L’essence m’arrache ma chair
L’essence m’arrache ma chair
L’essence coûte cher
Tellement, trop qu’elle m’arrache ma chair
De mon être si doux, d’une violence éternelle
D’une puissance qui fait mal à embrasé mes tendres lèvres
Une explosion de mon profond être
L’essence absorbe ce qui ne faisait que paraître
Et oui … Adieu ma belle
La mort me glace, ce feu qui domine l’air
De tous tes sens, j’étais ton élève
Tu étais ma maîtresse
De cette société individualiste
Je demande qu’elle soit plutôt collective et spirituelle
Ces fléaux qui pourrissent le système
Nous vivons effectivement dans un putain de bordel
Où créer c’est créer des séquelles
Quelles sens pour une société ayant un dit bon modèle ?
Arrachez la chair
Car la mort est si belle
Les vitrines explosés à l’encre de mon sang écarlate
Des images à en donner des frissons
Pour toi, ma perle, ce joli poème
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