui irait doucement pour cette première expérience, la demoiselle n’y alla pas de main morte. Elle baisait littéralement Moure comme elle imaginait que ce dernier le ferait avec elle s’il avait été à sa place.

Alors qu’elle martelait son cul telle une assoiffée de sexe, Chrees se mit à pleurer. La douleur était insupportable. Il voulait que ça s’arrête. Quand elle se rendit compte de cela, Alicia prit un certain élan avant d’enfoncer le gode assez violemment. Le premier réflexe de Moure fut de s’éloigner le plus possible de la douleur, mais la jeune femme agrippa fermement ses hanches afin qu’il n’aille nulle part.

- Pas si vite ! On ne fait que commencer.

Une trentaine de minutes plus tard, après avoir enculé Chrees dans diverses positions, Alicia commença à avoir sommeil. Elle décida donc d’arrêter pour cette nuit. Elle retira donc le godemichet du cul du jeune homme et observa quelque temps et avec une certaine fierté le magnifique trou qu’elle avait fait.

- Tu sais, tu devrais te faire sodomiser plus souvent. Une vue pareille est vraiment l’idéal pour quelqu’un comme toi.

Elle retira ensuite les deux barres qu’elle rangea par la suite dans son carton. Quelques instants plus tard, elle lui souhaita une bonne nuit à son objet, puis sortit de la pièce en laissant derrière elle un Chrees Moure détruit et humilié.

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Du côté des tourtereaux, l’esprit d’Amélia avait abandonné son corps depuis un moment. La jeune femme n’était plus qu’une sorte de coquille vide ne vivant que pour éprouver du plaisir. La bite de Jason était si bonne qu’il n’y avait pas de mot assez fort pour décrire ce qu’elle ressentait. Le jeune homme avait vraiment fait du bon travail. Cependant, il commençait à se rapprocher de sa limite. D’ailleurs, il était même très proche d’elle.

Le petit-ami de mademoiselle Long, qui tenait en ce moment les mains de celle qu’il aimait, accéléra progressivement le rythme jusqu’à ce qu’il se cambre brusquement et lâche un gémissement. Jason serra très fort Amélia et, quand la tension redescendit, se retira finalement. Il continua cependant de la serrer dans ses bras et lui donna quelques baisers dans le cou et sur la bouche.

- Je t’aime, dit-il.

Amélia ne lui répondit pas, trop occupée à récupérer de cette magnifique expérience. Il savait toutefois qu’elle l’aimait également. C’était vraiment la personne avec qui il voulait passer le reste de ses jours et il ferait tout pour que cela devienne réalité. Ce fut avec cette pensée que le jeune homme s’endormit quelques minutes plus tard aux côtés d’une magnifique créature.

A suivre !!!